• Carburant gratuit

    http://www.republicain-lorrain.fr/actualite/2012/04/17/doubs-essence-gratuite-a-la-pompe-fracturee

    Voilà une histoire « Total-ement délicieuse ».

    Une fois n'est pas coutume, les usagers sont gagnants. Personnellement, je n'aurais pas hésité une seconde et j'aurais fait comme tout le monde.

    Habituellement ils sont les pigeons des grands du secteur. Alors qu'ils aient profité de l'aubaine, vu le prix des carburants, n'est que justice. Aucun scrupule à avoir, quand on sait les scandales liés aux compagnies pétrolières et les taxes de l'état qui nous vole en permanence sans vergogne. Sans oublier les pratiques commerciales de la grande distribution.

    Poursuivre les automobilistes pour vol ? Il faut voir. Selon les autorités, le fait de se servir gratuitement en carburant en sachant que la machine ne fonctionne pas est assimilé à un vol ...Aggravé par l'effraction sur la machine. Il est remarquable de constater le laxisme de ces mêmes autorités à l'encontre des géants du secteur, qui nous pompent chaque jours honteusement notre argent. Alors qu'elles sont prêtes à mettre une région sans dessus-dessous pour retrouver les « Coupables » et les punir sévèrement. Il est à espérer que ces " Clients " sauront se défendre. Que les gendarmes disposent de nombreuses plaques d’immatriculation afin de mener leurs investigations est une chose. Poursuivre ceux qui auraient ou qui ont profité de l'aubaine pour, selon les autorités « vol aggravé », est autre chose. Ils peuvent faire valoir qu'il n'y a pas vol car ils n'étaient pas censés savoir que la pompe était " Gratuite ". Après le plein, il était légitime de croire à un geste du magasin. Bon, je sais c'est utopique mais par ailleurs, la ficelle du traficotage de la pompe sans trace d'effraction est un peu grosse non ? le gérant n'a sans doute pas voulu reconnaître un dysfonctionnement. En tout cas, sa plainte risque de lui faire perdre quelques clients, au moins temporairement.

    Dire que ce problème de pompe s'ajoute aux grivèleries dans les stations et autres siphonnages de camions ou engins de chantier est un peu osé et fort de café.

    Pour ce qui est du préjudice de 4.320 € subi par le super marché, je suis persuadé que ça ne va pas faire pleurer dans les chaumières. La personne qui a alerté la gendarmerie est quand à elle très probablement beaucoup moins motivée pour dénoncer les conditions de travail du personnel de la grande surface.

    Si ma nourrice était encore de ce monde, elle aurait déclaré : « Savoir profiter, ce n'est pas voler ».

    Gaulois.

     

     

     

     

     



     



     



     



     



     

     

     

     

     



     

     

     



     






     



     

     



     


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  • A l'aventure

    Lorsque je prend connaissance de tels articles, je sens monter en moi la révolte. Il m'arrive même d'avoir la larme au coin de l’œil. Ces jeunes gens ont tout perdu à cause des pesticides.
    Combien de personnes comme eux sont et seront encore les victimes d'agriculteurs et de multinationales sans scrupule à empoisonner la planète, au nom du profit et ainsi jeter dans la misère ceux qui respectent la nature ? Comment peut-on accepter de tels drames ? Et rester indifférents ?
    Nous ne pouvons que souhaiter bonne chance à ce jeune couple qui part à l'aventure,
    à la recherche d'horizons plus cléments. 
    Gaulois.


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  • Six mois pour démolir notre maison

    Il ne fait pas bon construire à proximité du Mont St Michel. Christian Saunier en fait la triste expérience. Les démêlées avec des voisins lui valent l'annulation de son permis de construire et la destruction de sa maison.

    Vous n'allez pas me croire, c'est le Mont St Michel qu'il faudrait détruire. Vous êtes offusqués ? Tant pis ! Enfin quoi ! Ce rocher classé au patrimoine de l'UNESCO donne-t-il le droit à des asociaux intégristes le droit d'exiger la démolition d'une maison sous le prétexte qu'elle gêne la vue sur le Mont ?

    Si ce voisin espère toucher un jour ces 300 euros de pénalité de retard par jour, ce n'est rien d'autre qu'un requin. Osons espérer qu'il n'en sera rien. Je crois même que c'est lui qui devrait être poursuivi pour procédure abusive.

    Chers lecteurs, vous aimez le Mont St Michel ? Pas moi. Il est l'objet de trop de scandales financiers et sociaux. Malgré tout, il faut venir en aide à Christian Saunier. Au moins en diffusant largement l'information et adhérer à un comité de soutien s'il voit le jour, ce dont je doute dans une région ou le fric est une religion.

    Si la justice persiste dans cette démarche, alors je ne croirais plus jamais qu'elle existe dans ce pays.

    Dans sa grève de la faim, Christian Saunier met sa vie en péril et je sais de quoi je parle.

    Gaulois.

    www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Quatrieme-jour-pour-le-greviste-de-la-faim-d-Avranches_40771-2030590-pere-bno_filDMA.Htm

     Reportage FR3 : http://basse-normandie.france3.fr/info/greve-de-la-faim-pour-sauver-sa-maison-71959481.html

     

     


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    Recouvrement abusif

    Les sociétés de recouvrement n'ont peur de rien. Il n'est pas osé de dire qu'elles ne sont pas à une escroquerie près.

     

    En effet, recouvrir une créance qui n'a plus cours signifie pour la société de recouvrement qu'elle cherche à la mettre dans sa poche. C'est du vol manifeste.

    Il serait intéressant de pousser des enquêtes sérieuses afin de savoir combien de personnes se font arnaquer, par peur ou fatalisme. Il suffirait pour cela de contrôler « Sérieusement » les mouvements de fonds de ces sociétés douteuses. A n'en pas douter, les surprises seraient de taille.

    Le cas de cet homme qui se rebiffe est hélas marginal. Mais au moins il dénonce sur la place publique et peut-être cela fera réfléchir d'autres victimes escroquées par ces sociétés.

    Quand à l'opérateur, n'allez pas croire qu'il est blanc comme neige. S'il a finalement annulé la créance, c'est bien parce que cette personne commençait à « faire du bruit ».

    Et si maintenant la société de recouvrement fait à son tour marche arrière, ce n'est certainement pas davantage par humanisme.

     

    Avez-vous remarqué comme L'erreur informatique est très souvent mise en avant ? Lorsque l'usager « Client » sait se défendre. Pour les autres, qui sont probablement des milliers, pas d'erreur, c'est de leur faute, puisqu'ils acceptent, résignés.

    Gaulois.


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  • Mon beau sapin

     

    C'est vrai ça, mon beau sapin, ça suffit !

    D'autant que nous sont imposés à outrance tous les apparâts et lobbies autour de noël.

    Que les intégristes catho aillent chanter leurs cantiques et autres chants à l'intérieur des lieux de culte. 

    Comment imaginer le respect des droits et la religion. Depuis des millénaires, les populations sont formatés depuis leur plus tendre enfance à des doctrines frisant des pratiques sectaires.

    Le pire du pire, cette dame risque une condamnation, en plus d'avoir subit des chants contre son gré et auxquels elle ne souscrit pas forcément. Trop, c'est trop.

    De plus, il n'est pas sûr que ces haut-parleurs aient été installés dans des conditions légales.

    Les commerçants de Rochefort se croient tout permis. Un très mauvais point pour eux !!!

     

    Je laisse à l'appréciation des lecteurs le soin de consulter un article et ses commentaires ici :

    http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/excedee-par-les-chants-de-noel-elle-coupe-les-fils-de-la-sono-6894760.html

    Gaulois.

     

     

     


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    Les nuits du 4 août - 1

    Les nuits du 4 août

    Du 3 au 7 août 2011, nous étions à Peyrelevade, en Limousin. Un rassemblement pour changer le monde.

    Nous n’y sommes pas parvenu, mais faut-il s’en étonner. On ne change pas une société comme ça, juste avec de bonnes intentions. Nous aurons au moins essayé et la prochaine fois nous en sommes sûrs, nous réussirons.

    ---

    La vie rend modeste et fait du monde un décor. Insensiblement, le monde s'efface derrière l'affairement quotidien.

    Et un jour tout explose – Les centrales nucléaires, la révolte des peuples, le prix des denrées de base, les idées politiques les plus pestilentielles.

    Le monde se rappelle à nous. Il ne veut plus être oublié.

    Il faut alors se réunir, tous ceux qui entendent le monde frapper à la porte. Il faut se retrouver, en chair et en os, puisque l'espace public est devenu la propriété exclusive de la police et des bonimenteurs.

    Il faut à cela les lieux, la musique, les images et les mots adéquats.

    Il faut une date propice aussi.

    Ce sera donc les 4, 5 et 6 août prochain et ce sera à Peyrevelade, sur le plateau de Millevaches ; n'en déplaise à la police et aux bonimenteurs.

    ---

    Des habitants du plateau de Millevaches aux ressortissants du reste du monde.

     Bienvenue aux nuits du ' 4 août !

    Sur cette vieille terre de résistances, nous avons décidé de fêter à notre manière l'abolition des privilèges que la Révolution française proclama, et qu'il nous reste à réaliser. Deux siècles et demi après la première nuit du 4 août, la mise à sac de la planète par une oligarchie prédatrice qui vaut bien les aristocraties d'antan, atteint un point de non-retour. Les gouvernements qui avaient renfloué la Banque aux dépens des peuples prétendent maintenant sacrifier les peuples pour satisfaire la Banque.

    Mais, des révolutions arabes aux places occupées d'Espagne et d'Europe, des émeutes de Grèce à celles de Londres, des blocages français aux grèves chinoises, le rêve d'un monde plus libre , plus égalitaire et plus fraternel connaît une nouvelle jeunesse.

    Du 4 au 6 août prochain, venus des quatre coins du monde, insurgés victorieux, musiciens, travailleurs en butte à l'exploitation, saltimbanques, chômeurs heureux, étudiants enragés, citoyens au bord de la crise de nerf, cinéastes, irradiés en furie, militants lassés de s'indigner ou radicaux mélancoliques, écrivains, habitants des campagnes et des banlieues, bloggeurs, tous peu soucieux de leur reconnaissance par la société existante, se retrouveront dans les rues de ce bourg limousin. Deux jours et deux nuits durant, il y aura des films, des interventions, des discussions, de la musique et des chants, l'inattendu au coin de la ruelle et l'espace couvert d'expressions énigmatiques, un banquet et un bal populaire aussi. Il y aura sur cette nouvelle place Tahrir en zone rurale la même disposition à se rencontrer et à se parler que dans les rues de Tunis le 14 janvier dernier ou sur les piquets de blocage en France pendant le mouvement contre la réforme des retraites. Pour s'arracher ensemble au cours programmé de la catastrophe et crier « Dégage !» à tout ce qui entend nous gouverner.

    Il y aura à la fin une assemblée d'où partiront, à coup sûr, des projets de bouleversement pour le siècle qui vient.

    Comme disait un graffiti de la Puerta del Sol : « L'impossible ne peut qu'advenir ! »

     

     


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    Maudite soit la guerre

    Maudite soit la guerre

    A quelques Kilomètres de Peyrelevade, où avait lieu les nuits du 4 août se trouve le bourg de Gentioux, dans la Creuse. En 1924, au lendemain de la première guerre mondiale, le maire de l’époque veut marquer le coup contre cette sale guerre qui fut une véritable boucherie. Il eut l’idée de faire ériger le buste d’un enfant orphelin qui lève le poing en direction de la liste des morts et plus précisément sur cette phrase, gravée sur le monument : « Maudite soit la guerre ».

    Ce monument aux morts ne fut jamais inauguré car considéré « Irrévérencieux »  par les autorités.

     


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    Société

     Les nuits du 4 août - 2

      Voici un bilan communiqué par le collectif  " Nuits du 4 août "

     Gaulois.

     Samedi 27 août 2011

    Partant des "Nuits du 4 août"

    Ce fut donc à Peyrelevade …

    Plus de 2000 personnes, venues de toutes parts, ont fait le chemin de Peyrelevade les 4, 5 et 6 août, en dépit des messages de panique répandus dans l’espoir d’empêcher que cette fête n’ait lieu.

     La fête a donc bien eu lieu, dans une de ces rares communes françaises où des représentants élus mettent encore un point d’honneur à ne pas se contenter de fleurir les ronds-points et d’accueillir les vide-greniers.

     Le nombre des participants dépassa même quelque peu les espérances des organisateurs. Deux jours, deux nuits, de liesse lucide pour une foule que tout parvenait à convaincre qu’elle vivait là un de ces moments réputés impossibles, un moment d’où s’étaient effacés la barrière de l’argent, le soi-disant fossé des générations, et tous ces messages de désespérance que les pouvoirs, médiatiquement appuyés, s’attachent, chaque instant que la vie fait, à envoyer aux populations pour nourrir le sentiment d’impuissance collective.

    Deux jours, deux nuits, où tout n’était que rencontres, écoute attentive, intelligence, don et gratuité, portés par une centaine de musiciens, comédiens, acrobates, conteurs, poètes, cinéastes, conférenciers et autres combattants venus témoigner de leurs guerres contre l’actuel système de domination.

    Une curieuse alchimie …

    Organiser une fête, c'est viser ce point où l'organisation s'efface devant ce qui y advient. Ce point d'évanouissement de la logistique, de la séparation entre organisateurs et organisés, on peut dire que nous l'avons vécu assez continûment durant ces deux jours, et ce fut une grâce ! Si la fête a été réussie, c'est que, plus qu’une fête, elle fut une promesse vivante projetée sur l’avenir, l’ouverture délibérée d’une brèche dans le cours programmé des défaites et des renoncements.

    Un des moments les plus magiques fut celui du banquet le vendredi soir, qui rassembla à la même table plus de 600 convives. Est-il si courant en ce bas monde, qu’un groupe de cinquante personnes sans moyens particuliers, s’offrent la compagnie de tant d’invités, illustres ou anonymes, sans devoir les faire passer à la caisse ?

    Est-il si courant par ailleurs que se tienne un événement procédant d’autant de talents conjugués, réunissant tant d’intervenants, d'efforts cumulés, de concours spontanés et d’aides matérielles gracieuses, sans que personne ne songe à en tirer un euro ?

    Retour du politique …

     Les Nuits du 4 août, ce fut aussi tellement d’heures de prises de parole et de discussions passionnées, qu’il est presque impossible d’en faire la synthèse. Retenons seulement quelques points :

    - Des centaines de personnes ont réussi à parler et débattre politiquement, deux jours durant, sans se référer à aucun des partis existants, fût-ce pour les conchier. Cela est signe qu'une vie politique arrive à maturité, qui ne doit rien au théâtre des institutions : la scène politique n'est à l'évidence plus le lieu du politique, mais de son occultation.- Il semble qu'à mesure que le politique déserte la scène, ce soit à même les territoires, donc localement, que le conflit resurgisse, avec une vigueur et une résolution inédites. Comme actuellement dans le Val de Suse en Italie.

     - L'exemple tunisien nous enseigne que le principal piège qui est tendu aux révolutionnaires de ce temps, quand ils parviennent à faire trébucher le régime, est l'illusion, issue de la Révolution Française, d'un « processus constituant ». C’est-à-dire l'idée que l'on pourrait à nouveau déléguer à une assemblée élue, à une « Constituante », le soin de fixer les conditions modernisées de l'usurpation du pouvoir du peuple par un nouveau régime. Ces processus constituants ont pour principal effet de désarmer le peuple en redivisant ce qui avait réussi à s'unir au moment de la révolte, effaçant jusqu'aux traces de celle-ci.

    - Sous toutes sortes de formes, ce qui revient au centre des combats de l'époque est la question de la « démocratie », c'est-à-dire de son caractère problématique.

     - Devant la démonstration assénée par Fukushima, le mouvement anti-nucléaire est à la veille d'une renaissance. La France ne sera pas épargnée.

      - Au terme de ces deux jours de discussion, la confusion reste grande sous le ciel et dans les esprits. De futures initiatives devraient contribuer à la résorber.

     S’organiser contre les « organisations » …

     Par leur déroulement même, les Nuits du 4 août ont au moins prouvé ceci :

     - Un collectif, en s'organisant pratiquement, parvient à faire de la pluralité des sensibilités une source de richesse, et non de paralysie et de querelles.

      - L'époque est bien notre condition commune. Il est possible de se ressaisir de l'époque localement sans que ce qui se passe au loin, dans le temps ou dans l'espace, ne soit traité comme une chose exotique, comme simple objet de curiosité.

    - En dépit de l'extrême séparation régnant dans cette société, notre aptitude à nous organiser collectivement est à peu près intacte, comme restent bouleversantes les joies qui en découlent.

      - Au prix d'un peu d'entêtement, et malgré l'hostilité des autorités, on peut organiser de grandes choses à quelques-uns, sans rien attendre de personne. La satisfaction est alors à la mesure des risques pris.

      Faire mentir les bonimenteurs …

    Si les Nuits du 4 août sont parvenues à démontrer quelque chose, c’est avant tout que « la guerre de tous contre tous » n’est qu’une chimère dans l’imaginaire ravagé des Pouvoirs. Si nous sommes parvenus à rassembler 2000 personnes au fin fond du plateau de Millevaches, à partir d’une plateforme de révolte et d’exhortation au combat - en restant par ailleurs convaincus que nous aurions pu en faire dix fois, voire cent fois plus, si nos forces l’avaient permis - c’est simplement que le peuple réel diffère fondamentalement de ce qu’en reflètent les télévisions.

    Le peuple réel est tout autre chose que ces visions de foules hagardes que l’organisation dominante convoque dans ses espaces sous contrôle : pour un rallye, un match de foot, un bain de soleil sur une plage, une quelconque grand-messe du showbiz ou de la culture, ou dans la galerie marchande du samedi après-midi.

    Quand l’impossible ne peut qu’advenir…

    Non, la détermination populaire et la vie qui résistent n’ont pas été éradiquées. Elles restent entières, contrairement à ce que martèlent, toujours prompts à vendre la peau de l’ours, tenants et valets d’un système dont ils sont les seuls à s’éblouir.

    Si, au fond, les Nuits du 4 août ont pu s’envisager et se dérouler avec cette texture si singulière, c'est que« el imposible no puede que ocurrir ». Ce qui était perceptible là, c’était non le caractère exceptionnel des organisateurs, mais bien celui des circonstances historiques dans lesquelles nous vivons.

    Tout reste donc à faire !

    Des membres du collectif « Les nuits du 4 août »

    Par nuitsdu4aout
    Lundi 15 août 2011

    REMERCIEMENTS

    C’est plus de 2000 personnes, venues de partout, qui se sont finalement rassemblées à Peyrelevade les 4, 5 et 6 août 2011, déjouant toutes les rumeurs qui ont été agitées à leur endroit dans l’espoir d’empêcher que la fête ait lieu. La démonstration est faite, la fête a eu lieu ; jusqu’à dépasser les espérances de ses propres organisateurs.

    Le collectif d’habitants qui a porté cette fête, du projet initial jusqu’à sa complète réalisation, tient à remercier tous ceux qui les ont soutenus :

    - En tout premier lieu, la municipalité de Peyrelevade, son maire, son conseil municipal et ses habitants qui nous ont accordé leur totale confiance,

    - L’équipe de Radio Vassivière et le journal IPNS de Faux-la-Montagne pour leur soutien précoce et jamais démenti,

     - Les Communes de Millevaches, Pradines, Rempnat, Royère, Saint-Martin Château, Mr et Mme Bessette, les associations « Emile a une vache » et « Contes en Creuse » qui nous ont prêté gracieusement leurs équipements,

     - L’association « Peuple et culture » de Corrèze pour son soutien technique,

     - La centaine d’intervenants (conférenciers, animateurs d’expositions, musiciens, comédiens, saltimbanques, porteurs d’expériences, cuisiniers ambulants… ) qui ont donné corps à ces rencontres en y déployant tous leurs talents et sans exiger le moindre euro,

     - Tous les visiteurs qui ont spontanément prêté leur concours aux tâches logistiques.

     Sans oublier "Les  Ramoneurs de Menhirs" qui avaient accepté le principe d'un concert de soutien le 23 juillet à Eymoutiers, finalement interdit.

     Un grand merci enfin à cette triste municipalité d’Eymoutiers qui, en nous interdisant, nous a offert une publicité que nous n’aurions pas pu nous offrir !

    Le collectif « Nuits du 4 août »

    Par nuitsdu4aout

     



     



     


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