• Stage citoyenneté

     L'idée serait louable, mais la police n'a rien à faire ici. Les parents ne contrôlent plus leurs enfants et les abandonnent entre les griffes du pouvoir. Depuis l'ère Sarko, le formatage de la jeunesse est bien là, au nom d'un populisme dangereux pour la démocratie et la liberté !

     

     

     

     


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  • Formatage des enfants

    En France, les enfants sont mis à toutes les sauces. Ou si vous préférez, ils sont utilisés, formatés, le plus souvent avec l’assentiment bienveillant des parents naïfs.

    Ils sont les enfants poubelles, pour nettoyer la nature souillée de détritus laissés par leurs aînés. Dès la maternelle, on leur impose la langue impérialiste qu’est l’anglais.

    Là, il s’agit de leur faire avaler une énorme couleuvre sur l’invasion de l’armée française dans les pays étrangers, principalement en Afrique. Il leur est expliqué que les soldats agissent là-bas pour défendre les intérêts de la France ! Ben voyons, comme exemple parmi d’autres au Niger pour s’approprier l’exploitation des mines d’uranium dans les conditions lamentables que l’on sait. Mais bien sûr, ces détails ne sont pas étalés aux enfants. Ils sont d’abord informés de la présence française à l’étranger. Plus tard, ils accepteront mieux la finalité des missions militaires, qui n’est rien d’autre que le colonialisme moderne.

    Le pouvoir, avec la complicité des multinationales et des médias ne recule devant rien pour arriver à ses fins.

    Manipuler des enfants est immonde.

    Voir aussi : 

     

    https://lesbrindherbes.org/2015/09/12/vous-devez-savoir-comment-lecole-va-formater-lesprit-de-vos-enfants/

     

    https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/nos-enfants-sont-fiches-des-leur-70998

     

    http://la-haut.e-monsite.com/blog/le-formatage-de-l-ecole.html

     

    Etc....

    Gaulois.

     

     


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  •  

    L’Education Nationale, une machine à broyer

     

    Ou une prof. désabusée

    Elle le dit, elle n’a pas de mépris dans son propos. Mais comme elle a raison.

    L’éducation nationale est devenue, au fil du temps quelque chose qui n’a plus guère de sens.

    Je m’en souviens comme si c’était hier, par exemple les années 50….60. A cette époque, lorsque je frottais mes fonds de culotte sur les bancs de l’école, le savoir était quelque chose de concret, de vivant. Par exemple, les calculettes n’existaient pas. A huit ans, j’étais, comme la plupart de mes camarades capable d’effectuer une division à deux chiffres. Aujourd’hui, certains bacheliers n’en sont pas capables, parfois même avec la calculette !

    Comme ce fut mon cas en 1958, nous passions à 14 ans l’épreuve du certificat d’études,, autrement plus vivant que le bac de 2017.

    Comme l’affirme cette professeure, tous les enfants, même issus de modeste condition, avaient la même chance de s’instruire vraiment. De nos jours, si un enfant a des difficultés, il est mis de côté et restera en difficulté. Ce n’est pas forcément la faute de l’enseignant, car le plus souvent, celui-ci n’a pas les moyens à sa disposition pour prodiguer davantage d’attention à cet élève.

    Les réformes successives des méthodes d’enseignement ont complètement déstabilisé les parents qui ne sont plus en mesure de suivre leurs enfants. Cela s’ajoutant la plupart du temps à moins de disponibilité, depuis que les deux parents travaillent. Que les gosses se débrouillent sur internet ! Bonjour le contact humain, pourtant indispensable pour l’équilibre des enfants.

    Par le passé, l’éducation civique était exclusivement dispensée par l’instituteur, alors qu’aujourd’hui, c’est la police ou la gendarmerie qui se substitue à l’enseignant au sein même de l’école. Nous devinons aisément ce qu’ils dispensent en matière de formatage de ces jeunes esprits malléables à souhait.

    Comme elle l'affirme si justement, aujourd’hui c’est d’abord les compétences, avant les connaissances.

    Son livre est sûrement très instructif sur le massacre de l’éducation nationale.

    Plus loin :

    http://www.letelegramme.fr/bretagne/isabelle-dignocourt-le-lieu-de-toutes-les-catastrophes-c-est-avant-le-college-02-09-2017-11647721.php

    http://www.francetvinfo.fr/societe/education/education-nationale-nous-sommes-passes-d-une-ecole-extremement-repressive-a-l-extreme-oppose_2351844.html

    http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/la-casse-programmee-de-l-education-180367

    Etc...

    Gaulois.

     

     


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  • Manipulation des masses

    Ou la jeunesse formatée

    Il n'est pas interdit ni indécent d'apprendre l'histoire aux enfants à l'école.

    Mais là, ça va beaucoup trop loin. La manipulation de la jeunesse par l'exécutif est abject et inacceptable.

    Les socialistes auraient-ils l'intention de prendre comme modèle la triste histoire des jeunesses Hitlériennes ?

    Le terrorisme d'état, ou si vous préférez, la doctrine militaire et policière n'a jamais été aussi loin et il est à craindre qu'au lieu de contenir le terrorisme «  Officiel », il le renforce.

    Gaulois.

     

    Texte du Collectif Ni guerres ni état de guerre sur le protocole Défense Education nationale

    07-10-16

    http://collectifantiguerre.org/spip.php?article75&lang=fr

    Des écoles, pas de canons !

    Pas de canons dans les écoles !

    A l’heure où les dépenses militaires de la France augmentent et où l’école et l’université manquent de moyens, il n’est pas sans intérêt de se pencher sur les relations entre l’Armée et l’Education nationale.

    Un nouveau protocole (le cinquième) a été signé en mai 2016 entre les ministères de l’Education nationale, de l’Agriculture et de la Défense : il vise à enseigner à la jeunesse scolaire et universitaire « l’esprit de défense et de sécurité ». Qu’en est-il ?

    L’idée d’enseigner à l’école « l’esprit de défense » a germé dans la tête de Charles Hernu en 1982, alors qu’il était ministre de la Défense[1]. Six ans après la suppression du service militaire, il s’agissait de mettre l’école à contribution pour sensibiliser ses élèves à « l’esprit de défense ». La formation des enseignants dans cette perspective est apparue en 1989 et l’intégration de cette notion dans les programmes en 1995.

    Le nouveau protocole de 2016 approfondi la coopération Armée – Ecole et l’étend à l’enseignement primaire et à l’enseignement supérieur ainsi qu’à la recherche. Mais surtout, il explicite une orientation nouvelle qui correspond aux doctrines récentes en matière d’utilisation des forces armées.

    L’implication directe de l’Ecole dans la chose militaire repose sur une analyse du changement des menaces auxquelles le pays doit faire face. On peut ainsi trouver dans les textes des deux ministères, Défense et Education, l’idée qu’après la fin de la guerre froide, où la menace était précise et relevait essentiellement d’une préparation des forces armées, s’est ouverte une époque où les menaces sont multiples et diffuses : terrorismes, possibilité d'attaques déloyales contre la substance économique d'une nation ouverte par la mondialisation de l'économie, risques pesant sur l'approvisionnement en énergie et l'environnement, cyberattaques, etc.

    L’idée principale ici est que le seul instrument militaire ne suffit pas à affronter ces menaces : il faut une implication de tous les qui doit se préparer dès l’école (et désormais dès l’école primaire).

    Cette nouvelle doctrine, issue des thèses nord-américaines, consiste à relier, voire à fusionner la sécurité extérieure et la sécurité intérieure. Elle est exposée dans le dernier Livre blanc de la Défense (2008) qui devient significativement Livre blanc de la Défense et de la Sécurité nationale.

    L’unification des tâches de sécurité, externe et interne, a deux conséquences désormais bien visibles : l’armée se voit confier des tâches de police tandis que la police se militarise. Mais surtout, l’idée s’installe dans les esprits qu’il ne s’agit plus de défendre un territoire contre un ennemi extérieur, mais de faire face à des dangers intérieurs sans cesse rappelés dans les discours officiels (« nous sommes en guerre ») et dans la pratique avec un état d’urgence plusieurs fois reconduits.

    Or, cette « sécurité nationale » ou « sécurité intérieure » est une notion bien floue, qui a été introduite dans la doctrine militaro-policière, et aujourd’hui dans les programmes scolaires, sans aucun débat public, ni dans la société, ni au parlement. Pas plus que la guerre extérieure, la guerre intérieure ne mérite donc délibération politique !

    D’autres notions tout aussi vagues, telles que « cohésion nationale » ou même « valeurs de la République[2] », viennent s’y ajouter pour former un ensemble d’injonctions destinées à façonner les esprits et à justifier la répression à l’encontre d’ennemis eux bien précis : les musulmans ou réputés tels, les classes populaires, les mouvements sociaux.

    Autre mot fétiche, la résilience.

    La résilience nationale est définie comme « la volonté et la capacité d’un pays, de la société ou des pouvoirs publics à résister aux conséquences d’une agression ou d’une catastrophe majeures, puis à rétablir rapidement leur capacité de fonctionner normalement, ou à tout le moins dans un mode socialement acceptable ».

    Ce qui est important ici, c’est la nécessité d’impliquer l’ensemble de la population, notamment en cas de menace d’un ennemi intérieur : l’école se voit attribuer le rôle de l’y préparer.

    Ces notions floues, « résilience », « cohésion », « engagement » servent à enfumer et à atténuer les effets d’une politique qui ne serait pas pour l’heure « socialement acceptable ». On pourrait traduire la citation précédente ainsi : des grèves avec occupation se multiplient, des blocages s’étendent, en l’essence manque, les poubelles s’entassent, la jeunesse des quartiers populaires entre action, le chef du patronat traite les grévistes et les jeunes de terroristes. Le gouvernement estime que la cohésion nationale est menacée, que la Nation est atteinte, et donc les valeurs de la République, et il en appelle à la résilience. Il a bien préparé les choses : de la maternelle à l’université, les enseignants ont été conviés à préparer les élèves à se mobiliser pour « faire fonctionner normalement » le pays, dans un « mode socialement acceptable » (par exemple en faisant primer la sécurité sur la démocratie). Des trinômes académiques (constitués de représentants des ministères de la Défense et de l’Education, et de l’Institut des hautes études de la défense nationale) existent partout sur le territoire et ont constitué des relais comme les y invite le protocole de 2016.

    Bien sûr, pour l’instant, le pouvoir ne peut énoncer de telles perspectives : mais il prépare les esprits.

    Le noyau dur de la mobilisation des esprits, de la résilience, est quant à lui bien précisé : c’est l’armée.

    Le protocole l’exprime ainsi :

     

    « L'enseignement de défense et de sécurité nationale, conçu en lien avec la formation à la citoyenneté, est centré sur la défense militaire, qui lui confère sens et visibilité, et concerne l'ensemble des disciplines.

    Il permet aux élèves de :

    - percevoir concrètement les intérêts vitaux ou nécessités stratégiques de la Nation, à travers la présence ou les interventions militaires qu'ils justifient ;

    - comprendre le cadre démocratique de l'usage de la force et de l'exercice de la mission de défense dans l'État républicain ;

    - appréhender les valeurs inhérentes au métier militaire, à partir de l'étude des aspects techniques. »

     

    L’école est ainsi appelée à expliquer et à justifier les guerres que l’impérialisme français conduit dans plusieurs régions.

    Un témoignage (datant de 2015, donc dans le cadre du protocole précédent) montre jusqu’où peut aller l’intrusion de l’armée dans l’école. Dans l’académie de Clermont-Ferrand, les enseignants ont été conviés à une journée de formation sur le thème de la défense nationale pour préparer une action en classe de troisième.

    L’expérience est ainsi relatée dans un blog de Mediapart[3], nous citons :

     

    « La pédagogie mise en œuvre fait l’objet d’un hallucinant powerpoint dans un premier temps mis en ligne sur le site de l’académie avant d’en être retiré. Extraits :

     

    «  Diviser la classe en cinq groupes. Expliquer à chaque groupe qu’il constitue un ennemi impitoyable de la France et qu’il doit mener une attaque contre cette dernière en 2015. Question : comment allez-vous procéder ? [Après] un temps d’échange entre les élèves, chaque groupe vient devant la classe expliquer sa stratégie. »

     

    Dans le cadre de l’inévitable étude de cas, les élèves s’intéressent ensuite au nouveau véhicule blindé VBCI ; un petit film de Giat Industrie leur permet d’arriver à cette trace écrite dont on mesure toute la sagacité : « l’armée française effectue ses missions à l’étranger, il est important d’être bien accepté par les populations locales. Le fait que le VBCI soit pourvu de roues et non de chenilles y contribue » (sic). Histoire, sans doute, de faire oublier par lesdites populations locales les soupçons d’abus sexuels dont sont accusés certains militaires…

     

    Bien sûr, on veillera à « privilégier la mise en activité des élèves avec des partenaires extérieurs (…) : le délégué militaire départemental, le 92e RI, la réserve, le centre d’information et de recrutement des forces armées etc. »

     


    [1] Jusqu’à sa démission en 1985 suite à l’affaire du Rainbow Warrior, le bateau de Greenpeace dynamité à Auckland par une opération de commando préparée avec Mitterrand, et qui a coûté la vie au photographe Fernando Pereira.

    [2] Souvent réduites à une seule, la laïcité, qui elle-même a brutalement changé de sens, puisqu’elle s’applique désormais aux individus.

     

     


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  • Année de la Marseillaise

    Ou le formatage des populations

    Doit-on être pour, ou contre un chant patriotique ? Personnellement, je n'ai rien contre, sauf que celui-là, en l'occurrence n'est pas un chant patriotique, encore moins un symbole de la république,  mais un chant de guerre, un appel à la guerre.

    Un grand nombre de citoyens et quelques personnalités dénoncent les paroles guerrières de ce chant haineux.

    http://www.publicsenat.fr/lcp/politique/marseillaise-un-appel-x-nophobie-selon-s-natrice-blandin-qui-souhaite-modifier-382319

    Mais comme toujours, l'exécutif, de gauche comme de droite, de l'extrême gauche à l'extrême droite, en font leur vitrine politique.

    Si la mesure annoncée par la ministre de l'éducation fait résonance aux récents attentats en France, elle est destinée à une jeunesse fragile, réceptive à toute tentative de formatage. Il ne fait aucun doute que les extrémistes radicaux risquent bien d'être pris pour cibles racistes, à entendre " qu'un sang impure abreuve nos sillons...". Ils bien hélas, de réagir à de telles initiatives propres à la provocation.

    Contrairement à certaines affirmations malveillantes, ne pas aimer la Marseillaise ne signifie pas ne pas aimer la France. Quand bien même ce pays est le terreau du terrorisme d'état et de la xénophobie.

    Gaulois.

     


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  • Pas de prof d'anglais

    Ou l'anglais impérialiste prioritaire

    Il n'est pas sûr que l'inquiétude dont font preuve les élus soit la même si les professeurs d'italien, d'espagnol, d'allemand, etc... venaient à manquer.

    Ce n'est un secret pour personne. Nous sommes, l'éducation nationale en tête, soumis aux dictats de l'impérialisme anglo-américain. Il suffit pour s'en convaincre de suivre la presse écrite et audiovisuelle. Pas un phrase sans formule ou mot anglais. A croire que le français est une langue morte. 

    Comme je l'affirme souvent, il n'est pas question d'être fondamentalement contre l'anglais, mais bien contre le fait qu'il soit imposé dans le monde entier. Imposer l'anglais, c'est à n'en pas douter imposer la culture anglo-américaine qui va avec et qui, à y regarder de près, n'est pas si jolie jolie ! 

    Quelques sites à consulter, parmi bien d'autres pour se faire un idée :

     

    http://www.leblancetlenoir.com/2015/01/la-langue-comme-vehicule-de-l-imperialisme-culturel.html

     

    https://blogs.mediapart.fr/victorayoli/blog/160513/merde-l-anglais

    http://www.ledevoir.com/societe/medias/369591/pour-ou-contre-l-imperialisme-culturel-anglo-americain

     

    http://www.axl.cefan.ulaval.ca/amnord/usa_6-8histoire.htm

     

    http://www.sat-amikaro.org/article608.html

    Gaulois.

     


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  • Tout est Permis

    Pour quand le permis de vivre aux enfants.

    Sur le fond, que les enfants soient éduqués, dans ce monde de brutes sur les usages du piéton et d'internet n'est pas le problème. Au fait, les enfants qui n'ont pas le permis piéton font comment pour se déplacer ?
    Plus sérieusement, c'est bien sur la forme que se pose le problème. Police et gendarmerie n'ont rien à faire et ne doivent pas s'immiscer dans le rôle éducatif des parents et des enseignants. Qui plus est, des policiers prennent la place de l'enseignant, arme à la ceinture.
    Si cela ne vous choque pas, moi si !

    Un policier dans chaque classe, dans chaque famille pour encadrer les enfants, c'est pour bientôt ?
    Gaulois.


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  • Réussir sans le bac

    Bien sûr que l'on peut réussir sans le bac.
    Il n'est pas question de dévaloriser les 617900 bacheliers reçus en 2015, la question étant : que vaut le bac ?
    Après les réformes successives de l'éducation nationale, ou si vous préférez la casse de l'enseignement, le baccalauréat est vide de son contenu.
    Le bachelier actuel n'est même pas capable d'écrire un texte sans faire plusieurs fautes par ligne. De même, sans la calculette, il ne sait pas compter.
    Le bon temps du certificat d'études est révolu. Gaulois l'a obtenu en 1958 et il a la prétention d'avancer qu'il vaut bien le bac d'aujourd'hui. Le certif. D'antan ouvrait bien plus de portes sur la vie « Active » que le bac actuel.
    La jeunesse d'aujourd'hui c'est l'ordinateur, la calculette, les jeux vidéos, les expressions en anglais, langue impérialiste de l'ordre mondial, totalement inutiles dont ils sont abreuvés par les médias.
    Le système technocratique français a volontairement infantilisé la jeunesse, car c'est bien connu, si le peuple est trop instruit, il se révolte plus facilement. 
    Cocoricooooo !!!
    Gaulois.

     

     

    Plus loin :  

    http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2014/11/12/31003-20141112ARTFIG00335-eleves-moyens-aujourd-hui-il-vaut-mieux-un-bon-cap-plutot-qu-un-bac3.php

     http://www.lexpress.fr/actualite/societe/le-baccalaureat-vaut-il-encore-quelque-chose_1263958.html

     http://www.contrepoints.org/2014/06/16/169041-le-baccalaureat-une-institution-couteuse-quil-faut-reformer

     


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  • Apologie du terrorisme

    Jamais la France n'est tombée aussi bas, sauf sans doute il y a 70 ans, sous Vichy

    Comment peut-on prendre au sérieux les paroles d'un gosse de 8 ans ?

    Comment peut-on obliger un enfant à observer une minute de silence ?

    L'impérialisme et une certaine doctrine nationaliste peut faire craindre le pire.

    Bientôt, même vos rêves seront considérés comme l'apologie du terrorisme.

    Vous n'avez pas envie de vomir ? Moi si !

    Gaulois.

     


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  • Parler du terrorisme à l'école

    La question posée par Le Maine Libre est mal formulée à plus d'un titre.

    Parler du terrorisme à l'école ? Pourquoi pas, mais en aucun cas par les élus. Ce devrait être formellement interdit. Ceux-là saisissent l'opportunité de redorer leur étiquette politique, souvent contestée. Les fondamentaux de l'éducation nationale sont bafoués, car où sont passés les instituteurs ? N'est-ce pas à eux, dans le cadre de l'éducation civique, comme cela se passait il y a quelques décennies, d'aborder le sujet, oh combien délicat. Les instituteurs d'autrefois avaient assez de pédagogie pour cela. Aujourd'hui, ils sont remplacés par les élus, les gendarmes, les promoteurs du nucléaire par EDF, Le patronat, etc...
    Ces élus sans scrupule s'attaquent directement aux enfants du primaire, justement les plus vulnérables psychologiquement. C'est exactement comme la religion à travers le catéchisme et bientôt, nous verrons les curés rentrer eux aussi dans l'école.

    Bien sûr, pour faire bonne mesure, les sujets les plus sordides sont abordés, afin de bien traumatiser les gamins. Est-il besoin de les obliger à scander « Je suis Charlie ». Assurément, ce n'est pas autre chose qu'une pratique sectaire. 

    Comment les parents et les enseignants peuvent-ils accepter de telles pratiques de manipulation et de formatage ? Leur abandon de l'éducation, la vraie, est terrifiant et à bien y réfléchir, ce n'est pas ainsi que le terrorisme disparaîtra. Sans oublier le terrorisme d'état, tout aussi dangereux et insidieux.
    Non décidément, la France a perdu tous ses repères.
    Cocoricooooo !
    Gaulois.


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