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La morosité des français
Ca dépend pour qui et pourquoi !
Les efforts demandés aux assurés n'empêchent pas la CPAM de Bayonne de ne pas faire dans la morosité.
C'est vraiment pas de pot, le fait est heureusement dénoncé
Cet autre article, si le sondage n'est pas pipé, fait peur.
Faire confiance à l'armée, de surcroît professionnelle, ainsi qu'à la police révèle l'esprit des français qui rappelle celui d'il y a quelques décennies.
Le bruit des bottes ? Ou le silence des pantoufles ?
Gaulois.
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Autorisation de pause pipi !
Ou faire ses besoins naturels n'est pas un droit.
Non seulement il faut demander l'autorisation de faire pipi pendant le travail, mais maintenant il faut le faire par courriel ! Alors qu'on se le dise, munissez-vous d'un robinet afin de palier aux attentes de réponses qui peuvent être tardives ! Il y a bien une autre solution ; soulagez-vous à votre poste de travail. Vous pouvez aussi vous munir d'une poche à pipi et une autre pour la grosse commission. Comma ça, vous êtres tranquille - ou presque - pour la journée.
Pauvre France.
Gaulois.
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Chasse aux nuisibles
Cet article sur la chasse aux nuisibles est incomplet. En effet, dans la liste citée, il manque une espèce oh combien plus nuisible, l'espèce humaine !
Pauvre France ! Cocoricooooo......
Gaulois.
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La police dans tous ses états
Ou les pitbulls de la république
L'actualité est riche sur les violences policières.
Ce lycéen serré de près par un groupe de pitbulls et violemment frappé gratuitement par l'un d'eux.
La lâcheté dans toute sa spendeur !
Manifestations contre la loi travail : un lycéen violemment frappé par la police, l’IGPN saisie
La scène s’est déroulée aux abords du lycée parisien Henri-Bergson, dans le 19e arrondissement, devant le restaurant La Table d’Hugo Desnoyer, avenue Secrétan, alors que les lycéens organisaient le blocus de leur lycée, en signe de protestation contre le projet de loi El Khomri, présenté jeudi 24 mars en conseil des ministres.
Contacté par Francetv info, le jeune manifestant a donné sa version des faits : « On lançait des œufs et de la farine, et ensuite, les policiers se sont mis à nous courir après, explique-t-il. Ils m’ont mis les menottes et m’ont dit que ce n’était pas fini, que je verrai au commissariat. » Après avoir été fouillé et pris en charge par un policier plus « gentil », dit-il, l’adolescent est rapidement relâché, explique Francetv info.
« Certains fonctionnaires étaient blessés »« Dans la matinée des projectiles ont été jetés sur les véhicules de police faisant des passages aux abords du lycée. Des manifestants ont mis le feu à des poubelles. L’un des manifestants, auteur des jets de projectiles, se montrait très virulent envers les effectifs », a justifié la préfecture de police dans un communiqué.
Lire aussi : Mobilisation contre la loi du travail : pourquoi les lycées de l’Est parisien s’enflamment
« Lors de cette intervention les fonctionnaires du commissariat du 19e arrondissement ont procédé à plusieurs interpellations dans des conditions difficiles. Certains fonctionnaires étaient blessés à cette occasion, et l’un d’entre eux était conduit à l’hôpital », a-t-elle ajouté.
« Après avoir pris connaissance des conditions de cette intervention et notamment de l’interpellation objet de la vidéo diffusée sur les réseaux sociaux, Bernard Cazeneuve, ministre de l’intérieur, a immédiatement demandé au préfet de police Michel Cadot de faire diligenter une enquête administrative par l’IGPN [inspection générale de la police nationale] », a précisé la préfecture de police.
Des voitures incendiées
« L’enquête est en cours et ses conclusions feront l’objet de toutes les suites juridiques qui s’imposeraient », a souligné la préfecture.
Jeudi après-midi, la manifestation des lycéens et étudiants contre le projet de loi sur le travail a dégénéré à Paris, « 20 personnes ont été interpellées dans ce cadre sur l’agglomération parisienne, dont 15 à Paris », selon le communiqué de la préfecture. « Les cinq autres interpellations se sont déroulées en Seine-Saint-Denis », a précisé une source policière.
Les blocages de lycées et les manifestations de jeunes gens ont moins rassemblé que la semaine dernière.
Lire aussi : Mobilisation contre la loi travail : « C’est sûr, il y a moins de monde »
Des voitures ont également été incendiées ; des policiers, blessés ; et un incendie de containers à poubelles s’est propagé à la façade d’un établissement scolaire.
Cette jeune femme visée par un autre pitbull tout aussi agressif. Même si pas toujours d'accord avec la CGT, son affiche n'a rien d'exagéré, bien au contraire, elle reflète la triste réalité sur l'état de la police française.
Les protestations de l'exécutif sont ignobles et sans fondement. Wals se prendrait-il pour Papon ?Beaucoup de bruit autour d’une affiche pour assourdir les coups des CRS
Violences policières
MEDHI FIKRI, AVEC CYPRIEN BOGANDA (À MARSEILLE)
L'HUMANITÉ 20-04-16
http://www.humanite.fr/beaucoup-de-bruit-autour-dune-affichepour-assourdir-les-coups-des-crs-605227
Jan SCHMIDT-WHITLEY/CIRIC
Une affiche d’ Info’com CGT dénonçant les violences policières a déclenché, en plein congrès de la CGT, une polémique instrumentalisée par la droite et une partie du PS. La police des polices admet elle-même qu’il y a bien un problème avec l’attitude de certains agents…
Si l’affiche du syndicat Info’com de la CGT avait été moins joliment réalisée, avec sa très graphique giclée de sang, elle aurait sans doute moins fait parler d’elle. Car, en soi, sa dénonciation des violences policières qui émaillent le mouvement contre la loi El Khomri est plutôt évidente. Pas de quoi s’étonner, alors que les réseaux sociaux sont remplis depuis plusieurs semaines de photos et de vidéos montrant la police dans ses œuvres, jusqu’au récent coup de pied administré par un CRS à une jeune femme de 24 ans, qui a donné naissance au hashtag rieur#posetoncrs. Bref, la police tabasse à tout va, c’est un fait, et la polémique qui entoure l’affiche de la CGT Info’com n’a clairement pas lieu d’être.
« C’est un débat de bas étage qui vise à décrédibiliser le mouvement social et notre syndicat, résume Stéphane Paturey, secrétaire général adjoint d’ Info’com CGT. Vous ne trouvez pas étonnant que cette polémique idiote tombe alors que nous sommes en plein congrès national ? » Le vice-président du Front national (FN), Florian Philippot, et le à peine moins à droite Éric Ciotti (« Les Républicains ») ont été les premiers à s’offusquer. Suivis de près par Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, qui s’est dit « choqué ». En bon soldat du gouvernement, le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, s’est également emparé de l’affaire pour évoquer une prétendue « gauchisation » de la CGT, surtout coupable de son opposition à la loi El Khomri. « Le PS et le gouvernement sautent sur l’occasion pour caricaturer la CGT, au lieu de répondre sur le fond aux problèmes posés par leur politique, relève Baptiste Talbot, secrétaire général de la fédération services publics, interrogé pendant le congrès à Marseille. C’est pas nous qui nous gauchisons, c’est le PS qui se droitise ! »
La grande clémence dont jouissent les agents de police mise en cause
Derrière la manipulation antisyndicale, il y a aussi l’atavisme aveugle qui pousse certains politiques à vouloir défendre les forces de l’ordre coûte que coûte. Pourtant, l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) elle-même reconnaît qu’il y a un gros problème. Fin mars, elle a décidé de se doter d’un outil statistique pour justement quantifier les violences policières. Cette initiative vise, selon l’IGPN, à recenser « les blessures sérieuses, les blessures graves et les décès de particuliers survenus à l’occasion de l’exercice des missions de la police nationale ». Et a été lancée dans la foulée de la remise du rapport accusateur de l’Action des chrétiens pour l’abolition de la torture (Acat) en mars. L’association a étudié 85 affaires de violence policière sur une période de dix ans et déplore la grande clémence dont jouissent les agents mis en cause. Sur cette période, un seul cas a donné lieu à une peine de prison ferme, les autres débouchant sur du sursis, y compris lorsque des policiers étaient coupables d’homicide.
« La question, c’est qui dirige la police aujourd’hui », pointe Anthony Caillé, de la CGT police. Le syndicaliste s’interroge sur l’absence d’instruction donnée par la hiérarchie pour calmer ses troupes déployées à Paris. « Pourquoi les lycéens qui se tenaient tranquilles à Nation, après la manif du 9 mars, se sont fait charger ? Et à l’inverse, on laisse le champ libre à d’autres pour casser des trucs ? », souligne Anthony Caillé. Selon lui, « tout semble fait pour casser le mouvement ».
Voir une tête de mort sur la matraque d'un flic en dit long sur la mentalité de ces chiens enragés.
Une tête de mort sur la matraque d'un policier crée la controverse
L'Express 20-04-16
http://news.lexpress.fr/une-tete-de-mort-sur-la-matraque-d-un-policier-cree-la-controverse-22568
Un emblème sulfureux mais maintes fois utilisé
Pour le site, aucun doute: l'emblème est une référence au personnage de BD le Punisher. Ce dernier, ivre de vengeance, pourchasse les criminels impunis qui sont parvenus à échapper aux mailles du filet de la justice. Comme l'explique le Time, la référence est courante au sein des forces spéciales américaines envoyées en Irak qui en ont fait un symbole de la lutte contre l'organisation Etat islamique.
Selon Le Parisien, qui l'a retrouvé en Suède, l'homme a quitté l'armée est est devenu conducteurs d'engins. Il reconnait aujourd'hui "son erreur" mais a gardé le foulard en souvenir.
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Insolite
Elle est bien bonne celle-là. Difficile de croire qu'il ne s'agit pas d'un canular !
Si j'en avais l'occasion, je me rendrais volontiers dans cette citadelle avec des bottes bien crottées. Je vous choque ? Tant pis.
Il y en a raz le bol de ces monuments classés UNESCO. Il faudrait expliquer pourquoi le fait de marcher pieds nus porte atteinte à je ne sais quel problème de sécurité et d'hygiène. Quand à la civilité invoquée, c'est du délire.
N'oublions surtout pas que nous sommes en France, pays de libertés et des droits de l'homme ! Dans le cas contraire, il faudrait marcher sur la tête, quoi que.....
Cocoricoooo !!!!
Gaulois.
La justice interdit de marcher pieds nus dans la Citadelle de Besançon
Par LEXPRESS.fr
http://news.lexpress.fr/la-justice-interdit-de-marcher-pieds-nus-dans-la-citadelle-de-besancon-22408
"Je demande juste qu'on me laisse vivre ma vie"
Le tribunal bisontin a indiqué dans un communiqué avoir jugé que "cette restriction à la liberté individuelle du choix par chacun de sa tenue vestimentaire" était "légalement" justifiée.
Les pieds nus "plus sûrs que les chaussures"
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État de guerre
La France en guerre permanente ? Bien sûr et selon les époques, cette guerre-là est sournoise et invisible. Les médias, comme toujours à la botte nous dévoilent ce qui semble politiquement correct sur le terrorisme et les attentats récents. Rien ou si peu est dit sur les origines des remous parfois sanglants. On dénonce les conséquences, mais surtout pas les causes, inavouables. Ce n'est pas une affaire particulière de parti politique, mais d'une politique globale du colonialisme d'affaires. Certes, la France était en guerre bien avant le 13 novembre et depuis toujours. Nous pouvons assimiler sans hésiter les colonisations passées et....Actuelles à un état de guerre.
Les interventions militaires françaises n'ont qu'un seul but non avoué, mettre la main sur les richesses de ces pays dans lesquels ils ont organisé les conflits. Cela le plus souvent orchestré avec les chefs d'état reconnaissants de ces mêmes pays ....
N'oublions jamais que les états voyous comme la France sont souvent à l'origine des désordres dans les pays d’Afrique ou d'ailleurs. Comme les ventes d'armes, par exemple.
Le texte ci-dessous est limpide et explique assez bien le pourquoi du comment.
Gaulois.
Ce n'est pas parce qu'il y a des guerres qu'il y a des armes.
C'est parce qu'il y a des armes qu'il y a des guerres.----------------
Collectif ni guerres ni état de guerre
http://collectifantiguerre.org/spip.php?article51&lang=fr
Texte fondateur
La France était en guerre bien avant les attentats du 13 novembre, lesquels ont largement servi de prétexte à intensifier ces engagements militaires. Les guerres de pillage pour le contrôle des ressources n’ont pas manqué depuis le début des années 2000, en Irak, en Afghanistan, en Libye, au Mali, en Centrafrique. Ces conflits doivent être désignés par leur nom : ce sont des guerres d’ingérence impérialiste. La France n’a aucun « rôle positif » dans ces interventions, malgré ses prétentions puisées à l’ancien répertoire colonial.
Les interventions militaires que mène l’État français sont très largement invisibles dans les médias. Le peu qui en est dit impose un consentement au nom d’une logique sécuritaire, avec ou sans habillage humanitaire ; le discours belliciste entend anesthésier et tétaniser la population. Pourtant, comment ne pas rappeler les désastres que sèment ces guerres, les millions de morts, de blessés et de déplacés, la misère, le désespoir jetant les populations sur les routes, tandis que s’enrichissent les profiteurs de guerre, les multinationales vendeuses d’armes – la France tenant en la matière le quatrième rang mondial. Ce sont aussi des dépenses colossales, qui détournent l’argent public de dépenses sociales, culturelles et écologiques vitales. De surcroît, l’État qui mène ces guerres, en pompier pyromane, nous entraîne dans une spirale infernale ayant pour effet de renforcer la haine qui débouchera sur d’autres attentats. Les « Rafale » tuent des civils aussi innocents que ceux du Bataclan. Ces bombardements sont des bombes à retardement.
La guerre devient désormais un moyen de gouverner – et de gouverner par la peur. L’état de guerre proclamé justifie la privation croissante des libertés et des mesures directement inspirées de l’extrême droite comme la déchéance de nationalité. Cette situation, d’une extrême gravité, passe pourtant pour une évidence dans le discours politique dominant, comme s’il s’agissait de banaliser la guerre et de nous habituer à cet état martial et sécuritaire. Car l’état d’urgence vise à museler les colères et les luttes : cette guerre est aussi une guerre sociale.
Nous nous opposons aux guerres d’ingérence et de spoliation - donc à tous les impérialismes. Mais nous sommes en France et c’est donc en France que nous pouvons nous battre en priorité contre « notre » propre impérialisme. Nous pouvons le faire concrètement, sans abstraction ni proclamation : parce que les questions géopolitiques qui se jouent parfois à des milliers de kilomètres ont des résonances fortes, ici, dans nos quartiers. C’est pour cela que la lutte de notre collectif passe par le combat contre tous les racismes, et notamment le racisme anti musulman, contre les inégalités et les discriminations, le soutien aux migrants et aux sans-papiers, l’opposition aux mesures d’exception et au contrôle généralisé des populations qui ciblent en priorité les personnes musulmanes ou supposées telles, les quartiers populaires et les mouvements sociaux.
Il nous faut donc nous organiser, riposter par une résistance à la hauteur de ce que nous subissons, à la hauteur des guerres qui se font contre les populations, contre nous et en notre nom. C’est pourquoi nous avons décidé de lancer un Collectif contre la guerre, qui
• exige l’arrêt immédiat des interventions militaires françaises, le retrait des bases militaires, la fin des traités et alliances (OTAN…) ;
• dénonce le marché des ventes d’armes qui irrigue entre autres les pires dictatures ;
• combat la militarisation de la société, le quadrillage des territoires et des esprits par le complexe militaro-industrielle ;
• soutient le droit à l’autodétermination des peuples, apporte sa solidarité aux forces de résistance et d’émancipation.
Nous voulons élargir ce comité, nationalement et localement, à toutes les organisations et toutes les personnes qui se retrouvent dans ce combat.
Pour tout contact et signature : antiguerre16@gmail.com
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Un livre à paraître bientôt
Malgré tous les efforts de la secte nucléaire pour jeter le discrédit sur ceux qui, à juste titre, dénoncent les méfaits de la radioactivité, le nucléaire est en perte de vitesse et c'est tant mieux. Faudra-t-il affirmer encore longtemps que cette technologie est synonyme de mort.
Ne manquez pas cet ouvrage car l'auteur sait de quoi il parle.
Gaulois.
http://enfants-tchernobyl-belarus.org/doku.php
Le bilan humain de la catastrophe de Tchernobyl d’avril 1986 a été définitivement figé avec le rapport adopté en 2006 par l’ONU et les gouvernements biélorusse, russe et ukrainien. Ce bilan minore considérablement le nombre de victimes, car il « ignore » de nombreuses séquelles constatées chez les millions de personnes exposées aux retombées radioactives et chez les 800 000 « liquidateurs » de l’accident. Et, en octobre 2011 un expert russe qui avait coordonné la rédaction de ce rapport a affirmé au Japon que la santé de la population touchée par les rejets radioactifs de la catastrophe de Fukushima, en mars 2011, ne serait pas affectée…
Comment expliquer cette scandaleuse culture du déni des effets de la radioactivité ? En se plongeant dans les archives, en remontant aux premiers usages intensifs des rayons X et du radium. C’est ce qu’a fait Yves Lenoir pour ce livre où il retrace la surprenante histoire de la construction progressive d’un système international de protection radiologique hors normes au sein de l’ONU, qui minore systématiquement les risques et les dégâts des activités nucléaires.
On apprend ainsi comment les promesses de l’« énergie atomique » civile ont fait l’objet dans les années 1950 d’une intense propagande au niveau mondial : non seulement cette énergie satisfera sans danger les besoins de l’humanité, mais l’usage généralisé de faibles doses de radioactivité permettra de décupler la production agricole ! Surtout, Yves Lenoir révèle que les normes de protection des travailleurs de l’énergie atomique ou des populations qui pourraient être exposées après un accident nucléaire ont été définies par une poignée d’experts, en dehors de tout contrôle démocratique. Il explique leurs méthodes pour construire une « vérité officielle » minimisant les conséquences de Tchernobyl. Et comment ces procédés ont été mis en œuvre, en accéléré, après Fukushima. Une remarquable enquête historique, riche de nombreuses révélations.
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