• La machine parlementaire au service de l'homme-machine

    Ca ne vous inquiète pas ces horribles projets de la mafia scientifique ? Pourtant il y a de quoi l'être pour les générations à venir. Ces fous dangereux de la science " Officielle " et leurs " complices parlementaires " nous préparent l'homme machine de demain. L'être humain n'existera plus en tant que tel. Il sera vidé de la plupart de ses éléments biologiques naturels et ses perceptions émotionnelles seront remplacées par l'automatisme mécanique. Quand la fiction devient réalité avec l'homme machine.

    Gaulois.

    La machine parlementaire au service de l’homme-machine

    Ou comment l’OPECST fait la promotion des neurotechnologies

    vendredi 30 mars 2012 par Pièces et main d’œuvre :

    http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume&id_article=361

    Chacun sait que lorsqu’elle réalise l’un de ses funestes projets, ou bien lorsqu’elle fait l’objet de critiques, la mafia scientifique se hâte de se draper d’une couverture "éthique" (Comets, Comité consultatif national d’éthique), ou de l’aveu d’une autorité "indépendante" (Cnil, Afssaps) ; cette fois-ci le cas est si douteux qu’il n’y faut pas moins qu’un rapport de l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et techniques.

    Qu’est-ce que cet office ? Une structure créée en 1983 pour « éclairer les décisions du Parlement », composée de 18 députés et 18 sénateurs, et qui se décrit comme « un intermédiaire entre le monde politique et le monde de la recherche ».

    C’est que cette fois, le cas est sans espoir : la fabrique de l’homme-machine par les neurotechnologies, notamment à Clinatec, la "clinique expérimentale du cerveau" du CEA-Minatec de Grenoble. Ce que les parlementaires nomment pudiquement "L’impact et les enjeux des nouvelles technologies d’exploration et de thérapie du cerveau".

    C’est si frappant qu’un lecteur nous a dit : "Voilà le rapport parlementaire qui valide l’enquête de Pièces et main d’oeuvre sur Clinatec". Jugez-en vous-mêmes : « Les avancées en neuroimagerie, particulièrement grâce à l’IRM fonctionnelle, font émerger la capacité sans précédent de corréler l’activité du cerveau avec les états psychologiques (de nombreux travaux ont été menés sur le mensonge), les grands traits de la personnalité (incluant l’extraversion, le pessimisme, la capacité à l’empathie, l’obstination, voire les attitudes racistes inconscientes, la prédisposition au crime violent...) et certains désirs (préférences sexuelles ou pour certains objets, exploitées en neuromarketing). Les travaux visant à améliorer la compréhension du comportement criminel font envisager d’autres interprétations de la notion de responsabilité individuelle qui, dès lors, ne dépendrait pas exclusivement du libre-arbitre. »

    A lire :
    - Le rapport de l’OPECST : "L’impact et les enjeux des nouvelles technologies d’exploration et de thérapie du cerveau".
    - Clinatec, le laboratoire de la contrainte, inauguré à Grenoble le 31 janvier 2012

     


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    Nanotechnologies

    C'est quoi une nanoparticule ?

    Une nanoparticule est un objet minuscule composé seulement de plusieurs centaines d’atomes. Si petite que certaines de ses dimensions sont de taille nanométrique (de 1 à 100 nanomètres). Un nanomètre est 1 million de fois plus petit qu’1 millimètre.

    Les nanoparticules servent à fabriquer des nanomatériaux et sont utilisées dans des centaines de produits commercialisés de nos jours.

    Elles sont exploitées dans tous types de domaines : médecine, cosmétique, électronique, biologie, biochimie, batiment, imagerie…

    Les nanoparticules sont utilisables depuis peu et intéressent donc particulièrement les scientifiques. Elles font l’objet de recherche fondamentale et de recherche appliquée.

    Mais ne croyez pas qu’il n’y a que les chercheurs qui soient en contact avec les nanoparticules. De plus en plus de crèmes solaires et de produits cosmétiques en contiennent. Elles sont aussi présentent dans les peintures murales, vernis, enduits extérieurs, isolants et dans bien d’autres matérieux qu’il vous arrive de manipuler ou avec lesquels vous vivez…

    Les Nanoparticules  seraient cancérigènes... ( dans les sauces et le ketchup par exemple )

    Les nanoparticules sont dans l'air du temps… au sens littéral du terme. On les respire, on les porte et maintenant, on les mange ! Eh oui, elles sont partout. L'industrie agroalimentaire se régale de ces produits pour nous offrir des aliments à la texture "idéale". Y a-t-il des raisons pour nous, consommateurs, de s'inquiéter ? Que savons-nous de ces particules ?

    Qui aurait pensé que derrière l'onctuosité d'un chocolat chaud ou d'une crème glacée se cachent de petites particules, actuellement au coeur d'une polémique internationale ? Et pourtant, les nanoparticules, nouveaux "chouchous" des scientifiques, suscitent l'inquiétude des gouvernements.

    Les nanoparticules dans nos aliments

    Les nanoparticules, de la taille d'un milliardième de mètre, soit mille fois plus petites que l'épaisseur d'un cheveu, sont utilisées dans une variété d'aliments. Les textures de la poudre de chocolat ou du ketchup sont ainsi améliorées par ajout de dioxyde de silicium (SiO2). La couleur des confiseries est stabilisée et les vinaigrettes sont blanchies par du dioxyde de titane (TiO2). Tantôt épaississants, tantôt conservateurs ou colorants, le SiO2 et le TiO2 sont davantage connues sous le nom d'additifs alimentaires E551 et E171.

    Outre leur emploi dans les aliments, ces minuscules particules se retrouvent aussi dans les emballages alimentaires, notamment les nanoparticules d'argent qui présentent un haut pouvoir antibactérien. Que cela soit pour modifier la couleur, la fluidité ou encore le goût, les applications des nanoparticules dans le domaine alimentaire sont immenses. Mais comment leur utilisation est-elle réglementée ?

    Une réglementation à mettre en place

    Aucune chance de lire sur les étiquettes de nos produits de consommation la mention : nanoparticule. Pour la simple et bonne raison, qu'à l'heure actuelle, les industriels clament qu'ils n'utilisent pas de nanoparticules ! Et si c'état le cas, rien ne les oblige à en signaler la présence au consommateur. Mais alors, comment est-il possible de trouver des additifs alimentaires de la taille du nanomètre ?

    Jusqu'à présent, les critères pour autoriser la mise sur le marché d'un additif ne comprenaient pas la taille des particules. C'est pourquoi un additif déjà autorisé ne faisait pas l'objet d'une nouvelle autorisation même si on modifiait sa taille par un procédé de nanotechnologie. Le règlement Nº 1333/2008 de la Communauté européenne sur les additifs alimentaires, qui sera applicable le 20 janvier 2010, va changer ces pratiques.

    En attendant, les résultats des études toxicologiques tendent à mettre en garde les instances gouvernementales des risques sanitaires dus à l'ingestion de ces substances. En effet, les nanoparticules seraient capables de traverser les barrières biologiques, comme la paroi cellulaire. Autrement dit, grâce à leurs nanotailles, elles pourraient se nicher à l'intérieur d'une cellule et provoquer d'éventuelles inflammations et dommages génétiques.

    Notons que depuis le 10 mars 2006, le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a classé le dioxyde de titane cancérigène pour l'homme par voie respiratoire...

    Une polémique internationale

    Néanmoins, il faut rester vigilant quant aux données toxicologiques relatives à l'ingestion de nanoparticules. "Chaque nanoparticule est différente" précise Dr Andrew Maynard, responsable du Project on Emerging Nanotechnologies au Centre international Woodrow Wilson à Washington. Mais il est vrai qu'en fonction de leurs propriétés, "elles peuvent éventuellement endommager une cellule" confie-t-il. "Au stade actuel des connaissances, il est essentiel de se demander quelles sont les vraies questions" pour permettre de faire la lumière sur la polémique que l'utilisation des nanoparticules engendre dans la communauté internationale. Mais surtout pour assurer une sécurité sanitaire à chacun d'entre nous.

    Selon un récent rapport de l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa), les connaissances sur les risques sanitaires liés à l'ingestion de nanoparticules sont insuffisantes. L'Afssa appelle alors à la prudence et un débat public sur les nanotechnologies s'est ouvert mi-octobre 2009.

    Il ne fait aucun doute que toutes ces technologies - Nanotechnologie - OGM - Nucléaire - etc... Auront à terme raison de l'espèce humaine, de la faune et de la flore. Arrêtons ces fous furieux et criminels avant qu'il ne soit trop tard.

    Gaulois



     



     


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