• Portable pour mieux se porter

    Voilà une info qui ne manque pas de contradiction.

    D'un côté, tout le monde, ou presque déconseille l'utilisation du portable justement pour des questions de santé et d'un autre côté le portable serait bénéfique, « Financièrement » s'entend.
    Et oui, le fric, toujours le fric ! La santé, on s'en tamponne. C'est d'ailleurs la même chose dans bien des domaines :
    Les OGM sont dangereux mais paraît-il doivent résoudre les problèmes de la faim dans le monde.
    Le nucléaire est dangereux ( ça dépend qui le dit ), mais paraît-il est une énergie bon marché !
    Les pesticides améliorent les rendements mais empoisonnent la planète.
    Etc...
    Nous sommes pris pour des c...
    Gaulois.

    http://www.next-up.org/pdf/12_Conseils_de_prevention_afin_de_limiter_son_exposition_aux_rayonnements_du_telephone_mobile.pdf


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  • Nouvelle rubrique

    Une nouvelle rubrique à consulter et qui fait suite à l'article ci-dessous sur les cancers.

    " Nucléaire - L'holocauste qui vient "

    N'oubliez pas de consulter, comme je le recommande régulièrement, le site de l'observatoire du nucléaire qui donne de sinformations régulières sur la secte nucléaire : observ.nucleaire.free.fr


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  • Il est temps de redéfinir ce qu'est vraiment un cancer


    Une multitude de facteurs cancérigènes
     



    Tout le blabla médiatique sur le cancer ne fait guère avancer les choses. Il est aisé de comprendre pourquoi. Contrairement aux affirmations de ce médecin, il est fort probable que les causes de cancers sont connues, mais cachées. Derrière cette maladie qui touche des millions de personnes à travers le monde, le puissant lobbying de la santé est à l’œuvre. C'est bien connu, il faut des malades pour se donner bonne conscience, les soigner et faire du fric, beaucoup de fric.
    On entend dire que les cancers sont en nette progression. On entend dire aussi que les cancers ont toujours existé  http://www.helmo.be/esas/mapage/euxaussi/sante/cancer.html
    Il est indéniable que ces maladies évoluent à travers les époques. Les cancers d'il y a des milliers d'années sont très probablement d'origines différentes de nos jours. On sait maintenant que le cancer est une maladie de l'ADN, souvent irréversible. Aux véritables causes « Officielles » liées au tabac et à l'alcool s'ajoutent des problèmes environnementaux liés à l'activité humaine. Ces causes là ne sont pas ou si peu dénoncées, justement pour ne pas freiner les lobbys.
    Qui se soucie de la santé des gens? Pouvu qu'ils vivent assez longtemps pour gonfler le portefeuille des multinationales et décideurs.
    Gaulois.

           
    Un début de piste :
    http://forum.psychologies.com/psychologiescom/Sante/vraies-causes-cancer-sujet_333_1.htm

    Une approche des véritables causes de cancers ?
    http://www.artac.info/fr/prevention/prevention-environnementale/l-origine-environnementale-des-cancers_000126.html

    Une approche de la vérité :
    http://monctonfreepress.ca/article/les-vraies-causes-du-cancer

    Et là :
    http://nucleaire-nonmerci.net/risquessurlasante.html
    http://www.leparisien.fr/societe/cancer-revelations-sur-les-essais-nucleaires-francais-17-07-2012-2092862.php
    http://www.dissident-media.org/infonucleaire/millions.html

    Alexei Yablokov :
    http://fukushima.over-blog.fr/article-les-heros-de-la-radioprotection-1-alexei-yablokov-105462638.html
    Un résumé de son ouvrage en français, paru à l'Académie des Sciences de New-York :
    http://www.planetenonviolence.org/Tchernobyl-du-Professeur-Yablokov-Consequences-de-la-Catastrophe-pour-l-Homme-et-la-Nature_a1512.html


    L'article du Monde :

    http://www.lemonde.fr/sciences/article/2013/01/03/il-est-temps-de-redefinir-ce-qu-est-vraiment-un-cancer_1812637_1650684.html#xtor=EPR-32280229

    Il n'est pas du ressort de la science de définir la santé, car sa subjectivité la rend incompatible avec les impératifs de démonstration et de preuve. Les rares médecins qui ont essayé, comme René Leriche avec son "silence des organes" ou Claude Bernard avec son "activité normale des éléments organiques", relèvent de l'anecdote historique. Certains philosophes ont pris ce risque : pour Friedrich Nietzsche, elle était un "état idéal où chacun peut le mieux faire ce qu'il fait le plus volontiers", pour Georges Canguilhem, une "capacité à surmonter les crises", pour Alain Froment, un "pouvoir être". Que dire enfin des définitions institutionnelles parfois cocasses comme "l'état d'équilibre en fonction du tempérament" de Diderot et d'Alembert, ou le fameux "bien-être complet" de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) ?
    Définir scientifiquement le concept général de "maladie" relève du même défi, puisque le Larousse et le sens commun la définissent comme une altération de la santé. On tourne en rond.

    "OBJETS-MALADIE"
    En revanche, pour de nombreuses entités pathologiques vécues par les patients et observées par les cliniciens de façon similaire, la science peut nommer et définir des "objets-maladie" avec une précision suffisante. L'angine streptococcique, la fracture du tibia, la polyarthrite rhumatoïde, la migraine, le diabète insulino-dépendant de type 1, la schizophrénie font partie de ces entités cliniques assez compatibles avec la rigueur de la terminologie scientifique.
    Quant au mot "guérison", il ne peut avoir de définition précise que s'il fait référence à un objet-maladie de type aigu préalablement bien défini. Les guérisons de la fracture du tibia et de l'angine streptococcique sont faciles à déterminer. Pour les maladies chroniques et cycliques comme celles de nos autres exemples, le mot guérison est inadapté ; la médecine, qui essaie alors d'améliorer le "pouvoir être" des patients, parle de rémission, de stabilisation ou de quiescence.
    Le modèle biomédical actuel décrit de nouveaux objets-maladie, qui ne sont plus vécus par le patient, ni observés par le clinicien. Il s'agit de "facteurs de risque" ou d'"anomalies" à potentiel pathogène. L'hypercholestérolémie ou le polype du côlon sont de bons exemples de ces nouveaux objets biomédicaux où les termes de guérison et de rémission perdent tout sens, puisqu'ils n'ont aucune correspondance avec le vécu des patients.

    MALADIES VÉCUES ET NON VÉCUES
    La cancérologie offre une situation nouvelle et insolite dans l'histoire de la médecine et de la terminologie médicale. Le mot guérison y possède une définition très précise pour tous les types de cancers, alors que la majorité des objets-maladie de cette discipline n'en ont toujours pas.
    Les "objets" cancers appartiennent aux deux registres. D'une part, des maladies vécues par le patient ou décelées par le clinicien (ganglions, saignements, fatigue, etc.) : ce sont des objets-maladie cliniques. D'autre part, des maladies non vécues, mais découvertes par dépistage : ce sont des objets-maladie biomédicaux.
    Le terme de guérison, quant à lui, s'applique sans discernement à ces deux types d'objets. En cancérologie, la guérison correspond à une période de cinq ans sans symptômes cliniques, sans modification de l'imagerie et de la biologie des tumeurs, sans récidive locale ni métastase. Passé ce délai de cinq ans, un cancer est déclaré guéri.
    Bien qu'arbitraire dans sa composante temporelle, cette définition serait scientifiquement acceptable si l'objet-maladie avait été préalablement défini avec une rigueur au moins équivalente.

    MODÈLE CLINIQUE OU BIOMÉDICAL
    Or il n'en est rien. Un cancer est-il une cellule considérée comme "anormale" par l'anatomopathologiste ? Un cancer est-il une tumeur devenue symptomatique pour le patient ou son médecin ? Un cancer est-il un amas cellulaire temporaire à guérison spontanée ? Un cancer est-il une tumeur latente ou dont la progression ne diminue pas la durée totale de vie ? Un cancer est-il une maladie métastatique qui épuise les défenses naturelles du patient et finit par le tuer ? Un cancer est-il une maladie foudroyante qui tue son porteur en quelques mois ?
    A ce jour, aucun expert ne peut répondre à ces questions pour aucun cancer ni aucun porteur (même si la génétique de certaines tumeurs commence à proposer de timides pistes pronostiques). Malgré tout, la guérison, telle que définie ci-avant, fait l'objet d'un très large consensus parmi les cancérologues. L'autre aspect insolite de la cancérologie est ce que nous pourrions appeler "l'équivalence secondaire du vécu". Les patients se vivent cancéreux de la même façon, quel qu'ait pu être le modèle initial de définition de leur objet-maladie : clinique ou biomédical, diagnostiqué ou dépisté. Etrangement, la découverte d'une maladie virtuelle ou potentielle crée une maladie vécue.

    AUCUNE SÉLECTION CLINIQUE PRÉALABLE
    Avec le dépistage "organisé" qui s'adresse à tous sans sélection clinique préalable (en France : sein et côlon), ces flous terminologiques posent deux nouveaux types de problèmes. Pour la santé publique, il en résulte une augmentation de la morbidité cancérologique vécue. Pour la biomédecine et la recherche fondamentale, le maintien de cette confusion risque d'être, à terme, une source de discréditation et d'entrave.
    Avec la généralisation de ce dépistage de masse, de plus en plus de patients sont ainsi déclarés guéris d'une tumeur qui se serait manifestée quinze ans plus tard. Ils seraient donc médicalement "guéris" quinze ans avant d'être "cliniquement" malades et leur maladie clinique serait apparue vingt ans après le diagnostic biomédical. Dans les cas d'une tumeur latente ou à régression spontanée, ils seraient déclarés "guéris" d'une maladie qu'ils n'auraient jamais eue !
    La guérison étant ainsi définie, on peut affirmer que 90 % des cancers dépistés très tôt guérissent. Cette formulation n'étant, par convention, ni erronée ni mensongère, peut être répétée sans réévaluation par les spécialistes et les médias. Pourtant, pour une science qui se veut rigoureuse, cette définition et cette formulation ne sont plus acceptables.
    La terminologie de la cancérologie doit évoluer pour faire accéder cette discipline au rang de science. Il s'agit d'un impératif d'autant plus catégorique que les cancers sont un fléau de l'humanité.
    Le supplément "Science & techno" publie chaque semaine une tribune libre ouverte au monde de la recherche. Si vous souhaitez soumettre un texte, prière de l'adresser à sciences@lemonde.fr
    Luc Périno, médecin, essayiste et écrivain


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  • Vaccins

    La vaccination est de plus en plus suspectée d'effets indésirables, voir dangereux. Les soupçons dont fait état cet article ne sont pas anodins.

    Comme d'ailleurs les polémiques qui se sont développées autour de la grippe A, le médiator, etc...

     

    S'il y a, et c'est probable, des effets d'exagérations dans la critique, il ne faut surtout pas oublier que les laboratoires ne sont pas des philanthropes et que les dérivent sont inévitables.

    Gaulois.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     Ce que les médecins pensent de la vaccination

    Enquête non publiée, et pour cause. Bonne lecture.

    Gaulois.

     Mercredi 21 novembre 2012
    Ce que les médecins pensent de la vaccination : l’enquête-choc, non publiée, de l’INPES *

    Alors que l’on nous a seriné, pendant des années, que les doutes sur les vaccins n’avaient pas lieu d’être, “que ces produits étaient parmi les plus sûrs”, que le corps médical est en majorité en faveur des vaccins et que les populations sceptiques sont très minoritaires et soit-disant d’origine sectaire, une enquête-choc de l’INPES (tellement choc d’ailleurs qu’elle en est restée NON PUBLIEE) démontre tout le contraire.
     
    L’INPES (Institut National de Prévention et d’Education à la Santé) a en fait réalisé, en 2005, avec l’Institut de Sondage BVA, une enquête auprès d’un échantillon représentatif de 400 médecins français, généralistes et pédiatres afin d’évaluer leur perception de l’utilité et de la sécurité des vaccins. Les résultats sont si éloquents qu’il fallait, bien entendu, tenter au maximum, d’en dissimuler les résultats au public….
    58 % des médecins se posent des questions sur l’utilité des vaccins donnés aux enfants. 
    31 % des médecins se posent des questions sur la sécurité des vaccins.
    La référence à cette enquête est donnée, très confidentiellement, aux praticiens dans le document de l’INPES intitulé “Vaccinations, Guide pratique pour le praticien” et est notée comme suit :
    ”BVA. Étude sur les vaccins pédiatriques auprès des médecins généralistes et des pédiatres. 2005 : p. 31 – non publiée.”
    EST-CE VRAIMENT NORMAL, démocratiquement parlant, que de tels résultats soient demeurés aussi longtemps aussi confidentiels ?
    Car, pendant ce temps, la plupart de ces médecins QUI DOUTENT soit de l’utilité soit de la sécurité ont fort probablement continué à vacciner aveuglément de peur de faire part publiquement de leurs doutes, en commençant par leur patientèle !!!
    Si ces médecins ont ainsi accepté de donner franchement leur avis dans ce type d’enquête, c’est bien entendu parce qu’ils ont forcément dû recevoir une garantie absolue d’anonymat.
    L’omerta est si forte que, dans les faits, hélas, c’est toujours le sinistre “Faites ce que je dis, pas ce que je fais” qui prévaut. Au détriment du patient bien sûr et de son droit à un consentement libre et éclairé.
    Il n’en reste pas moins qu’avec de tels chiffres, plus aucune obligation vaccinale d’aucune sorte ne saurait encore trouver la moindre légitimité scientifique ou démocratique.
    Source : http://www.inpes.sante.fr/50000/OM/pdf/vaccination/09vod_guide-medecin.pdf

    * Institut National de prévention et d'éducation pour la santé

     

     


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  • Un bébé meurt faute de maternité

       Ce n'est sûrement pas le premier bébé, ou la première maman qui mourront, faute de maternité de proximité.
    Les « Technocrates » de la santé, quelle que soit la couleur politique du moment, vous diront avec l'assurance qui caractérise leur arrogance et leur mépris qu'il est préférable de disposer de moins d'établissements mais plus sûrs question sécurité. Ils penchent d'ailleurs pour le retour de la naissance au domicile. En fait il ne s'agit que de question économique et de rentabilité car pour le reste ils s'en tapent royalement.
    Savez-vous que du temps du ministre de la santé Claude Evin, quelques mois avant les jeux olympiques d'hiver de 1992 en Savoie, ces « spécialistes » de la santé envisageaient, en période hivernale, de transférer par hélicoptère les femmes sur le point d'accoucher, de la vallée de la Tarantaise vers la Vallée de la Maurienne. C'est-à-dire de la région de Moûtiers qui devait fermer sa maternité vers St Jean de Maurienne. Ceci au-dessus d'un massif montagneux de plus de 2000 mètres d'altitude, sans aucun doute avec le risque des tempêtes de neige l'hiver et bien sûr le surcoût de ce  transport. Cette maternité, où deux de nos enfants sont nés, fermera en janvier 2001.   http://www.ledauphine.com/savoie/2010/04/07/moutiers-la-maternite-a-ferme-en-2001
    Il se dit souvent que la santé n'a pas de prix. Allez donc dire cela aux ministres successifs de la santé !
    Gaulois.


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  • Médecins plus chères pour les vieux !

    Ce syndicat a raison, il faut taxer les vieux ! Il faut les rendre malades s'ils ne le sont pas ! Afin qu'ils deviennent complètement dépendants des services médicaux en tout genre et des médecins sans scrupules. Il faut profiter de leur faiblesse et faire du fric sur leur dos. les plumer jusqu'à ce que mort s'ensuive, mais le plus tard possible, le temps de s'enrichir. C'est très probablement pour cela que l’espérance de vie augmente. Ainsi, le business va bon train.
    Soyons sérieux, ce syndicat de médecins, sans doute ces 40 % qui refusent les « bénéficiaires de la CMU » ne peut faire pire. Ceux-là sont à coup sûr loin du serment d’Hippocrate ( aujourd'hui le serment de respecter le code de déontologie médical ) http://vmnsante.wordpress.com/2009/08/ , qu'ils ont dû jeter aux orties et remplacé par le serment du pognon (2). Leurs arguments sont une provocation envers les médecins encore honnêtes. Je peux vous assurer que ces médecins véreux font défiler dans leur cabinet les patients à la vitesse de la lumière et de la carte vital. Ils ne font pas carrière pour soigner les gens, mais pour se faire du fric. Ces médecins sont en grande partie responsables du déficit de la sécurité sociale.
    Un exemple : mon médecin traitant actuel me surveille tous les quatre mois pour le diabète, alors que le précédent souhaitait me voir tous les quinze jours, parfois chaque semaine. L'actuel prend au minimum quinze minutes pour l'auscultation alors que l'autre c'était à peine cinq minutes.
    Du côté des spécialistes, c'est encore pire. Savez-vous qu'ils sont en grande partie responsables de la désertification médicale (1). Complices des technocrates de la santé, ils émettent des rapports ou préconisations défavorables pour les petites structures. Comme par exemple les maternités des petites villes, qui ferment les unes après les autres, sous le prétexte de sécurité. Ces spécialistes ont la double étiquette de consultant interne des hôpitaux ainsi que leur cabinet dans les grandes villes. Ils ont transformé le service médical en hôpitaux usines.
    Ce que souhaite ce syndicat à l'égard de nos vieux est une mesure supplémentaire et discriminatoire pour s'engraisser davantage sur leur dos et celui de la Sécu.
    (1) Désertification très relative puisque l’Île de France et le sud de la Loire ne connaissent pas ou très peu cette pénurie. Là ou la densité de la population ou le climat sont  plus propices aux affaires.
    (2) La médecine est devenue une sciences sans conscience.

    Gaulois.
     


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  • Diabète et précarité

    Voir aussi mon article précédent du 4 janvier 2012 dans cette rubrique.

    Je m'insurge contre cet article.
    En effet, selon le docteur Hélène Bihan, les diabétiques seraient responsables de leur état. Ils ne se prennent pas en charge, ne se projettent pas dans l'avenir. Elle parle de prise en charge régulière, alors que la sécurité sociale a restreint le nombre de contrôles de glycémie à 200 par an.
    Avoir une alimentation équilibrée, dit-elle. Sans doute croit-elle que tous les diabétiques ont un revenu égal au sien ! Permettant de faire face à des dépenses importantes. Bien sûr elle aborde l'aspect financier, mais sait-elle que l'éducation nutritionnelle est un luxe et coûte très chère. C'est hors de portée de la majorité des diabétiques. 

    Ce n'est certes pas le sujet de l'article, mais il est flagrant de constater que l'on parle d'abord et avant tout des conséquences et non des causes du diabète. Comme les cancers et bien d'autres maladies. La communauté scientifique « Officielle » ignore volontairement les nombreuses recherches des scientifiques indépendants, ainsi que les causes « Evitables ». Comme toujours, elle reste sourde aux recherches qui ne sont pas dans le rang, qui ne répondent pas à des objectifs financiers.

    Il faut le répéter sans cesse. Tout le monde doit être malade, afin d'être soigné et contribuer au lobbie de la santé très juteux.

    J'aurai certainement l'occasion de revenir sur le sujet. 
    Gaulois.

     



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  • Une chercheuse refuse la Légion d'honneur

    La démarche de Annie Thébaud-Mony est toute à son honneur et vaut plus que mille légions d'honneur.

     Cécile Duflot va-t-elle réagir positivement ? On peut en douter car l'idéologie du travail à tout prix est très puissant. Le patronnat se fiche complètement des conditions de travail de leurs esclaves cobays.

    Gaulois.

    Publié le 4 août 2012.
    http://www.20minutes.fr/politique/981603-chercheuse-refuse-legion-honneur

    Une chercheuse, spécialiste des cancers professionnels, refuse la Légion d'honneur décernée par la ministre du Logement Cécile Duflot pour dénoncer l'"indifférence" qui touche la santé au travail et l'impunité des "crimes industriels".
    Dans une lettre adressée à la ministre, rendue publique samedi, Annie Thébaud-Mony, directrice de recherche honoraire à l'Inserm, demande à la ministre d'intervenir pour "la remise en cause de l'impunité qui, jusqu'à ce jour, protège les responsables de crimes industriels".
    "Je ne fais pas ce geste contre Mme Duflot", précise à l'AFP la présidente de l'association Henri Pézerat (santé, travail, environnement) qui déplore que la crise économique occulte la santé des travailleurs et les questions environnementales.
    "Ma démarche se veut un appel à la mobilisation citoyenne, mais aussi parlementaire et gouvernementale, pour le respect des droits fondamentaux à la vie, à la santé, à la dignité", écrit-elle en accompagnement de sa lettre à la ministre datée du 31 juillet.
    "Nous
    voulons être pris au sérieux lorsque nous donnons à voir cette dégradation des conditions de travail (...), le drame des accidents du travail et maladies professionnelles, mais aussi l'accumulation des impasses environnementales, en matière d'amiante, de pesticides, de déchets nucléaires et chimiques..."
    "Cessons les vraies fausses controverses sur les faibles doses. Des politiques publiques doivent devenir le rempart à la mise en danger délibérée d'autrui, y compris en matière pénale", dit-elle dans sa lettre à Mme Duflot.
    Cette spécialiste, également porte-parole de Ban Asbestos France, évoque par ailleurs "la sous-traitance et le transfert des risques vers des populations très précarisées (maintenance, nettoyages, gestion des déchets)" .
    La chercheuse dont la carrière a été "bloquée pendant dix ans", plaide pour qu'enfin la recherche sur l'exposition aux cancérogènes au travail soit dotée des moyens financiers publics nécessaires et que les jeunes chercheurs qui s'y adonnent cessent d'être maintenus dans un statut précaire.
    Cécile Duflot a décerné le 14 juillet trente Légions d'honneur.

    Une chercheuse contre le crime industriel

    mercredi 8 août 2012 par Pièces et main d’œuvre

    « La reconnaissance que j’appelle de mes vœux serait de voir la justice française condamner les crimes industriels à la mesure de leurs conséquences, pour qu’enfin la prévention devienne réalité ». C’est en ces termes qu’Annie Thébaud-Mony, directrice de recherche à l’Inserm, spécialiste de la « santé au travail », a refusé le 31 juillet 2012 la légion d’honneur proposée par la ministre Duflot. Le parti industriel et les tenants de la réindustrialisation française, les sections CGT d’Arkema, de Peugeot et du volailler Doux n’ont pas réagi.
    Nous profitons de ce geste de décence minimal – quoique exceptionnel – de la part d’une chercheuse en santé publique pour rappeler cette évidence : l’emploi tue, mais c’est en son nom que toutes les forces « progressistes », écolo-techniciennes, syndicalistes, « de gauche » réclament le « redressement productif » du pays. Quitte à se couvrir parfois d’une opportune conversion à la décroissance, sans jamais s’attaquer au tabou de l’emploi ni à la course à l’innovation – c’est-à-dire à la destruction de nos vies - que celui-ci exige.(1) Or chacun sait, grâce à Michel Destot, le maire PS-CEA de Grenoble que « à travers [l’innovation] apparaît le développement des activités économiques qui génère lui-même des emplois pour l’ensemble de nos concitoyens. Il y a là une véritable mine d’or, prenons-en conscience. » (2)
    Depuis trente ans, Annie Thébaud-Mony documente ce que nous avons résumé par la formule « Nos emplois valent plus que nos vies ». En 2007, elle écrit : « Le chômage, perçu comme principal problème social, a tendance à masquer les atteintes à la santé liées au travail. (…) En France, le travail tue, blesse et rend malade, à raison de deux morts par jour dus à des accidents, de huit morts par jour dus à l’amiante, de deux millions et demi de salariés exposés quotidiennement à des cocktails cancérigènes, de millions d’hommes et de femmes constamment poussés aux limites de ce qu’un être humain peut supporter, moralement et physiquement. » (3) Surprise : cette critique de l’emploi paraît dans le Monde diplomatique, aujourd’hui porte-parole de la gauche du parti industriel - qu’on se rappelle son récent appel en faveur des nanotechnologies, des biotechnologies et des technologies convergentes, au nom d’une « nouvelle révolution productive ». (4)
    Depuis trente ans, syndicalistes, associatifs citoyens et foules de gauche n’ont pas plus tiré de leçons que depuis un siècle, et continuent à réclamer plus d’encadrement du risque et de normes de protection des salariés. Or la notion même de risque professionnel, rappelle l’historien Jean-Baptiste Fressoz, fait partie de ces dispositifs conçus par l’industrie pour rationaliser son activité, pour incorporer et soumettre les ouvriers à sa comptabilité. « Il ne faut donc pas penser le risque professionnel comme un dispositif de régulation d’un monde auparavant libéral, mais bien au contraire, comme la solution promue par les industriels et les assureurs à la crise d’une régulation préalable beaucoup plus contraignante (…). En reconnaissant que les accidents étaient intrinsèques à la société technologique, la doctrine du risque permettait à la fois de libéraliser les formes techniques et de gouverner de manière plus efficace. (…) Plutôt que la naissance de "l’Etat-providence", le risque professionnel désigne une nouvelle forme de laisser-faire, plus efficace, car faisant l’économie de la morale ». (5)
    Bref, la notion de norme sous-entend un quota de pertes autorisé, avec calcul de leur coût.
    Cette économie a fait l’affaire des industriels aussi bien que des syndicats, qui, en « courtiers de l’assujettissement à l’économie » (6), n’ont cessé de marchander l’encadrement des nuisances, dans leur alliance avec l’industrie pour la défense d’un modèle de production toujours plus meurtrier.
    « Dans les années 1970, ce sont finalement l’analyse coût/bénéfice (on tolère un risque en fonction de l’intérêt économique des substances) et la définition de seuils qui s’imposèrent dans les instances de régulation. Les nouvelles normes internationales telles que « doses journalières admissibles » pour les aliments ou « concentration maximale autorisée » pour l’air opéraient un travestissement subtil : étant donné l’inexistence d’effet de seuil, elles consacraient de fait l’acceptation, pour des raisons économiques, d’un taux de cancer acceptable. » (7)
    Qui a accepté ? Les salariés des usines polluantes, les habitants et les élus des « territoires » bénéficiaires des retombées de ces « mines d’or », une population résignée devant le progrès-qu’on-n’arrête-pas et les impératifs de la compétition économique. Prenez Tarente, en Italie. Quand l’Ilva, énorme aciérie, s’y installe en 1960, seuls les obscurantistes adeptes du retour à la bougie regrettent le remplacement des moutons par les hauts-fourneaux. Même le Pape bénit ce complexe industriel qui fournit 40 000 emplois aux locaux. « C’était notre fleuron, évoque le maire actuel Ippazio Stefàno, mais, peu à peu, nous avons subi les désagréments de la grande industrie, l’augmentation des tumeurs et, ces dernières années, nous avons également constaté la croissance des maladies cardio-vasculaires, même chez des adultes de 45-50 ans. » (8) Surmortalité supérieure de 10 à 15 % à la moyenne nationale, malformations, maladies respiratoires, interdiction de consommer la viande locale et pour les enfants de jouer dehors : la dioxine règne à Tarente, et il aura fallu 52 ans de crime industriel pour que la justice mette sous séquestre une partie de l’usine, le 26 juillet 2012. Nos emplois valent plus que nos vies.
    Annie Thébaud-Mony : « Au terme de trente ans d’activité, il me faut constater que les conditions de travail ne cessent de se dégrader, que la prise de conscience du désastre sanitaire de l’amiante n’a pas conduit à une stratégie de lutte contre l’épidémie des cancers professionnels et environnementaux ».
    Nous perdons depuis trente ans, faute de nommer les maux qui nous affligent. Ceux qui ne font que leur boulot font un sale boulot, et les crimes industriels sont aussi commis par ceux-là. On ne se lamentera pas sur la fermeture de PSA et du groupe Doux. Brisons les machines à produire le cancer.
    Lire aussi : Le cancer de l’industrie – Syndicalisme et chimiothérapie, Pièces et main d’œuvre, mai 2012
    NOTES
     1 Cf Sous le soleil de l’innovation, rien que du nouveau !, Pièces et main d’œuvre, mai 2012
     2 In L’espace alpin et la modernité, bilan et perspectives au tournant du siècle, sous la direction de Daniel J. Grange, PUG 2002
     3 Le travail, lieu de violence et de mort, Le Monde diplomatique, juillet 2007
     4 Industrie, le socle de la puissance, Le Monde diplomatique, mars 2012
     5 Jean-Baptiste Fressoz, L’Apocalypse joyeuse, une histoire du risque technologique (le Seuil, 2012)
     6 Encyclopédie des Nuisances, Adresse à tous ceux qui ne veulent pas gérer les nuisances mais les supprimer, 1990
     7 Jean-Baptiste Fressoz, op. cité
     8 La Libre Belgique, 4/08/12
    Pour télécharger ce texte, ainsi que le courrier adressé par A. Thébaud-Mony à Cécile Duflot, cliquer sur les icônes ci-dessous.

    La lettre à Cécile Duflot :


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  • Bilan de santé

    J'aime bien ce billet. Même si c'est sommaire, il pose assez bien les problèmes de la santé en France.

    Je ne voudrais pas être mauvaise langue, mais il est de loin bien plus facile de trouver un policier q'un médecin ou assimilé. D'ailleurs, l'avez-vous remarqué ? Il y a de plus en plus de flics et de moins en moins de médecins. Inutile de les chercher, ils sont concentrés sur la région parisienne et le sud de la France, au soleil.

    Question de choix personnel, m'a rétorqué un jour en 1991 un lieutenant de gendarmerie, à l'occasion d'une manifestation de défense d'une maternité en voie de fermeture.....

    Gaulois avait la mauvaise idée d'avoir une rage de dents il y a 3 ans pendant le week-end des Rameaux. Mal lui en pris, c'est le cas de le dire. La plupart des dentistes étaient en congé. Deux ont répondus que n'étant pas suivi par eux, ils ne pouvaient pas .... !

    Enfin Gaulois trouve un dentiste qui accepte de le prendre à son cabinet. Mais après l'examen de la dent en cause, il faut l'arracher. Ce que le dentiste stagiaire, en remplacement du dentiste attitré, tente en vain. La mâchoire en compote, Gaulois se précipite chez son médecin traitant qui, après avoir encaissé la ultra-courte consultation, prend contact avec la clinique dentaire au Mans. Ouf, la dent sera enfin arrachée.

    La rage de dent a commencé le vendredi du week-end des rameaux et la dent arrachée en milieu de semaine qui suivait Pâcques ! Entre temps, deux consultations complètement inutiles aux urgences de l'hôpital local, sans même indiquer un cabinet dentaire. Une consultation chez le dentiste stagiaire ainsi que le médecin traitant et enfin la note de la clinique dentaire. Sans parler des déplacements estimés au total à 300 km.

    Vous croyez que Gaulois a une dent contre les dentistes ? !

    Gaulois.     

       


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  • Hold up sur la santé

    Je vous conseille de visionner cette vidéo qui, si vous l'ignorez encore, vous éclairera sur le hold up de notre santé par l'Union Européene.

     

    http://institut-protection-sante-naturelle.eu/video/Petition1204/Petition1205.html?utm_source=Newsletter&utm_medium=emailing&utm_campaign=petition_12/05

     

    http://institut-protection-sante-naturelle.eu/

    Heureux celles et ceux qui ne sont jamais malades. Pour les autres, ils deviennent dépendants " Prisonniers "  du système.  

    Gaulois.

     


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