• MESSAGE D’ALERTE INTERNATIONAL DE PROFESSIONNELS DE SANTÉ AUX GOUVERNEMENTS ET AUX CITOYENS DU MONDE :

    Chacun se fera son opinion après avoir pris connaissance de ce document. Le complotisme n'a pas grand-chose à voir....

    Gaulois.  

     

    MESSAGE D’ALERTE INTERNATIONAL DE PROFESSIONNELS DE SANTÉ AUX GOUVERNEMENTS ET AUX CITOYENS DU MONDE :

    STOP : à la terreur, à la folie, à la manipulation, à la dictature, aux mensonges et à la plus grande arnaque sanitaire du 21e siècle

     

    26 Août 2020,

    Nous, professionnels de santé, à travers plusieurs pays au monde :

    1. Nous disons : STOP à toutes les mesures folles et disproportionnées qui ont été prises depuis le début pour lutter contre le SARS-CoV-2 (confinement, blocage de l’économie et de l’éducation, distanciation sociale, port de masques pour tous, etc) car elles sont totalement injustifiées, elles ne sont basées sur aucune preuve scientifique et elles violent les principes de base de la médecine basée sur les preuves. Par contre, nous soutenons bien sûr les mesures raisonnables comme les recommandations de lavage des mains, d’éternuer ou de tousser dans son coude, utiliser un mouchoir à usage unique, etc. Ce n’est pas la première fois que l’humanité fait face à un nouveau virus : elle a connu le H2N2 en 1957, le H3N2 en 1968, le SARS-CoV en 2003, le H5N1 en 2004, le H1N1 en 2009, le MERS-CoV en 2012 et fait face tous les ans au virus de la grippe saisonnière. Pourtant, aucune des mesures prises pour le SARS-CoV-2 n’a été prise pour ces virus-là. On nous dit : -«Mais, le SARS-CoV-2 est très contagieux» et nous répondons : C’EST FAUX. Cette affirmation est d’ailleurs rejetée par des experts de renommée internationale1. Une simple comparaison avec les autres virus permet de constater que la contagiosité du SARS-CoV-2 est modérée2,3. Ce sont des maladies comme la rougeole qui peuvent être qualifiées de très contagieuses. Par exemple, une personne atteinte de rougeole peut infecter jusqu’à 20 personnes alors qu’une personne infectée par ce coronavirus n’en contamine que 2 ou 3, soit : 10 fois moins que la rougeole. -«Mais, c’est un virus nouveau» et nous répondons : H1N1 et les autres virus qu’on a cités était aussi des virus nouveaux. Pourtant : on n’a pas confiné les pays, on n’a pas bloqué l’économie mondiale, on n’a pas paralysé le système éducatif, on n’a pas fait de distanciation sociale et on n’a pas dit aux gens sains de porter des masques. De plus, certains experts disent qu’il est possible que ce virus circulait déjà avant mais qu’on s’en est pas rendu compte4. -«Mais, on n’a pas de vaccin» et nous répondons : au début de l’H1N1 on n’avait pas non plus de vaccin, comme à l’époque du SARS-CoV. Pourtant : on n’a pas confiné les pays, on n’a pas bloqué l’économie mondiale, on n’a pas paralysé le système éducatif, on n’a pas fait de distanciation sociale et on n’a pas dit aux gens sains de porter des masques. -«Mais, ce virus est beaucoup plus mortel» et nous répondons : C’EST FAUX. Car rien que comparé à la grippe et si on prend en compte la période entre le 1er Novembre et le 31 Mars, il y a eu au niveau mondial -lorsque ces mesures ont été prises- : 860,000 cas et 40,000 morts alors que la grippe dans la même période de 5 mois infecte, en moyenne, 420 millions de personnes et en tue 270,000. De plus, le taux de létalité annoncé par l’OMS (3,4%) était largement surestimé et était rejeté dès le début par d’éminents experts en épidémiologie5. Mais, même en prenant ce taux de létalité, on constate que ce coronavirus est trois fois moins mortel que celui de 2003 (10%) et 10 fois moins mortel que celui de 2012 (35%). -«Mais, la COVID-19 est une maladie grave» et nous répondons : C’EST FAUX. Le SARS-CoV-2 est un virus bénin pour la population générale car il donne 85% de formes bénignes, 99% des sujets infectés guérissent, il ne constitue pas un danger pour les femmes enceintes ainsi que les enfants (contrairement à la grippe), il se propage moins rapidement que la grippe6 et 90% des personnes décédées sont des personnes âgées (qui doivent, bien sûr, être protégées comme les autres populations à risque). C’est pour cela que des experts ont qualifié de «délire» l’affirmation que c’est une maladie grave et ont affirmé, le 19 Août dernier, que «ce n’est pas pire que la grippe»7. -«Mais, il y a des personnes asymptomatiques» et nous répondons : dans la grippe aussi, 77% des sujets infectés sont asymptomatiques et ils peuvent aussi transmettre le virus8. Pourtant : on ne dit pas, chaque année, aux sujets sains de porter des masques et on ne fait pas de distanciation sociale malgré que le grippe infecte 1 milliard de personnes et en tue 650,000. -«Mais, ce virus entraîne une saturation des hôpitaux» et nous répondons : C’EST FAUX. La saturation ne concerne que quelques hôpitaux mais on fait croire aux gens que tout le système hospitalier est saturé ou que la saturation est imminente alors qu’il y a des milliers d’hôpitaux dans certains pays. Est-il raisonnable et vrai d’attribuer, par exemple, à 1000 ou 2000 hôpitaux une situation qui ne concerne que 4 ou 5 hôpitaux ? Rien d’étonnant, aussi, au fait que certains hôpitaux soient saturés car il s’agissait de foyers épidémiques (comme la Lombardie en Italie ou New-York aux USA). Il ne faut pas oublier que les hôpitaux de beaucoup de pays ont été submergés (y compris les soins intensifs) lors de précédentes épidémies de grippe9 et qu’à cette époque, on parlait même de : "tsunami" de patients dans les hôpitaux, "d’hôpitaux saturés", de tentes érigées à l'extérieur des hôpitaux, de "zones de guerre", "d’hôpitaux effondrés" et d’un "état d'urgence". Et pourtant : on n’a pas confiné les pays, on n’a pas bloqué l’économie mondiale, on n’a pas paralysé le système éducatif, on n’a pas fait de distanciation sociale et on n’a pas dit aux gens sains de porter des masques.

    2. Nous disons : STOP à ces mesures folles à cause, aussi, de leurs conséquences catastrophiques qui ont déjà commencé à apparaître : suicide de gens angoissés comme ça a été rapporté en Chine, développement de pathologies psychiatriques, paralysie du parcours éducatif des élèves et des étudiants à l’université, impacts négatifs et dangers sur les animaux, négligence des autres maladies (surtout chroniques) et augmentation de leur mortalité, augmentation des violences conjugales, pertes économiques, chômage, crise économique majeure (peu de gens savent que la crise économique de 2007-2008 a entraîné le suicide d’au moins 13,000 personnes rien qu’en Europe et en Amérique du Nord), graves conséquences sur l’agriculture, déstabilisation des pays et de la paix sociale et risque de déclenchement de guerres. Un editorial5 publié dans l’European Journal Of Clinical Investigation a dénoncé, dès le début, les méfaits : des mesures extrêmes prises non fondées sur des preuves, des informations exagérées sur la dangerosité réelle du virus et des fake news propagées (y compris par des grandes revues). Certains ont même comparé cette pandémie à celle de la grippe de 1918, ce qui est un MENSONGE et une manipulation puisqu’elle a tué 50 millions de personnes, ce qui n’a absolument rien à voir avec le nombre de morts de ce coronavirus.

    3. Nous REFUSONS l’obligation des applications de traçage des contacts comme c’est le cas dans certains pays car le SARS-CoV-2 est un virus bénin qui ne justifie pas une telle mesure. D’ailleurs, selon les recommandations internationales et quelle que soit la sévérité d’une pandémie (modérée, élevée, très élevée), le traçage des contacts n’est pas recommandé. Lors des épidémies de grippe, faisons-nous un traçage des contacts ? Pourtant, le virus de la grippe infecte beaucoup plus de gens et comporte plus de populations à risque que ce coronavirus. 

    4. Nous disons : STOP à la censure des experts et des professionnels de santé pour leur empêcher de dire la vérité10 (surtout dans les pays qui se disent démocratiques).

    5. Nous partageons l’avis des experts qui dénoncent l’inclusion des dépistages dans le comptage des cas, même si les sujets sont bien portants et asymptomatiques. Ceci a abouti à une surestimation des cas. On rappelle que la définition11 d’un cas en épidémiologie est : «la survenue de nombreuses issues possibles : maladies, complications, séquelles, décès. Dans la surveillance dite syndromique, on définit comme cas la survenue d’évènements non spécifiques tels que des groupements de symptômes ou des motifs de recours aux soins, hospitalisations, appels de services d’urgence». Nous disons donc : il faut séparer les dépistages des cas et il faut arrêter de les mélanger.

    6. Nous partageons l’avis des experts qui dénoncent le fait qu’aucune distinction n’est faite entre les personnes mortes du virus et les personnes mortes avec le virus (avec des co-morbidités), le fait que la cause du décès soit imputée au SARS-CoV-2 sans test ni autopsie et que des médecins soit mis sous pression pour que la COVID-19 soit marquée comme cause de décès, même si le patient est décédé d’autre chose. Ceci aboutit à une surestimation du nombre de morts et constitue une manipulation scandaleuse des chiffres car au cours des épidémies de grippe saisonnière par exemple, on ne travaille pas de cette façon. D’autant plus que 20% des patients COVID sont co-infectés par d’autres virus respiratoires aussi12. Après réévaluation, seuls 12% des certificats de décès dans un pays européen13 ont montré une causalité directe du coronavirus. Dans un autre pays européen, les professeurs Yoon Loke et Carl Heneghan ont montré qu'un patient qui a été testé positif mais traité avec succès puis sorti de l'hôpital, sera toujours compté comme un décès COVID même s'il a eu une crise cardiaque ou a été fauché par un bus trois mois plus tard. Le directeur du CDC (Centers for Disease Control and Prevention) d’un pays en Amérique du Nord a reconnu, le 31 Juillet, que des hôpitaux avaient bien une incitation financière perverse à gonfler les chiffres de décès dus au coronavirus.

    7. Nous partageons l’avis des experts qui ont mis en garde contre l’intubation quasi-systématique de certains patients, due à la peur folle du virus. Il faut que les protocoles soient modifiés car ils ont abouti à un nombre élevé de morts14.

    8. Nous disons qu’il est important qu’une révision des performances analytiques et cliniques des tests mis sur le marché soit faite, y compris les tests virologiques. Beaucoup de kits sont utilisés actuellement alors qu’une partie importante de leurs performances (par exemple : la spécificité analytique, surtout pour les quatres coronavirus saisonniers) n’a pas été évaluée, ce qui est grave car en plus des cas de faux négatifs, la littérature rapporte des faux positifs inquiétants, ce qui peut surestimer le nombre de cas et de morts. Selon un professeur de microbiologie7, le taux de faux positifs peut atteindre 20%. Certains articles scientifiques qui rapportent ces cas de faux positifs ont été censurés15. Nous disons donc : STOP à l’obligation des tests de dépistage à cause de ce manque de fiabilité et du manque de vérification de leurs performances et parce que rien dans ce coronavirus (qui est un virus bénin et avec un taux de létalité faible) ne le justifie. Comme nous l’avons dit : la grippe infecte chaque année 1 milliard de personnes, soit : 30 fois plus que le SARS-CoV-2 et pourtant, aucun test n’est exigé pour les voyages.

    9. Nous disons aux citoyens : n’ayez pas peur, ce virus est bénin sauf si vous faites partie des populations à risque. Si les chaînes de télévision font la même chose avec la grippe, les chiffres seront beaucoup plus élevés que pour le coronavirus ! La télévision vous rapportera chaque jour en moyenne : 3 millions de cas et 2,000 morts de grippe. Et pour la tuberculose, la télévision vous rapportera chaque jour en moyenne : 30,000 cas et 5,000 morts. En effet, le virus de la grippe infecte chaque année 1 milliard de personnes et en tue 650,000 et la tuberculose infecte chaque année 10,4 millions et tue 1,8 million de personnes. De plus, à la TV on vous parle de « cas » alors qu’il s’agit de dépistages et non pas de cas. Un article scientifique, SARS-CoV-2 : fear versus data (SARS-CoV-2 : peur versus données), publié dans l’International Journal of Antimicrobial Agents, a démontré que le danger du virus était surestimé et que la peur pourrait être plus dangereuse que le virus lui-même.

    10. Nous disons aux citoyens : le lavage des mains est un réflexe qu’on doit avoir tout au long de notre vie, qu’il y ait le coronavirus ou pas, car c’est la mesure d’hygiène la plus efficace. Mais, porter un masque lorsqu’on n’est pas malade et pratiquer la distanciation sociale, ça ne fait pas partie de l’hygiène ou de la préservation de la santé publique mais c’est de la folie. Porter un masque longtemps comporte plusieurs effets indésirables pour votre santé16 et le transforme en nid à microbes. "Le virus peut se concentrer dans le masque et lorsque vous l'enlevez, le virus peut être transféré dans vos mains et ainsi se propager", a déclaré le Docteur Anders Tegnell, épidémiologiste. Lorsqu'on lui a demandé si les gens se mettaient plus en danger en portant des masques, le Docteur Jenny Harries a répondu : «En raison de ces problèmes de manipulation [des masques], les gens peuvent se mettre plus en danger». Même les dentistes ont récemment mis en garde contre les effets graves sur la santé bucco-dentaire car ils constatent que le port de masque de façon prolongée entraîne des maladies telles que des caries, des maladies parodontales ou une très mauvaise haleine. «Nous voyons beaucoup de gens avec plus d'inflammation, plus de caries et de maladies des gencives…Nous constatons une inflammation des gencives des gens qui sont en bonne santé depuis toujours et des caries chez des personnes qui n'en ont jamais eu auparavant… Environ 50% de nos patients sont impactés par cela», déclare le Docteur Rob Ramondi, un dentiste. «Les gens ont tendance à respirer par la bouche plutôt que par le nez lorsqu'ils portent un masque…La respiration buccale provoque la sécheresse de la bouche, ce qui entraîne une diminution de la salive. La salive est ce qui combat les bactéries et nettoie vos dents…Les patients nous disent : ‘Wow, mon haleine sent, j'ai besoin d'un nettoyage’. [Mais] quand vous avez une mauvaise haleine, soit vous avez déjà une maladie parodontale, soit vous avez beaucoup de bactéries sur votre langue à cause de la bouche sèche…Les maladies des gencives -ou les maladies parodontales- entraîneront éventuellement des accidents vasculaires cérébraux et un risque accru de crise cardiaque», explique le Docteur Marc Sclafani, un autre dentiste. De plus, beaucoup d’entre vous se plaignent de ces masques, surtout dans cette période estivale. Vous devez savoir que la bouche et le nez ne sont pas faits pour être obstrués. Ce que vous portez est un masque, en apparence mais une muselière de votre liberté, en réalité. D’autant plus que, comme le disent plusieurs experts dont le Professeur Yoram Lass, l’épidémie est terminée dans la majorité des pays et ceux qui vous disent le contraire sont des MENTEURS. En vous disant que l’épidémie n’est pas terminée, en brandissant la menace d’une 2e vague (qui ne repose sur aucune preuve), en vous demandant de porter un masque et de faire de la distanciation sociale, le but est, en fait, de prolonger la peur jusqu’à la fabrication d’un vaccin et pour qu’il soit mieux accepté par vous.

    11. Nous disons aux compagnies aériennes : plusieurs études scientifiques ont montré un lien entre l’excès d’hygiène et le développement de maladies comme les maladies allergiques, les maladies auto-immunes, les maladies inflammatoires ou certains cancers. C’est ce que l’on appelle en médecine : l’hypothèse hygiéniste. Donc, arrêtez les opérations de désinfection et enlevez les masques ainsi que les combinaisons protectrices ridicules de vos employés qu’on a vues dans les médias17. Faire cela relève de la folie. Les aéroports doivent aussi arrêter la prise de température ainsi que les quarantaines. Le SARS-CoV-2 n’est pas la peste noire. Vous aussi, comme les citoyens, vous avez été manipulés.

    12. Nous disons aux gouvernements : levez toutes les restrictions et les obligations sur les citoyens (état d’urgence, port de masque obligatoire, distanciation sociale, etc) car elles sont stupides et purement dictatoriales et n’ont rien à voir avec la médecine ou l’hygiène ou la préservation de la santé publique. Il n’y a aucune raison scientifique ou médicale pour que des citoyens non malades portent un masque5. Le Docteur Pascal Sacré, anesthésiste-réanimateur, a dit : «Obliger tout le monde à les porter tout le temps, alors que l’épidémie disparaît, est une aberration scientifique et médicale». Le Professeur Didier Raoult dit : «La décision du confinement comme la décision des masques…ne reposent pas sur des données scientifiques…». Les Docteurs Lisa Brosseau et Margaret Sietsema, expertes en protection respiratoire, disent : «Nous ne recommandons pas d'exiger du grand public qui ne présente pas de symptômes de maladie de COVID-19 de porter régulièrement des masques en tissu ou chirurgicaux car : il n'y a aucune preuve scientifique qu’ils sont efficaces pour réduire le risque de transmission du SARS-CoV-2…». Le Professeur Maël Lemoine a précisé aussi que le changement de discours sur les masques est : «politique, pas scientifique». Dans certains pays asiatiques, les gens portent des masques toute l’année (pour se protéger, entre autres, de la pollution). Est-ce que ce port généralisé des masques dans ces pays leur a évité d’avoir des épidémies de coronavirus ? Est-ce que ce port généralisé des masques dans ces pays leur évite d’avoir chaque année des épidémies de grippe ou d’autres virus respiratoires ? La réponse est bien sûr : non. D’autre part, avec les 8 millions de tonnes de plastique qui sont déjà déversées chaque année dans les océans, les masques et les gants viennent ajouter une nouvelle menace et constituent une pollution particulièrement dangereuse pour notre santé et pour la faune. Rien qu’en Italie, si seulement 1% des masques actuellement utilisés étaient jetés dans la nature, ce sont 10 millions de masques qui finiraient chaque mois dans l’océan18. De plus, les masques chirurgicaux mettent jusqu’à 450 ans à se décomposer ! Nous disons donc aux gouvernements : STOP à ces mesures illégales et dangereuses du port obligatoire du masque.

    13. Nous disons aux forces de l’ordre : les citoyens vous doivent beaucoup car vous êtes tous les jours les garants de leur sécurité et du respect de l’ordre et de loi. Mais, faire respecter la loi ne veut pas dire se soumettre de manière aveugle à des ordres injustes. C’est cette erreur qui a conduit à la seconde guerre mondiale et à la mort de 50 millions de personnes. Nous vous disons donc : faites respecter la loi mais pas l’injustice et la dictature, refusez d’imposer ces mesures, refusez de verbaliser vos concitoyens (lorsqu’ils ne portent pas un masque par exemple), ne les frappez pas, ne les emprisonnez pas. Ne soyez pas les instruments de la dictature. Soyez du côté des citoyens et suivez le bel exemple des policiers Américains qui ont soutenu les citoyens en s’agenouillant avec eux. Nous vous assurons que ces mesures n’ont rien à voir avec la médecine ou l’hygiène ou la préservation de la santé publique, c’est de la dictature et de la folie.

    14. Nous disons aux citoyens : il faut respecter la loi. Mais, ceci ne veut pas dire la soumission aveugle à la folie, à l’injustice ou à la dictature. C’est cette soumission aveugle des citoyens aux lois injustes qui a conduit à la seconde guerre mondiale avec la mort de 50 millions de personnes. Vous êtes nés libres et vous devez vivre libres, donc : n’ayez pas peur et si vous n’êtes pas malades : enlevez les masques, sortez de chez vous comme vous le souhaitez et sans distanciation sociale, mais faites-le pacifiquement et sans aucune violence. Les professeurs Carl Heneghan et Tom Jefferson, épidémiologistes avec une grande expertise dans la médecine basée sur les preuves, disent : «Il n'y a aucune preuve scientifique pour soutenir la règle désastreuse de deux mètres. Des recherches de mauvaise qualité sont utilisées pour justifier une politique aux conséquences énormes pour nous tous».

    15. Nous disons qu’il faut une réforme totale de l’OMS. Les succès de l'OMS sont incontestables : des millions de vies ont été sauvées grâce aux programmes de vaccination contre la variole et la consommation de tabac a été réduite dans le monde. Mais, le problème majeur de l’OMS est qu’elle est depuis plusieurs années financée à 80% par des entreprises (notamment des laboratoires pharmaceutiques) et des donateurs privés (dont une fondation très connue) et les faits s'accumulent : fausse alerte sur l’H1N1 sous l’influence des lobbies pharmaceutiques, complaisance troublante envers le glyphosate que l’OMS avait déclaré sans danger en dépit des victimes de l’herbicide, aveuglement face aux conséquences de la pollution liée aux compagnies pétrolières en Afrique, minoration des bilans humains des catastrophes nucléaires de Tchernobyl à Fukushima et des désastres de l’utilisation de munitions à uranium appauvri en Irak ou dans les Balkans, non-reconnaissance de l’Artemisia pour protéger les intérêts des entreprises pharmaceutiques malgré qu’elle a prouvé son efficacité dans le traitement du paludisme. L’indépendance de l’organisation est compromise tout à la fois par l’influence des lobbies industriels -surtout pharmaceutiques- et par les intérêts de ses États membres, en particulier : la Chine. Le président d’un pays a dit : «Je pense que l’Organisation Mondiale de la Santé devrait avoir honte parce qu’ils sont devenus les porte-paroles de la Chine». L’institution de Genève, qui avait sous-estimé la menace Ebola (plus de onze mille morts) est de surcroît accusée de négligence vis-à-vis des maladies tropicales, au profit de marchés plus juteux. Une enquête réalisée en 2016 (l’OMS dans les griffes des lobbyistes)19 a livré une édifiante radiographie de l’OMS en dressant le portrait d’une structure fragilisée, soumise à de multiples conflits d’intérêts. Cette investigation a montré combien, à l’OMS, les intérêts privés dominent les enjeux de santé publique. Il n’est pas acceptable que l’argent qui la finance vienne principalement d’une seule personne et qu’elle soit infiltrée par des lobbies. Récemment, l’OMS s’est décrédibilisée encore plus en tombant dans le piège du Lancet Gate alors qu’un simple étudiant aurait découvert la fraude. À l’époque de la grippe H1N1 : le Docteur Wolfgang Wodarg, président de la commission santé de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe, a critiqué l'influence de l'industrie pharmaceutique sur les scientifiques et les fonctionnaires de l'OMS, déclarant qu'elle a conduit à la situation où "inutilement des millions de personnes en bonne santé étaient exposées au risque de vaccins mal testés" et que, pour une souche de grippe, elle était "beaucoup moins nocive" que toutes les épidémies de grippe précédentes20. Il a eu totalement raison puisque, plus tard, le vaccin a fait 1,500 victimes de narcolepsie dont 80% des enfants, comme on va le voir. Il a aussi reproché à l’OMS d’avoir alimenté la crainte d’une "fausse pandémie", l’a qualifiée de "l’un des plus grands scandales médicaux de ce siècle" et a demandé l’ouverture d’une enquête. En effet, les critères pour déclarer une pandémie (comme la sévérité) ont été modifiés par l’OMS sous l’influence des lobbies pharmaceutiques afin qu’ils puissent vendre les vaccins aux pays du monde. Selon un rapport21 de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe sur le gestion de la grippe H1N1, y compris par l’OMS : «gaspillage de fonds publics importants et existence de peurs injustifiées relatives aux risques de santé…De graves lacunes ont été identifiées en ce qui concerne la transparence des processus de décision liés à la pandémie, ce qui soulève des préoccupations sur l’éventuelle influence que l’industrie pharmaceutique aurait pu exercer aux égards des principales décisions relatives à la pandémie. L’Assemblée craint que ce manque de transparence et de responsabilité ne fasse chuter la confiance des citoyens dans les avis des grands organismes de santé publique». L’histoire se répète aujourd’hui avec exactement les mêmes acteurs et la même compagne de peur. L’ancien secrétaire général du département de santé publique de l’OMS a révélé dans une autre enquête (TrustWHO) qu’à l’époque de H1N1, personne n’avait peur à l’OMS et qu’il ne connaît personne à l’OMS qui s’est fait vacciner, y compris l’ancienne directrice générale : la Chinoise Margaret Chan22. Bien qu’il soit un haut responsable à l’OMS, il a été exclu ainsi que la plupart de ses collègues d’une réunion entre la directrice générale et les entreprises pharmaceutiques fabricatrices de vaccin avec comme motif : «c’est une réunion privée»

    16. Nous disons qu’il faut qu’une enquête soit ouverte et que certains responsables de l’OMS soient interrogés en particulier celui qui a fait la promotion internationale du confinement, qui est une hérésie d’un point de vue médical et une arnaque qui a égaré le monde. En effet, le 25 Février 2020 : le chef de la mission d’observation internationale du coronavirus en Chine a loué la réponse apportée par Pékin à l’épidémie23. Il a dit que la Chine a réussi par des méthodes «à l’ancienne», a souligné que «le monde avait besoin des leçons de la Chine», qu’il faudrait s’en inspirer et que s’il avait la COVID-19, il aimerait se faire soigner en Chine ! Une fois, il a aussi qualifié la Chine24 de «très ouverte» et «très transparente». Comment peut-on croire à ces déclarations ? Comment peut-on croire que s’il avait la COVID-19, il irait se soigner en Chine ? Comment peut-on croire que le monde doit s’inspirer de la Chine et que la lutte contre l’épidémie doit se faire avec des "méthodes à l’ancienne" ? Ce qui est hallucinant, c’est qu’il a réussi à faire avaler ses salades au monde entier. Car malheureusement : depuis ses déclarations et le rapport qu’il a supervisé (où on peut lire que les méthodes chinoises sont : "agiles et ambitieuses"), les pays du monde ont mis en place des mesures disproportionnées et ont suivi aveuglément l’OMS en confinant leurs populations. La peur et la psychose ont été propagées en présentant le SARS-CoV-2 comme un virus très dangereux ou à mortalité massive alors que ce n'est absolument pas le cas. Heureusement, une interview réalisée avec lui a montré une partie importante de la vérité et les conflits d’intérêts de l’OMS avec la Chine lorsqu’une journaliste lui a posé une question sur le refus de l’adhésion de Taiwan (qui est en conflit avec la Chine) par l’OMS : il a fait semblant de ne pas entendre la question puis quand cette dernière lui a été reposée, il a coupé la communication ! (la vidéo a été visionnée plus de 8 millions de fois)25. C’est lui aussi qui a dit fin Février : «Il n’existe actuellement qu’un seul médicament duquel nous pensons qu’il pourrait avoir une réelle efficacité : le remdesivir». Comment peut-il dire cela avant même la sortie des résultats ? Et pour quelles raisons l’a-t-il dit ? Des élus Canadiens de la Chambre des communes26 ont même sommé ce responsable de l’OMS à comparaître après qu’il eut refusé des invitations à témoigner devant le comité permanent de la santé. Même, le chef intérimaire du Parti conservateur Canadien a mis en doute l’exactitude des données de l’OMS sur la COVID-19. En effet, dire que la Chine a diminué le nombre de cas ou a bien géré l’épidémie et a aplani la courbe grâce au confinement est un pur mensonge et n’est basé sur aucune preuve car personne n’est capable de donner le chiffre du nombre de cas ou de morts en Chine si elle n’avait pas appliqué le confinement. En plus, des mois après : le monde a découvert que ces chiffres n’étaient même pas vrais ! Récemment, trois pays Africains ont expulsé des représentants de l’OMS parce que, selon certains de ces états, ils falsifiaient le nombre de cas en les gonflant. Les gens qui sont derrière le confinement, la psychose et la terreur mondiales, lorsqu’ils voient la ruée des gens vers les magasins, les gens se disputer pour des pâtes ou du papier toilette, les distances d’1 mètre comme si c’était la peste, les gens confinés comme s’ils étaient des animaux, les rues désinfectées, les policiers frappant les citoyens qui sortent, les drones et les hélicoptères mobilisés, les gens sortant avec des attestations, le port de masque malgré la fin de l’épidémie et le fait que les gens ne soient pas malades, il n’est pas exclu qu’ils soient en train de rire de la facilité avec laquelle ils ont manipulé des pays entiers et peut être même qu’ils les traitent de moutons. La folie a atteint le point où dans certains pays : des plages ont été désinfectées avec de l'eau de javel, des pompiers moustachus et barbus interdits de travail, des plexiglas ont été installés partout (même dans les classes des écoles) comme si c’était la peste noire, un train a été arrêté parce qu’une personne ne portait pas le masque, des familles privées de voir leurs morts (comme si le virus allait sauter du corps et les mordre), des septuagénaires verbalisées pour être sorties jeter les poubelles et même des pièces de monnaie et des billets de banque provenant de l'étranger ont été "isolés" ! Comment les pays ont-ils pu accepter de tomber dans ce niveau de folie, de stupidité et de dictature ? Surtout ceux qui se disent démocratiques. Tout ça pour un virus qui entraîne 85% de formes bénignes et pour lequel 99% des gens infectés guérissent. L'OMS a exhorté le monde à copier la réponse de la Chine à la COVID-19 et elle a réussi ; chaque pays du monde, en suivant aveuglément l’OMS, est devenu une copie conforme de la Chine. Quelques pays seulement ont refusé d’imiter bêtement les autres, comme la Suède ou la Biélorussie qui peuvent être félicités. Le président d’un pays européen a eu raison de dire : «Il ne s'agit que d'une psychose plus dangereuse que le virus lui-même». Des experts de renommée internationale ont qualifié l’alerte mondiale de «disproportionnée». Le Professeur Jean-François Toussaint a dit : «Il me semble que l’OMS a une très grande responsabilité en n’ayant pas su établir la priorité, en ayant continué inlassablement à répéter qu’il s’agissait d’une menace pour l’humanité» (Journal International de Médecine, 13 Juin 2020).

    17. Nous disons qu’il faut arrêter de suivre aveuglément l’OMS car elle n’est pas une société savante et loin d’être indépendante, comme on l’a vu. Interrogée sur la raison de la décision de rendre 11 vaccins obligatoires, une ancienne ministre de la santé27 d’un pays européen a répondu : «C’est une décision de santé publique qui répond, en fait, à un objectif mondial de l’OMS qui demande aujourd’hui à tous les pays du monde d’obtenir 95% d’enfants vaccinés pour les vaccins nécessaires». Nous recommandons, aussi, aux gouvernements de bien choisir les experts qui les conseille et d’éviter ceux qui ont des liens avec les laboratoires pharmaceutiques ; Un grand professeur en infectiologie a fait cette remarque sur certains experts d’un pays européen : «Un membre éminent de la commission Maladies transmissibles de ce Haut Conseil a ainsi touché 90,741 euros de l’industrie pharmaceutique, dont 16,563 euros de [un laboratoire pharmaceutique qui produit une molécule concurrente de l’hydroxychloroquine]. Or c’est ce Haut Conseil qui a rendu le fameux avis interdisant l’hydroxychloroquine, sauf aux mourants…je ne vois pas de trace dans cet avis du respect de la procédure de gestion des conflits d’intérêts...Si un membre présente un conflit d’intérêts majeur, il doit quitter la séance et ne pas participer aux débats ni à la rédaction de l’avis...Or en bas de cet avis, on ne mentionne pas les conflits d’intérêts ni le nombre de membres qualifiés ayant participé au vote. C’est un grave manquement au règlement». Un ancien rédacteur en chef du New England Journal of Medicine a déclaré : «La profession médicale est achetée par l'industrie pharmaceutique, non seulement en termes de pratique de la médecine, mais aussi en termes d'enseignement et de recherche. Les institutions académiques de ce pays se permettent d'être les agents rémunérés de l'industrie pharmaceutique. Je pense que c'est honteux»28. Ceci ne doit bien sûr pas être généralisé sur tout le monde.

    18. Nous disons aux gouvernements : ne suivez plus -dans les épidémies- les modélisations mathématiques qui sont des choses virtuelles sans lien avec la réalité et qui ont égaré le monde à plusieurs reprises et ont servi de justification aux politiques folles de confinement. En effet, une université européenne qui a des liens forts avec l’OMS avait dit que : -50,000 britanniques seront morts de la maladie de la vache folle alors qu’au final seulement 177 sont décédés. -la grippe aviaire allait tuer 200 millions de personnes alors que 282 seulement sont décédés. -la grippe H1N1 allait tuer 65,000 britanniques alors que 457 seulement sont décédés29. Le taux de mortalité a été aussi exagéré alors que la grippe H1N1 s’est révélée finalement beaucoup moins dangereuse, ce qui a incité beaucoup de gens à dénoncer l'argent, le temps et les ressources considérables déployés pour une grippe bénigne. À l’époque, la presse a découvert que le recteur de cette université30, qui a conseillé l’OMS et les gouvernements, a reçu un salaire de 116,000 £ par an du fabricant de vaccin contre l’H1N1.
    Et aujourd'hui, c'est sur la base du même modèle défectueux, développé pour la planification de la pandémie de grippe, qu'ils ont donné leurs prévisions astrologiques sur la COVID-19 ; ils ont dit que 500,000 mourront au Royaume-Uni, 2,2 millions aux Etats-Unis, 70,000 en Suède et entre 300,000 et 500,000 en France
    31 ! Qui peut croire ces chiffres fous ? C’est pour cela que le Professeur Didier Raoult qualifie ces modélisations de : «forme moderne des divinations». Le Professeur John Ashton a également dénoncé ces prédictions astrologiques et le fait qu’elles aient une sorte de statut religieux. De plus, la presse a découvert que celui qui, dans cette université, a incité les gouvernements au confinement ne respecte même pas ce qui leur préconisait32. Là aussi, une enquête mérite, d’être menée auprès de certains responsables de cette université européenne. Le Professeur Jean-François Toussaint a dit à propos du confinement : «Il faut à tout prix éviter qu’un quelconque gouvernement ne reprenne un jour une telle décision. D’autant que l’instrumentalisation de la pandémie avec des confinements généralisés pour la moitié de l’humanité n’aura abouti qu’à renforcer les régimes autoritaires et à suspendre les campagnes de prévention des grandes maladies mortelles. En France, les simulations estimant que 60,000 vies ont été sauvées sont de pures fantaisies». Le fameux slogan international : «Restez chez vous, sauvez des vies» était une affirmation tout simplement mensongère. Au contraire, le confinement a tué beaucoup de gens.

    19. Nous REFUSONS l’obligation vaccinale et nous REFUSONS l’obligation d’un certificat de vaccination contre le coronavirus pour voyager, pour les raisons suivantes : -Le vaccin n’est pas indispensable car 85% des formes sont bénignes, 99% des sujets infectés guérissent et les enfants ainsi que les femmes enceintes ne sont pas des sujets à risque. De plus, une grande partie de la population est déjà protégée contre le SARS-CoV-2 grâce à l’immunité croisée acquise avec les coronavirus saisonniers33. Dire qu’on n’en est pas sûr est UN MENSONGE et émettre des doutes sur la durée ou l’efficacité de cette protection est une manipulation visant à protéger le business plan du vaccin. -C’est un virus à ARN, donc plus propice à des mutations et le vaccin risque d’être inefficace. -Des essais de vaccin sont réalisés dans la précipitation34 et certains appellent à accélérer les procédures de tests et à se passer des habituels essais sur les animaux, ce qui est risqué. Tester les vaccins sans prendre le temps de bien comprendre les risques pour la sécurité pourrait entraîner des revers injustifiés pendant la pandémie et à l'avenir. -Les précédents essais de vaccins contre les coronavirus sont inquiétants34 : en 2004, l'un des vaccins mis au point contre le SRAS avait provoqué une hépatite chez les animaux sur lesquels il avait été testé. Un autre vaccin en phase de test avait causé de graves lésions pulmonaires aux animaux de laboratoire, les rendant plus fragiles à de futures infections. Des vaccins développés contre un autre coronavirus, le virus de la péritonite infectieuse féline, augmentaient le risque pour les chats de développer la maladie causée par le virus. Des phénomènes similaires ont été observés dans des études animales pour d'autres virus, y compris le coronavirus qui cause le SRAS.  -Certains vaccins sont testés par des entreprises qui n’ont aucune expérience dans la fabrication et la commercialisation des vaccins et qui utilisent des technologies nouvelles en médecine dont on ne connaît ni les bénéfices ni les risques pour la santé. -La recherche de profit financier de nombreuses entreprises pharmaceutiques aux dépens de la santé des populations (sans généraliser bien sûr sur la totalité). Le patron d’une entreprise pharmaceutique a dit devant ses actionnaires lors de la grippe H1N1 : «Ce vaccin, ça sera une opportunité significative en termes de revenus. C’est un joli coup de fouet pour nous, pour le chiffre d’affaires et pour le cash flow»27. L’ancien ministre de la santé d’un pays européen a déclaré le 23 Mai 2020 : «Quand il y a une épidémie comme le COVID, nous on voit : mortalité, quand on est médecin,…ou on voit : souffrance. Et il y a des gens qui voient : dollars…vous avez des grands laboratoires qui disent : c’est le moment ou jamais de gagner des milliards»35. Le 16 Juin 2020, le Professeur Christian Perronne, spécialiste des maladies infectieuses, a dit sur Sud Radio à propos du vaccin contre le coronavirus : «On n’en a aucun besoin…Tout ça, c’est une histoire purement commerciale». Le site internet du magazine Nexus a publié le 07 Août l’avis du Docteur Pierre Cave qui dit : «L’épidémie est terminée en France…en tant que médecin, je n’hésite pas à anticiper les décisions du gouvernement : Il faut non seulement refuser ces vaccins [contre la COVID-19], mais dénoncer et condamner la démarche purement mercantile et le cynisme abject qui ont guidé leur production».  -Les violations éthiques scandaleuses dans de nombreux essais cliniques : comme les pays occidentaux ne leur permettent pas de violer les principes éthiques, de nombreux laboratoires pharmaceutiques (sans généraliser sur la totalité) réalisent leurs essais cliniques de médicaments et de vaccins dans les pays en développement ou pauvres où des expériences sont menées sur des gens sans qu’ils en aient la moindre connaissance et sans leur consentement. Le rapport36 rédigé par Irene Schipper (SOMO briefing paper on ethics in clinical trials) a montré des manquements éthiques choquants et très graves ; dans un essai clinique, par exemple, des femmes Africaines ont contracté le VIH et sont devenues ensuite malades du SIDA. Cet essai clinique a été financé par une fondation ainsi qu’un laboratoire très connus. Dans certains pays, ces essais cliniques scandaleux ont été accomplis avec la complicité des autorités locales sur fond de conflits d’intérêts. -Une entreprise pharmaceutique : AstraZeneca a conclu un accord avec plusieurs pays qui lui permet d’obtenir l’immunité de toute plainte légale, au cas où le vaccin devait finalement montrer des effets secondaires nocifs. En d’autres termes, ce sont les états et pas AstraZeneca qui indemniseront les victimes, c’est-à-dire avec l’argent des citoyens ! À ce propos, nous disons aux citoyens : Protestez MASSIVEMENT contre cet accord scandaleux, honteux et profondément injuste jusqu’à ce qu’il soit supprimé. Il faut refuser cette utilisation IRRESPONSABLE de votre argent. Même des experts Belges ont été «choqués» par cet accord. -Les scandales des vaccins dangereux voire mortels élaborés en période d’épidémie et on va citer deux exemples (nous ne sommes, évidemment, pas des anti-vaccins puisque ça signifie remettre en cause les découvertes d’Edward Jenner) : Le scandale du vaccin contre l’H1N1 : il a été testé sur un faible nombre de personnes et malgré cela, il a été commercialisé comme étant sûr en 2009. Mais, un an après, des inquiétudes ont été exprimées en Finlande et en Suède concernant une éventuelle association entre la narcolepsie et le vaccin. Une étude de cohorte ultérieure en Finlande a signalé un risque 13 fois plus élevé de narcolepsie après la vaccination chez les enfants et les jeunes âgés de 4 à 19 ans, dont la plupart des cas étaient apparus dans les trois mois suivant la vaccination et presque tous dans les six mois. Il a fallu attendre 2013 pour qu’une étude publiée dans le British Medical Journal confirme ces résultats pour la Grande Bretagne, aussi37. Au total, ce vaccin dangereux a entraîné 1,500 cas de narcolepsie rien qu’en Europe et 80% des victimes sont des enfants. Une partie du personnel médical du NHS vacciné a été touchée aussi par la narcolepsie. La narcolepsie est une maladie neurologique chronique et incurable où les patients s’endorment de façon incontrôlable, ils subissent des accès brusques de sommeil de quelques minutes qui surviennent n’importe où et n’importe quand dans la journée (somnolence diurne) et ils sont victimes aussi de crises impressionnantes de cataplexie (brusque relâchement du tonus musculaire engendré par une émotion forte comme un éclat de rire, de colère ou de surprise. Cela peut provoquer une faiblesse au niveau des genoux, une impossibilité à articuler ou parfois même une chute pendant quelques secondes). Elle endommage la fonction mentale et la mémoire et peut entraîner des hallucinations et des maladies mentales. Peter Todd, un avocat qui représentait bon nombre des plaignants, déclarait au Sunday Times: "Il n'y a jamais eu de cas comme celui-là auparavant. Les victimes de ce vaccin sont incurables et à vie et auront besoin de nombreux médicaments". Parmi les enfants victimes du vaccin : Josh Hadfield (huit ans), qui prend des médicaments anti-narcolepsie coûtant 15,000 £ par an pour l'aider à rester éveillé pendant la journée à l’école. "Si vous le faites rire, il s'effondre. Sa mémoire est abattue. Il n'y a pas de remède. Il dit qu'il souhaite qu'il ne soit pas né. Je me sens incroyablement coupable de l'avoir fait vacciner", a déclaré sa mère38. Les familles ont subi un calvaire qui a duré 7 ans pour obtenir gain de cause en justice. Et au lieu que ça soit le laboratoire pharmaceutique qui les indemnise, ce sont les états38,39 qui l’ont fait, c’est-à-dire avec l’argent du citoyen ! Le scandale du vaccin mortel contre la dengue dans un pays asiatique40, en 2018 : Selon le bureau de la procureure Persida Acosta, 500 enfants sont décédés à la suite de ce vaccin et plusieurs milliers sont malades. Certains ont besoin d'opérations, pour résorber le sang après des hémorragies sévères. La plupart des familles n'en ont pas les moyens. Pour la procureure, les responsabilités se partagent entre le laboratoire qui a vendu "un vaccin dangereux" et le gouvernement qui a mis en place une campagne de vaccination "massive et indiscriminée", dans des conditions déplorables. Le docteur Erwin Erfe, qui travaillait pour le bureau du procureur, pratiquait des autopsies d'enfants deux à trois par semaine avec toujours les mêmes résultats : "Des hémorragies internes, notamment au niveau du cerveau et des poumons…et des organes enflés". Ce vaccin s'annonçait pourtant comme un triomphe planétaire ; en 2015, le laboratoire confirmait en grande pompe la mise sur le marché d'un vaccin révolutionnaire contre la dengue. C'était une première mondiale, le produit de vingt ans de recherche et 1,5 milliard d'euros d'investissements. Pourtant dès le début, des voix se sont élevées dans la communauté scientifique : Le docteur Antonio Dans a tenté d'alerter sur les résultats non concluants des premiers essais cliniques. Aux Etats-Unis, le Professeur Scott Halstead, un spécialiste mondialement reconnu de la maladie, qui s'inquiétait, a même envoyé une vidéo diffusée au Sénat du pays en question pour l’exhorter à suspendre le programme de vaccination. L'ancienne ministre de la Santé du pays en question a été inculpée dans ce scandale. "C'est l'appât du gain, qui a tué ces enfants", estime la procureure Persida Acosta.

    20. Nous disons : STOP à toutes ces mesures folles, dictatoriales et sûrement pas sanitaires et à cause desquelles des drames se produisent chaque jour : une adolescente s’est suicidée en Grande Bretagne parce que le confinement pour elle durait 300 ans41, une femme enceinte a souffert le martyre lors de son accouchement en France42, un adolescent aux États-Unis nécessitera une intervention chirurgicale après avoir été agressé par un couple à qui il a demandé de porter le masque, une infirmière a également été agressée en France et un chauffeur de bus est même mort à cause aussi de ces mesures illégales du port obligatoire de masques, 60,000 patients cancéreux risquent de décéder en Angleterre à cause des retards de diagnostic et de traitement selon le Professeur Karol Sikora, 12,000 personnes dans le monde risquent de mourir chaque jour de la faim (selon Oxfam), le nombre d’arrêts cardiaques a été multiplié par deux dans certains pays43, des entreprises tombent en faillite, 305 millions d’emplois à plein temps sont détruits -touchant particulièrement les femmes et les jeunes- selon l’organisation internationale du travail, un homme est mort à cause du masque aux Etats-Unis44, etc. Même les oiseaux souffrent de ces mesures dangereuses et se retrouvent piégés et tués à cause des masques : «Le pauvre animal trébuchait et tombait sans cesse, les élastiques du masque s’étaient resserrés autour de ses pattes, dont les articulations étaient gonflées et le faisaient souffrir…J’ai bien peur que ce goéland soit la première d’une longue série de victimes», ont déclaré des employés de la société royale pour la prévention de la cruauté animale, à la BBC le 20 Juillet et l’oiseau a subi ce supplice pendant une semaine ! Il faut préciser aussi que la cause initiale et première du drame de George Floyd est le confinement : s’il n’y avait pas de confinement, il n’aurait pas perdu son emploi, il aurait été le 25 Mai à son travail, il n’aurait pas été assassiné, les pillages de magasins et les incendies comme les affrontements avec la police ne se seraient jamais produits, le chaos aux Etats-Unis aurait été évité et George Floyd serait aujourd’hui encore vivant parmi nous.

    21. Nous disons aux gouvernements : TOUT doit revenir immédiatement à l’état normal (y compris la ré-ouverture des services hospitaliers, du transport aérien, de l’économie, des écoles et des universités) et cette prise d’otages mondiale doit cesser car vous avez su, preuves à l’appui, que vous comme les citoyens, vous avez été victimes de la plus grande arnaque sanitaire du 21e siècle. Le professeur Carl Heneghan a déclaré le 23 août que la peur qui empêche le pays de revenir à la normale n'est pas fondée, selon l'Express. Les Professeurs Karina Reiss et Sucharit Bhakdi ont sorti, en Juin, un livre appelé : «Corona : fausse alerte ?»45. Le maire d’une ville en Europe a déclaré : «Le climat diffusé sur [le sujet du coronavirus] est particulièrement lourd et devient suspect». Le Docteur Olivier Chailley a écrit un livre intitulé : «Le virus de la peur ou comment le monde entier est devenu fou». Le Professeur Sucharit Bhakdi (qui a écrit, aussi, une lettre à Angela Merkel) a dit à propos des mesures prises, y compris celles du confinement : "mesures grotesques, absurdes et très dangereuses...un impact horrible sur l'économie mondiale...auto-destruction et suicide collectif…". Une enquête internationale et indépendante doit être ouverte et les responsables doivent être jugés.

    22. Nous disons aux citoyens : pour vous maintenir dans le troupeau, il est possible que certains vont essayer de nous discréditer par tous les moyens, par exemple en nous accusant de conspirationnistes ou de complotistes, etc. Ne les écoutez pas, ce sont des MENTEURS car les informations qu’on vous a données sont : médicales, scientifiques et documentées.

    23. Nous disons aux citoyens : cette lettre ne doit pas vous pousser à la violence envers qui que ce soit. Réagissez pacifiquement. Et si un professionnel de santé signataire de cette lettre sera attaqué ou diffamé ou menacé ou persécuté : soutenez-le MASSIVEMENT. Chers citoyens : beaucoup de scientifiques, d’éminents professeurs de médecine et de professionnels de santé à travers le monde ont dénoncé ce qui se passe et il est temps de vous réveiller ! Si vous ne dites rien, de nouvelles mesures dictatoriales «made in China» seront imposées. Vous devez REFUSER ça. Nous vous assurons que ces mesures n’ont rien à voir avec la médecine ou l’hygiène ou la préservation de la santé publique, c’est de la dictature et de la folie. Le Docteur Anders Tegnell a dit : «Le monde est devenu fou» en mettant en place les confinements qui «vont à l'encontre de ce que l'on sait sur la gestion des pandémies de virus».

    24. Nous invitons les professionnels de santé du MONDE ENTIER à être forts et courageux et à faire leur devoir de dire la vérité, à nous rejoindre MASSIVEMENT dans le collectif : United Health Professionnals et à signer cette lettre en envoyant les 4 informations suivantes : prénom, nom, profession et pays à : join.unitedhealthprofessionals@gmail.com La liste des signataires sera mise à jour régulièrement.

    Albert Einstein disait : "le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire".

     

    SIGNATAIRES :

    Voir la liste des signataires dans la version Anglaise du message d’alerte international :

    https://drive.google.com/file/d/1hghf8Bh3AIUi5HxrnPA8FZeQqo77e_xN/view?usp=sharing

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    2. Grifoni A, Weiskopf D, Ramirez SI, et al. Targets of T Cell Responses to SARS-CoV-2 Coronavirus in Humans with COVID-19 Disease and Unexposed Individuals [published online ahead of print, 2020 May 20]. Cell. 2020;S0092-8674(20)30610-3. doi:10.1016/j.cell.2020.05.015.

    -Mateus J, Grifoni A, Tarke A, et al. Selective and cross-reactive SARS-CoV-2 T cell epitopes in unexposed humans. Science. 2020;eabd3871. doi:10.1126/science.abd3871.

    1. Jiang S. Don't rush to deploy COVID-19 vaccines and drugs without sufficient safety guarantees. Nature. 2020;579(7799):321. doi:10.1038/d41586-020-00751-9.

    -Céline Deluzarche. Coronavirus : les dangers d'un vaccin élaboré à la hâte. Futura. 19 Mars 2020.

    -Louise Beda-Akichi. Et si on n'arrivait jamais à trouver de vaccin contre le Covid-19?. Slate. 26 Mai 2020.

    1. BFMTV."Vivre avec..." - Samedi 23 mai 2020. 23 Mai 2020

    2. Irene Schipper. SOMO briefing paper on ethics in clinical trials. 1 Février 2008.

    -Jean-Philippe Chippaux. Le Monde Diplomatique. L’Afrique, cobaye de Big Pharma. Juin 2005. 

    1. Miller Elizabeth, Andrews Nick, Stellitano Lesley, Stowe Julia, Winstone Anne Marie, Shneerson John et al. Risk of narcolepsy in children and young people receiving AS03 adjuvanted pandemic A/H1N1 2009 influenza vaccine: retrospective analysis BMJ 2013; 346 :f794

    2. Tom Porter. Brain-Damaged UK Victims of Swine Flu Vaccine to Get £60 Million Compensation. International Business Times. 2 Mars 2014.

    3. DAZ.online. Schweden zahlt Entschädigung für Narkolepsie-Kranke nach Impfung. 13 Mai 2016.

    4. Carol Isoux. Dengue : Sanofi au cœur d'une affaire de vaccin mortel aux Philippines. L’OBS. 27 Novembre 2018.

    5. Eugene Henderson and Lorraine King. Parents warned after teen took her own life 'because lockdown felt like 300 years'. Mirror. 22 Avril 2020.

    6. Laure. Accouchement en temps de Covid : « J’ai traversé seule quatorze heures de contractions. C’est criminel ». L’OBS. 13 Mai 2020.

    7. Marijon, Eloi et al. “Out-of-hospital cardiac arrest during the COVID-19 pandemic in Paris, France: a population-based, observational study.” The Lancet. Public Health, 27 May. 2020, doi:10.1016/S2468-2667(20)30117-1

    -Baldi E et al. Out-of-hospital cardiac arrest during the Covid-19 outbreak in Italy. N Engl J Med 2020 Apr 29; [e-pub] https://doi.org/10.1056/NEJMc2010418

    1. Jessie Gomez. Lincoln Park driver 'passed out' due to N95 mask, crashed car, police say. Daily Record. 25 Avril 2020.

    2. Karina Reiss, Sucharit Bhakdi. Corona Fehlalarm? Zahlen, Daten und Hintergründe. Goldegg. Juin 2020.

    https://www.amazon.de/Corona-Fehlalarm-Daten-Fakten-Hintergründe/dp/3990601911

    -Olivier Chailley. Le virus de la peur ou comment le monde entier est devenu fou. Bookelis. Avril 2020.

    https://www.bookelis.com/sciences-humaines/40471-Le-virus-de-la-peur.html

     

     

     

     


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  •  

    Trois quart de siècle plus tard…..

    Pierre Péguin, 5 aout 2020,

    Plus que jamais nous subissons les graves conséquences des largages de bombes atomiques des 6 et 9 aout 1945 sur les villes martyres Hiroshima et Nagasaki:

    - La manipulation des observations recueillies par les américains après les bombardements ont permis aux structures internationales du lobby nucléaire de nier le plus longtemps possible l’effet des contaminations par de faibles doses radioactives, ainsi que de leurs effets génétiques transmissibles. De ce fait les normes de protection des travailleurs et des populations sont très insuffisantes.

    - La course aux armements nucléaires de plus en plus sophistiqués accroissent le risque de guerre nucléaire dangereusement (1). Les 2400 bombes qui ont explosé à titre d’essai ont contaminé l’ADN de tout le vivant de la planète.

    Il en résulte un nombre considérable de victimes (plusieurs dizaines de millions) qui dépasse et de loin celles directement liées aux bombardements de 1945 (environs 250.000) qui a introduit l’humanité dans une ère de barbarie (2).

    J'avais 7 ans en 45, et je me souviens être monté sur la terrasse de l'immeuble dans lequel nous habitions pour regarder vers l'est et espérer naïvement voir le champignon.... Très vite l’idéologie dominante, celle des vainqueurs, avait annoncé que grâce à la bombe atomique le Japon avait capitulé marquant ainsi la fin de la guerre. Plus tard tout aussi naïvement on a chanté, dansé, adulé l'atome («c'est la danse atomique... ») et les maillots de bain « bikini »; on a cru à l'«atome for peace» promu par Roosevelt, et à la "grandeur de la France" chère à de Gaule créant le CEA (Commissariat à l'Energie Atomique) chargé de construire la bombe.
    Ah, on nous a bien manipulés !

    Ainsi tout avait été fait pour convaincre l’opinion de la nécessite de ces opérations afin que les US ne soient jamais accusés de crime contre l’humanité. Pourtant une autre analyse de l’histoire « le projet Manhattan » (3), montre que le Japon à genoux voulait négocier une capitulation honorable, mais que les Etats Unis y mettaient des conditions insupportables, conditions disparues comme par hasard, après les bombardements.

    Dans cette analyse qui contredit l’idéologie officielle, Il fallait à tous prix que la guerre se prolonge quelques jours, le temps de pouvoir larguer ces bombes sur deux villes martyres, non seulement pour bénéficier d’une expérimentation en vraie grandeur, mais aussi pour asseoir la supériorité US sur la Russie, c’était le début de la guerre froide.

    La suite montrera l’exploitation des données recueillies sur les victimes immédiates et celles mourant ultérieurement dans d’horribles souffrances, sous l’œil froid des experts exclusivement américains.

    Mais maintenant on sait, on sait que l'horreur nucléaire est toujours à l’œuvre, que les dégâts humains sont à ce jour bien pires que ceux de 1945, que les 2400 explosions de bombes atomiques ont contaminé toute la planète et l’ADN du vivant, que toute la chaîne de l'industrie nucléaire et le fonctionnement des réacteurs répandent les radionucléides responsables de bien de pathologies, sans parler des catastrophes.

    Août 45 est un symbole, mais en août 2020, nous sommes avec un nombre de victimes et des menaces autrement plus terrifiantes. Nous payons aujourd’hui les conséquences de ces bombardements et de l’exploitation qu’en a fait le complexe militaro-scientifico-industriel. C’est le cas des multiples victimes de la radioactivité que ce soit sur les sites d’expérimentation militaires (Regane, Polynesie), dans les territoires de guerre ayant subi les armes à tête d’uranium (4) comme en Irak, Afghanistan, Kosowo, suite aux catastrophes atomiques toujours en cours (Tchernobyl, Fukushima,etc.), au voisinage des centrales et usines nucléaires, ou des mines d’uranium.

    On sait aussi qu’au delà de la crise climatique, au-delà même des catastrophes nucléaires, la pire menace qui pèse sur nos existences est la guerre atomique dont on n’ose pas imaginer ce qui en resterait de l’humanité. L’entretien et le développement des armements nucléaires mobilisent des budgets considérables. Ils s’appuient sur le fonctionnement des équipements nécessaires à la production de l’électricité par le nucléaire dit « civil » qui se trouve ainsi verrouillé. 

    Notre revendication de l’arrêt du nucléaire en est d’autant plus difficile à aboutir, contrairement à nos pays voisins qui ont choisi de s’en passer sans pour autant être retournés à la caverne et à la bougie.

    Nous ne devons pas nous taire, et continuer à appeler à l’arrêt de l’électronucléaire, et à la condamnation de l’armement nucléaire.  

    Hiroshima le 6 août et Nagasaki le 9,
    Le 6 août 1945, Hiroshima a été détruite par une bombe atomique à l’uranium,
    et le 9, Nagasaki a subi le même sort, cette fois par une bombe au plutonium.
    Ces événements qui marquent notre histoire sont l’aboutissement de ce qui a
    été appelé le projet Manhatan qui a mobilisé plusieurs centaines de milliers de
    travailleurs sur plusieurs sites aux USA.
    S’il est exact que ce projet a été lancé face à la crainte que l’Allemagne nazie travaille sur l’arme atomique, il a été sû assez vite que l’ennemi n’en avait pas la capacité. Mais la machine était lancée, le complexe militaro-scientifiquo-industriel voulait aller jusqu’au bout quel qu’en soit le prix.
    Et le prix n’a pas été que financier il a également été humain : Il y a eu des
    victimes parmi le personnel, et le silence des familles a été acheté, c’était le
    début des mensonges concernant la dangerosité cachée de la radioactivité. De très nombreux cobayes humains ont été volontairement contaminés : résidents d’asiles, d’orphelinats, des malades hospitalisés, des condamnés, etc. l’horreur. !
    Le pire est que la direction militaire voulait absolument une expérimentation en
    site humain pour en tirer tous les enseignements et qui permettrait d’affirmer la supériorité des US sur l’URSS.



    Ensuite l’armée américaine a verrouillé les observations de façon à cacher la nocivité de la contamination radioactive et à n’attribuer les dégâts qu’aux effets directs de l’explosion (onde de choc, chaleur et irradiation).

    Les structures internationales supposées protéger les travailleurs et les populations, continuent à s’appuyer sur les données tronquées diffusées à cette époque. Ainsi tout ce qui concerne les effets de la contamination des organismes vivants, et les effets génétiques ont été officiellement niés. Cela a permis d’imposer des normes de protection très insuffisantes.
    Il s’
    est bien agit là d’un crime contre l’humanité commis consciemment, et qui a ouvert la porte à une nouvelle ère, celle de la menace atomique liant à tout jamais dans l’histoire humaine ,l’énergie nucléaire et le mépris de la vie.

    Ainsi l’UNSCEAR (5) structure chargée de dire la connaissance scientifique officielle du lobby international, reprend les résultats fournis par les américains dans le suivi sanitaire des irradiés d’Hiroshima et Nagasaki. Cela a permis à la CIPR (6) de préconiser des normes laxistes de protection.

    L’enjeu essentiel est de pouvoir nier le plus possible l’importance de la contamination par de faibles doses de radioactivité, et on continue à le faire dans les zones contaminées par Tchernobyl ou Fukushima au mépris de la santé des populations concernées. Au point même de refuser aux enfants les cures qui permettraient d’alléger leurs souffrances ! C’est l’application des programmes « éthos-Core » (7) dans lesquels les experts français du CEPN (8) toujours à la pointe de la lutte pour sauver le nucléaire sont impliqués. Ces criminels prétendent que c’est la nucléophobie qui rend malade... 

    Mais face à ce « négationisme », en 2001, des membres du Parlement Européen ont décidé de soutenir la rédaction du rapport « Etude des effets sanitaires de l’exposition aux faibles doses de radiation ionisante à des fins de radioprotection », rapport CERI publié en 2003 (9).

    Le CERI, Comité Europeen sur le Risque de l’Irradiation
    Le CERI remet en cause les normes et méthodes d'évaluation qui ont prévalu jusqu'à présent en matière de radioprotection. Sollicitée et financée par le groupe Verts européens, l'élaboration de cette étude a été coordonnée par le chimiste anglais Chris Busby et a rassemblé une palette d'experts indépendants du monde entier».
    La création du CERI reposait sur le fait « qu’il existait suffisamment de preuves démontrant qu’une exposition de faible dose due à des radio-éléments artificiels provoquait des problèmes de santé, et que les modèles conventionnels de la Commission Internationale de Protection contre les Radiations (CIPR) n’ont aucunement prévu ces effets. »
    Outre le fait que le secret ait entouré les observations effectuées au Japon, et que de plus les structures internationales de sûreté nucléaire soient verrouillées sans contrôle démocratique, les experts du CERI ont critiqué la démarche scientifique pour les raisons suivantes :
    - Les survivants ont dû être parmi les plus résistants des habitants de ces villes, les plus fragiles (jeunes, femmes enceintes, etc.) étant déjà tués beaucoup plus facilement. La « cohorte » suivie n’est donc pas représentative d’une population moyenne.
    - Il s’est agi au Japon d’irradiation violente (rayonnement gamma pour l’essentiel), alors que le fonctionnement actuel des réacteurs engendre des quantités importantes de radioéléments dont la contamination à petite dose est d’autant plus dangereuse qu’ils peuvent se comporter chimiquement comme des
    éléments nécessaires à la vie et prendre leur place dans nos organismes ( Césium 139, strontium 90, iode 131, par exemple). Il n’est donc pas possible de donner du crédit à l’extrapolation vers les faibles doses de la relation linéaire liant le nombre de victimes à la dose reçue.
    - L’existence d’un seuil en-dessous duquel l’irradiation serait inoffensive n’est pas crédible non plus, on trouve encore des textes annonçant qu’au dessous de 100msv il n’y a pas d’effets prouvés !
    - La comparaison avec la radioactivité naturelle n’a pas de sens, la radioactivité artificielle est composée d’éléments qui n’existent pas à l’état naturel, éléments qui entrent dans le cycle de la vie et
    dont le rayonnement perturbe les cellules et l’ADN.
    - Les calculs officiels
    ne prennent pas en compte les graves conséquences de la contamination interne. Ils ne tiennent pas compte des autres pathologies provoquées par la radioactivité, ni des effets génétiques transmissibles, ni encore des fausse-couches ou des bébés mort-nés. Ils ont pu ainsi faire l’impasse sur les effets à long terme des contaminations par de faibles doses, et sur les conséquences de transmission génétique d’altérations.
    - Les fortes doses tuent, les faibles doses agissent à plus long terme, elles abîment les cellules, créent des radicaux libres et provoquent des mutations.
    -
    De plus, le modèle CIPR fait comme si l’irradiation est répartie uniformément sur le corps, pas de distinction entre irradiation répartie et concentration localisée sur certains organes (comme par exemple l’iode radioactif dans la thyroide).

    Ainsi après 3/4 de siècle nous subissons plus que jamais les graves conséquences des bombardements atomiques d’Hiroshima et Nagaski :
    - Des normes de sécurité insuffisantes, et leur manipulation en fonction des besoins, pour les travailleurs, pour les populations qui vivent en zone contaminée, aux dépends de leur santé. Ce terrible et inhumain mensonge permet de rejeter les demandes de maladies professionnelles ou de reconnaissance de pathologies subies suite aux catastrophes ou tout simplement suite aux essais nucléaires comme ceux de Regane ou de Polynésie.

    - Enfin l’initiative de l’armée US ne pouvait dans le cadre de la guerre froide que provoquer le développement d’armements de plus en plus sophistiqués et terrifiants tel que la bombe H (10). L’exemple a été suivi par d’autres pays Israel, Inde, Pakistan, Corée Nord.
    Nous sommes en permanence menacés d’une guerre nucléaire, le plus grave fléau en puissance. Notons que les plus grands émetteurs de CO2 sont les plus grandes puissances militaires.

    Il nous faut donc non seulement œuvrer à l’arrêt du nucléaire civil, mais aussi du militaire avec neutralisation des stocks de bombe.

    Ainsi ACDN, Action des Citoyens pour le désarmement nucléaire, agit, notamment par une demande de référendum, en faveur d’un désarmement nucléaire, biologique et chimique. Pour cela il existe une Proposition de Loi visant à organiser un referendum pour abolir les armes nucléaires et radioactives (Le Monde, 14 février 2020). Pour être déposée, elle doit recueillir les signatures de 185 parlementaires et en a reçu 43 pour le moment.

    D’après ICAN France, relais national de la Campagne Internationale pour Abolir les Armes Nucléaires, campagne qui vise à mobiliser les citoyens pour faire pression sur leurs gouvernements. Le traité des Nations unies sur l'interdiction des armes nucléaires (TIAN) voté à l’Onu en 2017 par 122 Etats n'a besoin que de 10 ratifications supplémentaires pour atteindre les 50 nécessaires pour entrer en vigueur, et rendre les armes nucléaires illégales au regard du droit international. La France s’est bien gardée bien sûr de rejoindre cette démarche (11), elle prévoit de moderniser l’arsenal nucléaire, et a repris en juin dernier des essais du missile nucléaire M 51…..

    Jeûne de Taverny, Jeûne de commémoration et d’interpellation de Taverny du 6 au 9 août, jeûne de commémoration des bombardements atomiques des villes japonaises de Hiroshima et de Nagasaki, jeûne institué par Solange FERNEX, et soutenu par Théodore MONOD.

    Le Collectif Arrêt du Nucléaire (ADN) qui regroupe des associations qui œuvrent à l’arrêt des nucléaires civil et militaire (12), organise ses journées d’été, décalées du fait du Covid, les 2,3,4 octobre à St Denis, au siège de la compagnie « Joli Môme », avec un riche programme (à voir en P.J.).


     (1) https://www.rts.ch/info/monde/11374471--le-risque-nucleaire-est-plus-eleve-que-pendant-la-guerre-froide-.html

    (2) Aujourd’hui est venu le temps de dire que les bombardements d’Hiroshima, de Nagasaki et les soixante-cinq millions de victimes de l’industrie nucléaire doivent faire l’objet d’un travail de mémoire, http://hebdo.nouvelobs.com/sommaire/dossier/061664/la-verite-inavouable. Html et http://www.dissident-media.org/infonucleaire/raisons.html  

    (3) "Le Monde comme projet Manhattan", Jean-Marc Royer, Le passager clandestin, 2017. Excellent livre. L’auteur développe les racines du négationnisme nucléaire avec toutes ses horreurs telles que l’évocation des 9.000 cobayes humains, ou la gestion criminelle post Hiroshima et Nagasaki.

    (4) A propos des armes à uranium appauvri :
    http://coordination-antinucleaire-sudest.net/2012/index.php?post/2018/02/02/A-propos-de-l-uranium-dit-appauvri,
    Et aussi https://apag2.wordpress.com/2018/02/02/a-propos-de-luranium-dit-appauvri/

    (5) UNSCEAR : Comité scientifiques des nations unies sur les effets des radiations atomiques. C'est l'instance de l'ONU qui «  dit la science », qui en a le monopole sans contestation possible. créé en 1955, ses membres sont nommés par les états, ils sont choisis évidemment pour porter la parole officielle et neutraliser toute remise en cause (par exemple nier l’effet des contaminations par de faibles doses).

    (6) CIPR : Commission indépendante de protection radiologique dont les membres sont cooptés sans contrôle démocratique., reconnue par l'ONU, organisation privée composée de membres cooptés au service du développement des usages de l'énergie nucléaire. Elle dicte les normes de la radioprotection et emet des recommandations concernant les mesures de sécurité à prendre sur les installations sensibles. Elle fonde ses préconisations sur la base des indications fournies par l’UNSCAER.

    (7) Vivre dans « le jardin nucléaire » avec Ethos, un crime contre l’humanité, Pierre Péguin 2016 https://apag2.wordpress.com/2016/11/21/vivre-dans-le-jardin-nucleaire-avec-ethos-un-crime-contre-lhumanite/, ou http://coordination-antinucleaire-sudest.net/2012/index.php?post/2016/11/07/Vivre-dans-le-jardin-nucleaire-avec-Ethos-un-crime-contre-l-humanite,

    (8) Le CEPN, Centre d’Étude sur l'évaluation de la Protection dans le domaine Nucléaire, représente le lobby nucléaire français il rassemble : EDF, AREVA, CEA, l’IRSN (13) ! Les membres de ces structures sont tous issus du même moule, cooptés ou nommés hors de tout processus démocratique, ils sont interchangeables. Ainsi Jacques Lochard fut directeur du CEPN et vice président de la CIPR.… Et c'est le CEPN qui a obtenu de l'Europe un financement pour développer les programmes Ethos et Core en Bielorussie sous la direction de Gille Dubreuil destinés à convaincre les populations de vivre en zones contaminées par Tchernobyl, avec tous les risques que cela comporte, programmes appliqués maintenant à Fukushima. C'est criminel.

    (9)CERI Recommandations 2003 du Comité Europeen sur le risque de l’Irradiation, traduit par Françoise Dupont et Paul Lannoye, disponible en librairie, ed Frison-Roche, 2004.

    (10) Bombe H ou bombe à fusion, étudiée à Mégajoule. La fusion est tentée d’être appliquée à la production d’énergie dans le projet international pharaonique Iter, fiasco en puissance en construction à Cadarache.

    (11) Dissuasion nucléaire : la France bille en têtes, Source : Libération   (8/2/2018)
    http://www.liberation.fr/france/2018/02/07/dissuasion-nucleaire-la-france-bille-en-tetes_1628220

    (12) L’Arrêt immédiat du nucléaire est techniquement possible à l'échelle européenne par Élisabeth Brenière et François Vallet. Arrêt du Nucléaire (ADN) http://collectif-adn.fr/2019/Arret_immediat_Europe.pdf,

    (13) IRSN: L'Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire est l’expert public en matière de recherche et d’expertise sur les risques nucléaires et radiologiques. Ne comptons pas sur ce comité pour reélement nous protéger même si des associations y participent, voire s'y compromettent (l’ACRO, France Nature Environnement, Ligue nationale contre le cancer).



    Message conçu et envoyé depuis mon PC équipé de logiciels "libres", et alimenté en énergie renouvelable, ayant quitté EDF pour ne pas contribuer au financement du nucléair

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  • Israël et l’apartheid

    Comment la communauté internationale peut-elle accepter de tels agissements et vivre en paix ?

    Boycotter ouvertement les produits Israéliens, volés à la Palestine peut vous attirer les pires maux, voir vous faire passer pour des terroristes !

    Gaulois.   

     

    Face à l’annexion par Israel de territoires palestiniens et à l’apartheid, que faire ?

    Pierre Peguin 30 juin 2020

    Denoncer la complaisance des politiques vis à vis d’Israel.

    - Lorsque la Russie annexe la Crimée russophobe de longue date, des sanctions économiques sont mises en place, Alors que l’ONU a déjà amputé la Palestine des 3/4 de son territoire pour la création de l’État d’Israël, celui-ci y annexe dans le peu qui reste, les colonies qu’il y a illégalement installées, ainsi que la vallèe du Jourdain, et ce sans réactions de nos gouvernants.

    - Pour décourager l’Iran de développer l’arme atomique, on le sanctionne, alors qu’Israël a pu le faire discrètement et sans entraves, avec l’aide même de la France.

    On voit bien ce qu’il en est des grands principes internationaux, et nos présidents ont toujours accueilli chaleureusement les responsables israéliens. A nous de manifester notre opposition au soutien systématique de l’État aux graves exactions commises par l’État d’Israël, cela a été le cas des manifestations à Paris et ailleurs ce samedi 27.

    Et la méthode non violente du boycott déjà expérimentée envers l’apartheid sud-africain, pourrait être d’une efficacité redoutable du fait de son internationalisation.
    Voici un extrait de ce qu’a exprimé le 20juin à ce sujet l’Union Juive Française pour la Paix (UJFP)
    « ...le pouvoir français a essayé de criminaliser l’arme essentielle du mouvement de solidarité : le BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanctions) dont les revendications (liberté, égalité, justice) exigent que l’occupant israélien se conforme au droit international…... Et l’Union Européenne a régulièrement fait preuve de complicité avec l’apartheid, laissant le rouleau compresseur colonial se déployer, multipliant les échanges économiques et militaires avec lui.

    Mais La Cour Européenne des Droits de l’Homme vient de condamner, comme contraire à son article 10, la tentative du gouvernement français de criminaliser le boycott.(….) Nous appelons au BDS, non pas bien que juifs, mais parce que juifs, parce que la destruction programmée de la société palestinienne est aussi une injure à nos mémoires, à nos histoires, à nos valeurs faites d’égalité et de solidarité. L’UJFP appelle à amplifier le BDS.

    Ce boycott s’applique non seulement aux produits agricoles ou objets venus d’Israel et des colonies, mais aussi aux activités culturelles, sportives, scientifiques, dont le but essentiel est de donner une fausse image apaisante de la société israelienne en fait très raciste. Sont également visées les multinationales qui investissent en Israel et fournissent du materiel au pays.

    Quelques marques ou produits principaux (code barre 729) à boycotter,

    MEHADRIN, Entreprise coloniale la plus importante de production et d’exportation de fruits et légumes. Elle distribue agrumes, pomelos, oranges et mandarines sous la marque « Jaffa », les avocats sous la marque TOP, les grenades et dattes medjoul « Read sea ». Elle détient 50% de Shoham qui cultive et exporte les mangues du plateau du Golan occupé.
    En France plusieurs grandes enseignes commercent avec Mehadrin, tout particulièrement LIDL.

    HEWLETT PACKARD , HP gère la maintenance du système BASEL de contrôle biométrique des Palestiniens aux checkpoints illégaux, HP est l’opérateur du répertoire et fournit les cartes d’identité biométriques israéliennes qui font fonctionner l’apartheid en classant selon l’identité ethnique et la religion, HP fournit l’infrastructure informatique de la marine israélienne qui participe au blocus de Gaza, HP fournit ses services au système pénitentiaire qui viole les Conventions de Genève,

    Sodastream produit des machines à gazéïfier l’eau et des arômes sucrés.

    Les dattes « israéliennes » La plupart des dattes vendues par Israël sont cultivées dans les colonies illégales de Cisjordanie occupée de la vallée du Jourdain.

    Les lingettes, Carrefour, LIDL, Casino, Auchan, Leclerc, 8 à 8 et d’autres enseignes vendent des lingettes pour bébé, démaquillantes et pour ménage, conditionnées à partir de matériaux importés d’Israel. Soyez attentif-ve-s : elles n’ont pas le code barre 729 mais les paquets mentionnent en tout petit : fabriqué en Israël.

    KETER le premier fabricant et fournisseur mondial d’articles ménagers en plastique. Keter est détenteur d’Allibert, Hovac et Curver.

    PUMA a repris le sponsoring de la Fédération israélienne de football, abandonné en 2018 par ADIDAS.

    AHAVA distribué par Séphora exploite les vertus supposées des boues de la Mer Morte sous la forme de crèmes et d’autres produits cosmétiques.

     

    On trouvera ci-dessous un article concernant les palestiniens de la vallée du Jourdain, une tribune, la position française, et des mesures à prendre.

    « Quel sera le statut des Palestiniens qui vivent là ? » : dans la vallée du Jourdain, la peur de l’annexion par Israël

    Par Clothilde Mraffko

    Publié le 23 juin 2020

    Factuel - Le gouvernement israélien a annoncé vouloir enclencher l’annexion d’une partie de la Cisjordanie occupée dès le 1er juillet. Les Palestiniens épient les petits changements pour deviner quel sera leur sort.

    Al-Maleh est à l’image de la plupart des hameaux bédouins palestiniens du nord de la vallée du Jourdain : quelques baraques de tôle, coincées entre la route et les collines arides où vont paître les troupeaux, pas d’accès à l’eau et une vie chiche. Sur la crête de la colline, en face, une base militaire israélienne domine la zone, des bâtiments blancs entourés de lignes électriques. « Les travaux ont commencé il y a un an et demi. Ils ont tout rénové, du sol au plafond », explique Ibrahim Najada, un berger à la peau acajou, depuis le seuil de sa maison. Il se murmure qu’en cas d’annexion par Israël, c’est là que sera établie l’administration civile israélienne de la zone.

    « Avant, j’allais de l’autre côté, avec mes bêtes, désormais, c’est impossible », poursuit le Bédouin, pointant la clôture de barbelés qui a été érigée sur la crête. Sur la colline, au bout de la route, il y a une colonie ; une autre est sortie de terre, derrière la communauté, il y a un an et demi, selon lui. Une ribambelle de petites implantations, illégales aux yeux du droit international, dessine une ligne qui quadrille les hauteurs tout autour de la localité. Dans cette partie de la vallée du Jourdain, c’est chacun chez soi, colons et Palestiniens ne se mélangent pas. « On étouffe déjà, mais si l’annexion se réalise, alors je serai totalement étranglé », glisse Ibrahim Najada, les yeux dans le vague.

    Les habitants d’Al-Maleh sont persuadés que l’annexion commencera ici, dans ce petit vallon aux terres fertiles au bout de la Cisjordanie occupée, à une vingtaine de kilomètres de la frontière avec Israël. Parmi les premières mesures annoncées par le nouveau gouvernement de Benyamin Nétanyahou, en mai, le premier ministre a promis l’annexion d’une partie de la Cisjordanie dès le 1er juillet. Depuis, ni carte ni annonce concrète, « on ne sait rien », soupire Amit Gilutz, porte-parole de l’ONG israélienne anti-occupation B’Tselem.

    « Quel sera le statut des Palestiniens ? »

    La vallée du Jourdain figure parmi les régions convoitées par l’Etat hébreu, qui la considère comme stratégique car elle dessine la frontière avec la Jordanie. Grenier de la Cisjordanie, et zone au plus gros potentiel de développement, elle a vu pousser les colonies agricoles israéliennes, gourmandes en terres. « Quelle zone va être annexée ? Quel sera le statut des Palestiniens qui vivent là ? », s’interroge Amit Gilutz, dont l’ONG dénombre 65 000 Palestiniens – et 11 000 colons israéliens – dans cette vallée qui compose 30 % de la Cisjordanie.

    Le chef du gouvernement israélien a laissé entendre qu’il n’était pas question de leur donner la nationalité. Son adjoint, qui devrait reprendre le poste dans un an et demi, Benny Gantz, a fait savoir qu’il s’opposerait à l’annexion de zones où vivent des Palestiniens, si des droits égaux à ceux des Israéliens ne leur sont pas offerts. Les Palestiniens en sont réduits à épier les petits changements dans l’espoir de deviner quel sera leur sort.

    Depuis Al-Maleh, Ibrahim Najada croit sentir une certaine « agitation » côté israélien. « Avant, les contrôles au checkpoint, un peu plus haut, c’était une fois tous les dix jours. Maintenant, c’est deux fois par jour », remarque ce père de cinq enfants, tirant calmement sur sa cigarette. Dix kilomètres et quatre colonies israéliennes plus loin, Moatassam, 16 ans, raconte que « depuis tout petit », son village, Bardala, était annoncé avec un panneau rouge, indiquant aux voyageurs qu’ils entraient en zone palestinienne et que l’accès était interdit aux Israéliens. Mi-mai, au « lendemain de l’annonce de l’annexion, l’armée israélienne a enlevé le panneau », affirme l’adolescent aux joues rebondies, qui refuse de donner son vrai prénom. Plus rien désormais n’indique que l’endroit est palestinien.

    « Une domination coloniale de la Méditerranée au Jourdain »

    Difficile pourtant de démêler ce qui annonce l’annexion ou ce qui résulte de l’occupation, banale réalité pour les Palestiniens de Cisjordanie depuis cinquante-trois ans. « L’annexion est un moyen, non pas une fin en soi, afin qu’Israël établisse une domination coloniale de la Méditerranée au Jourdain », juge Lubnah Shomali, directrice de l’ONG palestinienne Badil. « Israël utilise déjà toute la région pour assouvir ses propres besoins, transférant les moyens de subsistance des populations indigènes aux mains des colons israéliens », abonde Amit Gilutz, dénonçant une politique qui vise à « rendre la vie des Palestiniens insupportable et les pousser à partir » des régions en zone C, sous contrôle sécuritaire et administratif israélien.

    « Ma crainte c’est qu’ils nous forcent à partir en fermant peu à peu le robinet d’eau », Ibrahim Fuqah, président de l’association des agriculteurs palestiniens

    Davantage de colons, d’accaparement des ressources, de déplacés : en cas d’annexion, « ce sera pire », assure Ibrahim Fuqah. Depuis sa terrasse sur les hauteurs de Bardala, qui domine la vallée, le président de l’association des agriculteurs palestiniens s’enorgueillit de ces champs fertiles où l’on fait « quatre récoltes par an ». Mais, déplore-t-il, « on n’a pas le droit de bâtir, alors que les colonies ne cessent de construire ».

    « On va avoir “la carte d’identité bleue”, comme les Arabes israéliens, les descendants des Palestiniens restés sur leurs terres lors de la création de l’Etat hébreu ? », coupe, dans un rire, le patriarche de 70 ans. « Et on deviendra les Arabes de 2020 ? », plaisante-t-il, dans une référence aux « Arabes de 1948 », le nom donné aux Palestiniens incorporés à l’Etat israélien à cette date. « On n’en veut pas, et on est contre l’annexion bien sûr », martèle ce père de treize enfants. « Ma crainte c’est qu’ils nous forcent à partir en fermant peu à peu le robinet d’eau, poursuit-il. Les gens sont aux aguets ; ils ont peur. »

    Communauté internationale passive

    Le chef-lieu du nord de la vallée du Jourdain, Tubas, voit régulièrement arriver quelques familles lassées des conditions de vie dans les communautés coincées entre zones d’entraînement militaire et colonies israéliennes, note le vice-gouverneur, Ahmed Asaad. Depuis son bureau sur les hauteurs de la ville, sous deux portraits jaunis de Yasser Arafat et de l’actuel président palestinien, Mahmoud Abbas, le notable explique qu’il pourrait perdre 70 % du territoire qu’il administre en cas d’annexion.

    L’annonce par l’Autorité palestinienne qu’elle mettait fin à toute coopération avec Israël en représailles des menaces d’annexion n’a pas apaisé ses craintes, ni celles des habitants de la vallée du Jourdain. Lundi 22 juin au soir, ils étaient des milliers à manifester contre l’annexion dans la ville de Jéricho, à l’appel du parti Fatah du président Mahmoud Abbas, en la présence de l’émissaire de l’ONU pour le Proche-Orient, Nickolay Mladenov. Ahmed Asaad, lui, alerte, tempête contre la communauté internationale, qu’il juge trop passive, et surtout sillonne la vallée, histoire d’être là, malgré tout. « Pour nous, cette région, c’est comme Jérusalem, affirme-t-il, on ne cédera pas dessus. »

    Clothilde Mraffko Vallée du Jourdain, envoyée spéciale

     

    tribune des ONG et des associations qui demandent à la France et à l'UE de prendre des mesures restrictives face à cette violation du droit international que constitue l’annexion en cours. https://www.liberation.fr/auteur/20403-un-collectif-d-associations,

    « A partir du 1er juillet, le gouvernement israélien veut procéder à l’annexion d’une nouvelle partie de la Cisjordanie. Une décision unilatérale illégale au regard du droit international, face à laquelle la France et l’Union européenne doivent agir. Nous, ONG de défense des droits de l’homme, de solidarité internationale et organisations syndicales, exigeons de la part de nos représentants un courage politique et des mesures restrictives à la hauteur de la gravité de cette menace.

    Argument de campagne de Benyamin Nétanyahou depuis plusieurs années, l’annexion formelle et unilatérale d’une grande partie de la Cisjordanie occupée semble à présent imminente. Cette violation flagrante du droit international sonne le glas de la solution à deux Etats et enterre le droit à l’autodétermination du peuple palestinien, sous les yeux passifs de la communauté internationale. En plus d’aggraver la situation des droits humains de centaines de milliers de personnes, l’annexion israélienne représente un dangereux précédent pour les relations internationales, et ce dans le voisinage européen direct.

    La France, l’UE, et d’autres pays membres se sont pour le moment contentés d’avertissements auprès des autorités israéliennes, mais sans résultats. Le Premier ministre israélien, secondé par son nouvel allié Benny Gantz et conforté par le «Plan Trump», est déterminé à assumer jusqu’au bout son projet du «Grand Israël». En 2018 déjà, la «loi sur l’Etat-nation juif» avait institutionnalisé le statut discriminatoire des Palestiniens et considéré «le développement de colonies juives comme une valeur nationale», avec la volonté d’agir «pour encourager et promouvoir leur création et leur renforcement», préparant ainsi l’annexion.

    La colonisation s’accélère

    Si l’annexion de facto est déjà en cours depuis de nombreuses années par l’accaparement continu de terres palestiniennes, les transferts forcés, le renforcement du maillage des colonies et l’incorporation progressive du droit israélien aux territoires occupés, l’annexion de jure va considérablement accentuer ces violations des droits humains. La colonisation s’accélère déjà sur le terrain et l’annexion formelle ne ferait que renforcer cela. L’exemple de Jérusalem-Est annexée par une loi en 1980 est évocateur : en l’espace de vingt ans, la population de colons israéliens a doublé.

    Près de 150 villages palestiniens rassemblant 140 000 habitants pourraient être inclus dans les zones annexées, les rendant encore plus vulnérables aux transferts forcés, à l’expropriation et l’accaparement des terres agricoles. Cette politique a débuté il y a plusieurs années déjà, par la mise en place d’un environnement coercitif où les démolitions, les refus d’accès aux services de base et la violence des colons sont légion.

    Enfin, l’accès aux zones annexées sera encore plus restreint par de nouveaux checkpoints et nouvelles routes de contournement, limitant davantage la liberté de circulation des Palestiniens. Les ONG sur le terrain s’inquiètent également du renforcement des affrontements et violences que l’annexion définitive pourrait provoquer entre l’armée israélienne, les colons et les Palestiniens.

    La solution des deux Etats

    Alors que la France et l’UE soutiennent la solution à deux Etats, palestinien et israélien, vivant côte à côte et dans des frontières sûres et reconnues, l’annexion – aussi bien de facto que formelle à venir – est un obstacle funeste à cette solution. La France et l’UE ont des obligations légales internationales claires pour faire cesser ce fait illégal et la responsabilité de préserver, conformément à leur politique actuelle, la solution des deux Etats. Il en va aussi de leur crédibilité sur le plan international.

    La France, fidèle à son attachement aux droits de l’homme et leader au sein de l’UE, dispose de plusieurs leviers pour édicter des mesures restrictives proportionnelles à la gravité de l’annexion et qui auraient le poids nécessaire pour la stopper. Elle doit également pousser à ce que le gouvernement israélien soit sanctionné de manière collective si l’annexion formelle a lieu, à l’image des sanctions prises contre la Russie après l’annexion de la Crimée.

    A défaut de consensus européen, nous attendons de la France un courage politique à la hauteur pour édicter des mesures sur le plan national et bilatéral. Le moment est venu de reconnaître l’Etat de Palestine, selon les paramètres définis par les accords d’Oslo mis en avant par la France et l’Europe.

    Il est temps, également, de se mettre en conformité avec l’obligation de ne pas contribuer au développement des colonies israéliennes, et donc d’exclure du marché français les produits issus des colonies, exclure les colonies du champ d’application des traités bilatéraux et dissuader activement les entreprises d’avoir des relations commerciales et d’investissement avec les colonies. Les enjeux sont trop importants pour adopter une approche prudente et attentiste. Nos responsables politiques ont l’obligation d’agir, et ils doivent le faire maintenant. »

    Signataires : l’association des Universitaires pour le respect du droit international en Palestine (AURDIP), l’association France Palestine Solidarité (AFPS), l’association Pour Jérusalem, l’association pour le Jumelage entre les camps de réfugiés palestiniens et les villes françaises (AJPF), Avaaz, CCFD-Terre Solidaire, CFDT-Confédération française démocratique du travail, CGT-Confédération générale du travail, collectif Judéo arabe et citoyen pour la Palestine, comité de vigilance pour une Paix réelle au Proche-Orient (CVPR-PO), Crid-Centre de recherche et d’information pour le développement, Enfance Réseau Monde/Services (ERM-S), fédération des Tunisiens pour une citoyenneté des deux rives (FTCR), FIDH-Fédération internationale pour les droits humains, dont ses membres Al Haq, Al Mezan Centre for Human Rights, Cairo Institute dor Human Rights Studies, Palestinian Centre for Human Rights, FSU-Fédération Syndicale Unitaire, Générations solidaires, groupe d’amitié islamo chrétienne (GAIC), la Cimade, la Ligue de l’enseignement, la Ligue des droits de l’Homme, Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (MRAP), Mouvement de la paix, Mouvement international de la réconciliation-France, Mouvement pour une alternative non-violente (MAN), One Justice, Pax Christi France, Plateforme des ONG françaises pour la Palestine, Première urgence internationale, REF-Réseau Euromed France, Association démocratique des Tunisiens en France (ADTF), ritimo, Solidarité laïque, Union des Tunisiens pour l’action citoyenne (Utac), l’Union juive française pour la paix (UJFP); l’Union syndicale Solidaires, Zembra Echo.

    La position de la France

    Les médias se sont fait l’écho vendredi des déclarations de Jean-Yves Le Drian, ministre français des Affaires étrangères. On y apprécie non seulement la timidité et la place du conditionnel dans ce discours, mais aussi la manière dont la France continue à se cacher derrière l’UE pour justifier son inaction.

    «Dans l’hypothèse où nos efforts [pour dissuader Israël] n’aboutiraient pas, nous nous préparons à réagir. Une décision d’une telle gravité ne peut rester sans réponse», a-t-il déclaré lors d’un débat le 24 juin soir au Sénat sur la perspective d’annexion.

    «Si les Israéliens décidaient d’aller de l’avant dans le processus d’annexion, nous serions contraints d’y opposer des mesures affectant les relations de l’Union européenne et de ses Etats membres avec Israël», a averti le chef de la diplomatie française.

    L’UE pourrait rééxaminer la «participation d’Israël à différents programmes de coopération» et «renforcer le contrôle de l’origine des produits importés», a noté le chef de la diplomatie française. (Un aveu qu’il n’y a aucun contrôle actuellement de la part du gouvernement français sur les produits des colonies illégales qui entrent en France)

    « Il a concédé que la réticence de certains Etats membres (Pologne, Hongrie..) à sanctionner Israël compliquait toute prise de décision de l’UE mais estimé que celle-ci ne manquait pas pour autant de marges de manœuvre. », rapporte l’AFP !

    «Une série de mesures peuvent être prises à titre national» et de manière «coordonnée», notamment entre la France, l’Allemagne, l’Italie et l’Espagne, a-t-il ajouté. La reconnaissance de l’Etat palestinien, régulièrement demandée par une partie de la classe politique française, reste une option sur la table, a par ailleurs relevé le ministre. (sous Hollande, le parlement a déjà voté cette reconnaissance.)

    Et voici des exemples de mesures que la France a les moyens de prendre immédiatement d’après CAPJPO-EuroPalestin.

    • ne plus autoriser les Français à servir dans l’armée d’occupation israélienne

    • appliquer à l’entrée en France des ressortissants israéliens les mêmes mesures qu’Israel applique aux ressortissants français qui veulent se rendre en Palestine

    • ne plus faire bénéficier de déductions fiscales les assocations israéliennes qui collectent des dons en France pour l’expropriation des Palestiniens et de leurs terres

    • ne plus dérouler le tapis rouge aux criminels de guerre israéliens quand ils viennent en France

    • Refuser que l’équipe cycliste israélienne participe au prochain tour de France cycliste fin août

    • appliquer la Convention internationale contre la torture signée par la France et engager des poursuites contre les responsables israéliens qui pratiquent ou font pratiquer la torture sur des femmes, des hommes et des enfants palestiniens…

     

     

     

     

     

     

     


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  • LES CHEMINS DE LA REVOLTE 

    Présentation de mon autobiographie. 

     


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  • RESISTONS :

    A lire jusqu'au bout 

     

     

     


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  • Nostalgie d'un soir d'été

     

    Ce que j'ai écris durant mes nuits blanches, dans les mois qui ont suivi la disparition de notre enfant :  


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  • Mensonge et omerta accompagnent depuis ses débuts la saga atomique 

    Quand un physicien s'exprime sur l'histoire funeste de la technologie nucléaire. Pierre Péguin nous explique avec une justesse sans faille l'acharnement et la folie des nucléocrates.

     Gaulois.

    Et si le nucleaire était encore beaucoup plus mortifère qu’on ne l’imagine, Est-ce pour cela que le mensonge et l’omerta accompagnent depuis ses débuts la saga atomique ?

    Savons-nous combien de victimes sont dues aux technologies atomiques qu’elles soient civiles ou militaires, depuis le début de leur développement ?

    Pierre Péguin, automne 2019.

    Qu’est-ce qui nous pousse à un décompte morbide des victimes du nucléaire ?

    C’est d’abord d’observer une véritable épidémie de cancers, leucémies et autres pathologies depuis les années 70 qui touche tous les âges, et qui paraît même s’aggraver. Demandons-nous pourquoi pour expliquer ce qui se passe. A notre avis il s’agit essentiellement de la dégradation de notre environnement par deux principaux responsables : la chimie (agriculture, nourriture, dans la maison, etc.), et la radioactivité dont on ne le sait pas assez qu’elle touche insidieusement tout le vivant.

    C’est aussi l’alarme lancée par certains médias (bien peu nombreux!) en 2003, alarme restée confidentielle. Ainsi le journal belge Le Soir du 12 février 2003 titre: « Morbide bilan nucléaire : soixante millions de morts depuis 1945 ». L’auteur de l’article Christophe Schoune ajoute : « C'est une solide dose de poil à gratter que quarante-six scientifiques viennent de glisser dans la boîte aux lettres de diverses institutions internationales, dont la Commission européenne. Le premier rapport du Comité européen sur les risques de l’irradiations CERI (1) remet en cause les normes et méthodes d'évaluation qui ont prévalu jusqu'à présent en matière de radioprotection. Sollicitée et financée par le groupe Verts européens, il y a cinq ans, l'élaboration de cette étude a été coordonnée par le chimiste anglais Chris Busby et a rassemblé une palette d'experts indépendants du monde entier».

    Notons qu’Alice Stewart bien connue pour ses études sur l’effet des faibles doses de radioactivité, première présidente du CERI, a été très impliquée dans ce travail.

    La création du CERI reposait sur le fait « qu’il existait suffisamment de preuves démontrant qu’une exposition de faible dose due à des radio-éléments artificiels provoquait des problèmes de santé, et que les modèles conventionnels de la Commission Internationale de Protection contre les Radiations (CIPR) n’ont aucunement prévu ces effets. »

    C’est pourquoi, en 2001, des membres du Parlement Européen ont décidé de soutenir la rédaction du rapport « Etude des effets sanitaires de l’exposition aux faibles doses de radiation ionisante à des fins de radioprotection », rapport CERI publié en 2003 (1).

    Comment les organismes internationaux ont-ils procédé jusque là? Et en quoi il fallait remettre en cause les bases officielles de la radioprotection.

    L’UNSCEAR (2) structure chargée de dire la connaissance scientifique officielle du lobby international, et ce, sans contestation possible (!), reprend les résultats recueillis par les américains dans le suivi sanitaire des irradiés d’Hiroshima et Nagasaki qui ont survécu aux explosions. Les troupes d’occupation avaient pour mission de bloquer toute intervention d’expert indépendant, de façon à contrôler strictement la collecte et la diffusion édulcorée des résultats. Il fallait à tout prix éviter une accusation de crime contre l’humanité et prétendre que ces bombardements étaient indispensables pour mettre un terme à la guerre. En fait d’après des analyses historiques (3), la reddition du Japon a été repoussée pour laisser le temps d’effecteur les bombardements criminels, et montrer ainsi à l’URSS la supériorité des US, c’était le début de la guerre froide.

    Cela a permis à la CIPR (4) de préconiser des normes laxistes de protection basées sur le suivi de l’agonie de survivants positionnés à différentes distances du cœur de l’explosion. Outre le fait que le secret ait entouré ces observations, et que de plus les structures internationales de sureté nucléaire soient verrouillées sans contrôle démocratique, les experts du CERI ont critiqué la démarche scientifique pour les raisons suivantes.

    - Les survivants ont dû être parmi les plus résistants des habitants de ces villes, les plus fragiles (jeunes, femmes enceintes, etc.) étant déjà tués beaucoup plus facilement. La « cohorte » suivie n’est donc pas représentative d’une population moyenne. ,

    - Il s’est agi au Japon d’irradiation violente (rayonnement gamma pour l’essentiel), alors que le fonctionnement actuel des réacteurs engendre des quantités importantes de radioéléments dont la contamination à petite dose est d’autant plus dangereuse qu’ils peuvent se comporter chimiquement comme des élèments nécessaires à la vie et prendre leur place dans nos organismes ( Césium 139, strontium 90, iode 131, etc. ). Il n’est donc pas possible de donner du crédit à l’extrapolation vers les faibles doses de la relation linéaire liant le nombre de victimes à la dose reçue. L’existence d’un seuil en-dessous duquel l’irradiation serait inoffensive n’est pas crédible non plus, on trouve encore des textes annonçant qu’au dessous de 100msv il n’y a pas d’effets prouvés !

    - La comparaison avec la radioactivité naturelle n’a pas de sens, la radioactivité artificielle est composée d’éléments qui n’existent pas à l’état naturel, éléments qui entrent dans le cycle de la vie et contaminent les organismes vivants.

    - Les calculs officiels de prennent pas en compte les graves conséquences de la contamination interne (5). Ils ne tiennent pas compte des autres pathologies provoquées par la radioactivité, ni des effets génétiques transmissibles, ni encore des fausse-couches ou des bébés mort-nés. Ils ont pu ainsi faire l’impasse sur les effets à long terme des contaminations par de faibles doses, et sur les conséquences de transmission génétique d’altérations. Et c’était avant la découverte de l'ADN.

    - Les fortes doses tuent, les faibles doses agissent à plus long terme, elles abîment les cellules, créent des radicaux libres et provoquent des mutations.

    Le modèle CIPR fait comme si l’irradiation est répartie uniformement sur le corps, pas de distinction entre irradiation répartie et concentration localisée sur certains organes.

    Quelle est la démarche du CERI ?

    En comparaison, la démarche du CERI est justifiée par l’observation de ce qui se passe réellement. Il existe de nombreuses données d’études épidémiologiques étrangères (en France on se garde bien d’en faire bien sûr) montrant une augmentation de la morbidité et de la mortalité par cancers, associée à des rejets radioactifs. : taux de cancers et de leucémies dans des populations vivant à proximité de sites nucléaires ; cas des travailleurs du nucléaire ; corrélation entre l'épidémie de cancers du sein et les essais nucléaires en atmosphère ; ou encore les conséquences des catastrophes (par exemple les enfants leucémiques biélorusses après Tchernobyl).

    Et si seuls les cancers et leucémies sont pris en compte par les structures officielles, le CERI a analysé les différentes pathologies supportées par les victimes. Les atteintes générales à la santé, dont on souffre pendant toute sa vie, sont sans doute plus difficiles à quantifier, mais cette difficulté ne signifie pas que les rayonnements n'ont aucun effet sur ces paramètres.

    Ont également été pris en compte les données sur l'augmentation des taux de mortalité infantile et d’enfants morts-nés , suite aux retombées globales des essais nucléaires en atmosphère ou aux contaminations des régions touchées par les catastrophes. Là où les données précises manquaient, il a fallu extrapoler à partir d'autres indicateurs. L'évaluation des risques liés à une exposition aux radiations, telle qu'adoptée aujourd'hui par les experts en radioprotection et qui sert de base à la législation européenne en vigueur, est donc grossièrement insuffisante et scientifiquement obsolète.

    en savoir plus sur la démarche du CERI,

    Le CERI ne se contente pas d'analyser les insuffisances du modèle adopté par les experts officiels pour rendre compte des effets de la radioactivité sur l'homme, il en propose une approche nouvelle. Il se base sur toutes les données épidémiologiques disponibles et introduit pour le calcul des doses reçues des facteurs de pondération biologiques et biophysiques qui rendent compte des effets au niveau cellulaire pour tous les types d'irradiation et notamment par contamination interne.

    Ainsi, les effets d'une contamination par des particules radioactives microscopiques (notamment de plutonium ou d'uranium appauvri) se révèlent 100 à 1 000 fois plus graves que prévu par les instances officielles. De même, l'exposition à certains radio-isotopes artificiels comme le cesium 139, ou encore le strontium 90 l’iode 131, rejetés par l'industrie nucléaire, est largement plus dommageable qu'envisagé à ce jour. Les scientifiques du CERI recommandent en conclusion des valeurs-limites plus sévères pour les doses reçues par le public et les travailleurs du nucléaire et, en conséquence, une réévaluation des exigences légales à l'égard de l'industrie nucléaire.

     

    Quels sont les résultats de cette étude aux conclusions surprenantes ? L'impact total sur la santé humaine jusqu’en 2000 est calculée et comparée avec les données officielles 60 fois plus faibles !

    - Total des morts par cancers : 61 619 512, (CIPR  : 1 173 606),
    - Total des cancers : 123 239 024 ,(CIPR : 2 350 000),
    - Mortalité infantile : 1 600 000, (non prise en compte par la CIPR),
    - Mort foetale : 1 880 000, (non prise en compte par la CIPR),
    - Perte de la qualité de vie : 10%, (non prise en compte par la CIPR).

    Conséquence « logique » pour ces experts : il importe de réduire la dose maximale de rayonnement admissible à 0,1 millisievert (contre 1 mSv actuellement) pour chaque être humain. « Cela fait quinze ans que je collecte et j'analyse l'impact des radiations à faible dose », commente le biologiste russe Alexey Yablokov, coauteur de l'étude. « Ces données m'ont convaincu que les standards internationaux ont jusqu'à présent reflété davantage les intérêts de l'industrie nucléaire que le souci réel de la santé humaine ».

    A chaque problème, à chaque accident ou catastrophe, tout est fait pour que ne soit pas remis en cause le nucléaire, et ce, au mépris de la vie et de la santé des populations (6). Cette maitrise criminelle de l’information a pu être appelée « Comédie Atomique » (7) ou encore « négationnisme » (3) bien que ce terme soit connoté.

    Réaction de l’IRSN Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire(8)

    Deux ans plus tard l’IRSN a publié un contre rapport. Il conteste le mode de calcul retenu par le CERI, souligne des "incohérences" dans son raisonnement et prétend qu’il n'y a pas lieu de remettre en cause le système actuel de radioprotection. Mais il reconnaît en même temps que "certains composants de ce système pourraient probablement être améliorés en s'intéressant de façon plus explicite et systématique aux incertitudes liées à la détermination de la dose après contamination interne." Celle-ci désigne les radionucléides inhalés ou ingérés.

    Cet aveu est un événement, tant les positions paraissaient intangibles. Jacques Repussard, directeur général de l'IRSN jusqu’en 2016, a reconnu que «l'impact des contaminations internes aux faibles doses mérite des investigations", et appelé à des études complémentaires (bonne façon d’enterrer le problème comme d’habitude, car d’après Chris Busby coordinateur du CERI les données recueillies depuis Tchernobyl sont déjà suffisamment claires pour invalider le modèle du lobby et pour fonder la radioprotection sur la biologie plutôt que sur la physique…).

    Les malheurs subis par les populations de Biélorussie ne sont pas reconnus par l’IRSN pour qui les pathologies cardio-vasculaires et les troubles du comportement constatés chez les enfants de Biélorussie, les baisses de fertilité qui touchent les adultes pourraient être dues à la peur du nucléaire, la nucléophobie, au tabac et à l'alcool. « Il faut tirer ça au clair sans préjuger du résultat », indique Jacques Repussard. En distillant le doute sur l’origine des problèmes, technique habituelle (10), les nucléocrates en viennent même à refuser les cures de pectines pouvant alléger les souffrances des enfants. Choix criminel (6) pour sauver le nucléaire.

     

    Cancer et leucémies sont des maladies dont la multiplication est liée à l'ère atomique. Mais la radioactivité engendre bien d’autres pathologies.

    Les essais nucléaires entrainent des retombées radioactives et la dispersion de radioéléments sur l'ensemble de la planète, et s'ils ont été terriblement préjudiciables à la santé dans les zones d'essai, tout notre environnement est plus ou moins contaminé, l’ADN de tout le vivant est touché. Quant à la production d’électricité nucléaire elle fabrique énormément de ces radioéléments artificiels, en relâche en permanence par ses rejets autorisés (iode, tritium, etc.) et surtout par ses accidents et catastrophes.

    D’après Michel fernex (11), « il existe une augmentation statistiquement démontrée du nombre de  leucémies aigües chez les enfants de moins de 5 ans dans un rayon de 5 km autour des centrales nucléaires en fonctionnement normal. Celles-ci sont autorisées à rejeter dans l’air et dans l’eau des particules radioactives qui contaminent durablement la région. Ces autorisations sont éthiquement inacceptables ». C’est d’ailleurs dès 1958, qu’Alice Stewart présentait le fait que de très faibles doses de rayonnements ionisants sont cancérigènes pour le fœtus pendant la grossesse.

    Les normes « admissibles » fixées par les institutions sous l’influence des lobbies pro-nucléaires ne protègent pas les travailleurs, ni les populations.

     

    EN GUISE DE CONCLUSION

    Ne nous faisons pas d’illusions, les organismes officiels de protection contre les rayonnements ont en fait pour rôle de protéger l’industrie de l’atome plutôt que la santé des populations (7). On retrouve finalement ce que Royer (3) a appelé le négationnisme nucléaire. Tout est fait pour cacher la gravité des dégâts de cette technologie qu’elle soit civile ou militaire. L’acharnement du lobby à prétendre que les pathologies liées aux contaminations radioactives sont dues pour l’essentiel à la « nucléophobie » est honteuse, l’obligation à faire vivre les populations dans le « jardin nucléaire » en application du programme Ethos-Core (6), allant jusqu’à supprimer les cures de pectines pouvant alléger les souffrances des enfants contaminés, est criminelle. Cela montre ce qui nous attend en cas de catastrophe en France ou en Belgique.

    Un combat auprès des médias est nécessaire pour que soit enfin révélée la véritable nature du nucléaire, une technologie mortifère au service des puissants de ce monde, qu’il faut arrêter de toute urgence. La désinformation,le mensonge sont la règle du nucléaire héritier de la fabrication de la bombe. Caractéristique logique d’une technologie sophistiquée et dangereuse qui ne peut survivre que par des fonds publics colossaux, devant exclure le citoyen de l’information.

    En ont été particulièrement victimes les militaires des essais nucléaires ; les populations voisines d’Algérie, du Pacifique, de Polynésie;les populations des sites de guerre de Bosnie, Kosowo, Irak, Afghanistan ; les européens occidentaux suite à Winsdcale 1957 ; les populations de Biélorussie et d’Ukraine (1986) et du Japon (2011), les populationd voisines des installations nucléaires, et toute la planète du fait des essais nucléaires atmosphériques. Comme les temps de latence sont relativement longs chez les adultes, les effets se sont manifestés avec plus de retard qu’à Tchernobyl où il y a une population enfantine importante qui a été touchée.

    Le système actuel de définition des normes de protection repose sur l’étude de la cohorte des survivants d’Hiroshima-Nagasaki. Il est certain que la tragédie de Tchernobyl a montré, une fois de plus, les limites de ce système. A Hiroshime-Nagasaki les personnes n’ont pas pu subir une contamination interne chronique pour l’excellente raison qu’il n’y a qu’1 kilogramme de matière qui a fissionné. A Tchernobyl on parle en tonnes et de millions de personnes contaminées.

    D'après le CERI le nucléaire est responsable de 61,6 millions de morts par cancers de 1945 à 2000, contre 1,1 million selon les sources officielles, le nombre de cancers est pour sa part évalué à 123,2 millions contre 2,3 et l'étude estime en outre que les radiations ont induit une importante mortalité infantile et foetale (3,4 millions).

    Et aujourd’hui 20 ans plus tard à combien de victimes serions-nous, 70 millions ? La mortalité infantile, indicateur de la pollution radioactive, augmente dans le monde.

    Alors pourquoi s’encombrer d’une telle technologie aussi dangereuse, lourde, coûteuse, alors qu’elle n’assure que 2 % de toute l’énergie consommée dans le monde, ce qui est dérisoire. Qu’est-ce qui pousse l’État et le lobby français à s’entêter dans cette voie contrairement à nos voisins européens ? La « grandeur » de la France est-elle à ce prix, et cette grandeur contribue-t-elle au bien vivre ? Le prétexte climatique n’est-il pas un faux prétexte ? Nous laisserons-nous longtemps manœuvrer par le complexe militaro-techiquo-politique ?

    Il est temps d’exiger l’arrêt du nucléaire en extrème urgence (11).

    On trouvera en annexe des compléments relatifs à Tchernobyl, Fukushima et aux pathologies liées à la radioactivité.

    En Annexe

    Après Tchernobyl

    L’irradiation due à Tchernobyl est plus dangereuse que celle de Hiroshima et Nagasaki, tant parce que la quantité des radionucléides rejetés par la Catastrophe dans la biosphère est des milliers de fois supérieure, qu’à cause de la nature des radionucléides. En effet l’industrie nucléaire génère des éléments qui n’existent pratiquement pas dans la nature et qui sont métabolisés dans le cycle de la vie tels que le césium 137ou encore le strontium 90, prenant la place du potassium et du calcium dans les organismes vivants. Les conséquences génétiques de la catastrophe de Tchernobyl toucheront pendant des siècles des centaines de millions de personnes, parmi lesquelles:

    · celles qui ont subi le premier choc radiologique par les radionucléides de courte période dans le monde entier, en 1986. c’est le cas de l’iode 131 qui provoque de multiples pathologies de la thyroide ;

    · celles qui vivent, et vivront dans les territoires contaminés par les catastrophes ou sur les sites de guerre ayant subi les explosions d’obus à tête d’uranium, pendant des milliers d’années;

    · les enfants et descendants des géniteurs irradiés et ce pendant des générations (même en vivant loin des territoires contaminés).

    Le professeur Youri Bandajevsky a effectué de nombreuses recherches sur les effets de la contamination des enfants des territoires du Bélarus contaminés. Il a établi que les enfants avaient des problèmes cardiaques en fonction de leur teneur en Césium 137,menaçant le pronostic vital, notamment des arythmies, une insuffisance cardiaque (angine) et des crises cardiaques (infarctus) pouvant entraîner la mort. Ces recherches ont d’ailleurs abouti à ce qu’il soit jeté en prison pendant plusieurs années par le gouvernement biélorusse : il n’a été libéré que suite à une pression massive de l’Union européenne et à la délivrance d’un passeport européen.

    Mais l’Institut Belrad, soutenu à bout de bras par ETB (12) continue à fournir aux enfants des cures à base de pectine, et ce malgré l’hositilité du pouvoir Bielorusse encouragé par l’action criminelle du lobby nucléaire français (13) pour qui ces traitements sont inutiles puisque Tchernobyl n’aurait fait que peu de victimes. D’après le programme Ethos/Core (14) il est possible de vivre dans le « jardin nucléaire »…..

    Mais si le lobby concède qu’il y aurait pu y avoir quelques milliers de victimes, la compilation de 5000 documents a permis à l’université de medecine de Ney York (15) d’estimer le nombre de décès attribuables aux retombées de l’accident de Tchernobyl, entre 1986 et 2004 à un million, dans le monde entier.

    Après Fukushima La catastrophe nucléaire de Fukushima Daiichi a été évaluée  au niveau 7 comme tchernobyl, niveau utilisé pour décrire un "rejet majeur de matières radioactives avec des effets considérables sur la santé générale et l'environnement qui nécessite la mise en œuvre de contre-mesures planifiées et étendues".

    Environ 32 millions de personnes au Japon, soit un quart de la population du pays, ont été affectées par la radioactivité émise par l'accident nucléaire de Fukushima, selon un nouveau rapport de Green Cross, montrant une nouvelle fois le risque inconsidéré de l'énergie nucléaire. Le comité ECRR a décidé de publier la présentation de Bandajevsky, lors de la conférence de 2009 à Lesvos, au sujet des populations vivant dans les territoires contaminés de Fukushima (16).

    Il reste que cette catastrophe diffère de celle de Tchernobyl en ce que la fusion des cœurs, constituant le corium, font que la catastrophe perdure sans contrôle possible de leur évolution.

    les pathologies engendrées par la radioactivité outre cancer et leucémies,

    Passons les en revue même si c’est rébarbatif. Elles sont multiples et s’il faut en retenir quelque chose, c’est qu’au delà de l’épidémie de cancers et de leucémies, les contaminations radioactives entraînent de toutes façons une altération du système immunitaire fragilisant la résistances aux agressions sanitaires et un vieillissement prématuré, au point que les enfants de Biélorussie contaminés ont des pathologies de vieux !

    Mais retenir aussi que les altérations subies sont transmissibles aux descendances. Les enfants de « liquidateurs » survivants ou de « vétérans » nés après coup et loin des zones contaminées en subissent les conséquences. Quant aux jeunes filles touchées par Fukushima, elles savent qu’elles auront de mal à se marier.

    Cela commence par un affaiblissement général de l’état de santé lié à la détérioration de l’ADN des cellules, se produisant dès les faibles doses dues à l’exposition aux retombées radioactives des bombes atomiques (2400 ont explosé à titre d’essais!), et à celles des catastrophes nucléaires. Il faut y ajouter les contaminations par les rejets autorisés en fonctionnement « normal » des centrales et des centres nucléaires tels que la Hague, Sellafield, Cadarache. Cet affaiblissement peut conduire non seulement à un vieillissement précoce, mais à diverses maladies : système cardiovasculaire, glandulaire tel que thyroïde ce qui entraîne pathologies et retards mentaux, neurologique, foie, pancréas, reins d’où diabète, stérilité, etc. etc. .

    Ces données ne résument pas tous les problèmes dont souffrent les personnes irradiés. Il reste les maladies liées à l'atteinte du système immunitaire, le “Sida de Tchernobyl”, les maladies autoimmunes, les hypothyroïdies, les diabètes sucrés type I et type II, et d'autres maladies endocriniennes , y compris la stérilité, des maladies digestives, gastrites et ulcères duodénaux, le retard pour la cicatrisation des plaies ou pour la réparation des fractures .

    La majorité de ces maladies touchent davantage les jeunes. Mais aussi pour tous, après un temps de latence de quelques années, on constate des atteintes du système nerveux central, troubles neuro-psychiques, états dépressifs fréquents pouvant conduire au suicide, schizophrénie cinq fois plus fréquente chez les irradiés que dans la population non irradiée. Également difficultés à penser, perte de mémoire, fatigue intense et persistante (syndrome de fatigue chronique), impuissance sexuelle, douleurs neuro-musculaires et articulaires.

    Les mêmes effets ont été reconnus chez les vétérans des guerres où des soldats ont été exposés aux aérosols des explosions d’obus à tête d’uranium (dit uranium appauvri). On peut retrouver ces symptômes chez des militaires qui ont participé aux essais nucléaires.

    Mais pour le lobby c’est simple, « circulez il n’y a rien à voir », cela est dû à la peur du nucléaire, la nucléophobie qui provoque ces dommages. C’est donc simplement psychologique, et si votre gamin est malade c’est parce qu’il est sensible à votre stress, ou si dans les hopitaux d’irak les naissances de monstres affreux se multiplient, c’est encore la faute des parents et non de la pollution par les poussières d’uranium…..

    Pour en savoir plus, consulter (17).

    A propos des faibles doses de contamination, (d’après Michel Fernex (18), à Biederthal, le 15 septembre 2015).  

    Dès 1958, Alice Stewart porte à la connaissance de la communauté scientifique et du public le fait que de très faibles doses de rayonnements ionisants sont cancérigènes pour le fœtus pendant la grossesse. On découvre une augmentation de l’incidence des cancers et notamment des leucémies aiguës des enfants étant nés ou habitant autour des centrales nucléaires.

    Autour de la centrale atomique de Krümmel en Allemagne, l’incidence des leucémies de l'enfant a nettement augmenté 5 ans après la mise en route de la centrale en 1983. Une pétition avec 10000 signatures de citoyens inquiets a demandé une enquête et une étude épidémiologique de grande envergure a été initiée. Les chercheurs ont étudié l’incidence des leucémies autour de 16 centrales atomiques allemandes. Cette étude finalement publiée en 2007 montre que ces centrales, situées dans des environnements très différents, s’accompagnent d’une augmentation statistiquement significative du nombre de leucémies aigües chez le jeune enfant (moins de 5 ans) dans un rayon de 5 km autour des centrales.

    Les sites de retraitement des déchets nucléaires sont source d'une augmentation des leucémies aigües et d'autres cancers dans un bien plus vaste territoire qu'autour des centrales atomiques. C’est le cas du site de Sellafield en Grande Bretagne. L’augmentation des leucémies aigües autour du site de retraitement de La Hague en France a été démontrée par le professeur Jean-François Viel, qui a été sanctionné pour cette révélation.

    Qu’en est-il de la descendance d’adultes ayant été irradiés. D’après les études du Pr Goncharova (19)sur des rongeurs et des poissons, il n’y a pas d’adaptation génétique à l’effet mutagène des rayonnements: la fréquence des mutations continue à croître dans les générations successives au delà de la 10ème génération.

    Michel Fernex a fait état d’observations sur un insecte , le « papillon bleu », dont les malformations présentes sur la 1ere génération irradiée, augmentent sur les générations suivantes au point qu’à la 10ième plus de la moitié des papillons sont touchés…

    Et voila pourquoi les enfants et petits enfants des vétérans ou des liquidateurs de Tchernobyl sont touchés, comme le sont les descendants des populations contaminées… (voir les naissances monstrueuses dans les hopitaux irakiens des zones de guerre contaminées par les obus à terre d’uranium).

     

    (1)CERI Recommandations 2003 du Comité Europeen sur le risque de l’Irradiation. Synthèse et commande du rapport : www.euradcom.org, une traduction française du document est disponible en librairie. Le CERI a publié une mise à jour de ce rapport en 2010, disponible sur www.euradcom.org (en anglais).

    (2) UNSCEAR : Comité scientifiques des nations unies sur les effets des radiations atomiques. C'est l'instance de l'ONU qui «  dit la science », qui en a le monopole sans contestation possible. créé en 1955, ses membres sont nommés par les états, ils sont choisis évidemment pour porter la parole officielle et neutraliser toute remise en cause (par exemple nier l’effet des contaminations par de faibles doses).

    (3) « Le monde comme projet Manhattan », Jean-Marc Royer, ed le passager clandestin, 2017

    (4) CIPR : Commission indépendante de protection radiologique dont les membres sont cooptés sans contrôle démocratique., reconnue par l'ONU, organisation privée composée de membres cooptés au service du développement des usages de l'énergie nucléaire. Elle dicte les normes de la radioprotection et emet des recommandations concernant les mesures de sécurité à prendre sur les installations sensibles. Elle fonde ses préconisations sur la base des indications fournies par l’UNSCAER.

    (5) Irradiation ou contamination. Il convient de bien faire la différence entre l’irradiation, rayonnement que le corps reçoit de l’extérieur, et la contamination qui concerne l’ingestion ou l’absorption par l’air, l’eau, la nourriture, les blessures, de radioélements qui en se désintegrant détruisent ou modifient les cellules voisines.

    (6) Vivre dans « le jardin nucléaire » avec Ethos, un crime contre l’humanité, Pierre Péguin 2016 https://apag2.wordpress.com/2016/11/21/vivre-dans-le-jardin-nucleaire-avec-ethos-un-crime-contre-lhumanite/, ou http://coordination-antinucleaire-sudest.net/2012/index.php?post/2016/11/07/Vivre-dans-le-jardin-nucleaire-avec-Ethos-un-crime-contre-l-humanite,

    (7« La Comédie Atomique », Yves Lenoir, ed La découverte, 2016

    (8) IRSN: L'Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire est un établissement public à caractère industriel et commercial (EPIC) C' est l’expert public en matière de recherche et d’expertise sur les risques nucléaires et radiologiques. Ne comptons pas trop sur ce comité de l'IRSN pour reélement nous protéger même si des associations y participent voire s'y compromettent (l’ACRO, France Nature Environnement, Ligue nationale contre le cancer).

    (9) <La science asservie>, Annie Thébaud-Mony, ed La découverte, 2014. Comment les lobbies instaurent la « stratégie du doute » pour nier les risques industriels (amiante, plomb, nucléaire, pesticides, etc.) et leurs conséquences.

    (10) Chernobyl : Consequences of the catastrophe for people and the environment, Alexey Yablokov (Vassili Nesterenko et Alexey Nesterenko, publication de l’Académie des sciences de New York (NYAS), Annals of the New York Academy of Sciences, vol. 1181, Wiley-Blackwell, avril 2010) fait état d’un nombre de décès attribuables aux retombées de l’accident de Tchernobyl, entre 1986 et 2004 de 985.000, dans le monde entier.

    (11)L’Arrêt immédiat du nucléaire est techniquement possible à l'échelle européenne par Élisabeth Brenière et François Vallet. Arrêt du Nucléaire (ADN) http://collectif-adn.fr/2019/Arret_immediat_Europe.pdf,

    (12) ETB (Enfants Tchernobyl Belarus, site http://enfants-tchernobyl-belarus.org

    (13) Le CEPN, Centre d’Étude sur l'évaluation de la Protection dans le domaine Nucléaire, représente le lobby nucléaire français il rassemble : EDF, AREVA, CEA, l’IRSN ! Les membres de ces structures sont tous issus du même moule, cooptés ou nommés hors de tout processus démocratique, ils sont interchangeables. Ainsi Jacques Lochard fut directeur du CEPN et vice président de la CIPR.… Et c'est le CEPN qui a obtenu de l'Europe un financement pour dévelpper les programmes Ethos et Core en Bielorussie destinés à convaincre les populations de vivre en zones contaminées par Tchernobyl, avec tous les risques que cela comporte, programmes que le CEPN applique maintenant à Fukushima. C'est un véritable crime contre l'humanité.

    (14) De la pectine de pommesà Ethos et au crime contre l’humanité ! Par Annie et Pierre Péguin natureetprogres.org/wp-content/uploads/articles/article80.pdf Les enfants particulièrement touchés par les catastrophes nucléaires, peuvent être soulagés par des cures de pectine, mais….. cela pourrait porter atteinte à l’image du nucléaire….

    (15) Tchernobyl : Publication de l’Académie des sciences de New York (NYAS), Chernobyl : Consequences of the catastrophe for people and the environment, Alexey Yablokov (Vassili Nesterenko et Alexey Nesterenko. Annals of the New York Academy of Sciences, vol. 1181, Wiley-Blackwell, avril 2010).

    (16) Bandajevsky, Actes de la 3e Conférence internationale du Comité européen sur le risque de rayonnement, Lesvos Grèce, 5-9 mai 2009. ECRR (voir www.euradcom.org)

    (17) Monique Sené, risques liés à une exposition aux radiations ionisantes autres que le cancer, Physicienne nucléaire. Directrice de la Gazette nucléaire.

    (18) Michel Fernex, professeur émérite de la faculté de médecine de l’université de Bâle. Biederthal, 15 septembre 2015 Excès de mortalité par leucémies aigües chez les enfants autour des centrales nucléaires en état de marche normal.

    (19 Pr Goncharova, avril 1997, colloque organisé à Genève par le centre universitaire d’écologie humaines et des sciences de l’environnement et publié dans les actes du colloque (avril 1998) « Ecologie humaine après Tchernobyl –Minsk ».

     

     

     

       

     


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  • A propos du compteur Linky :

    http://refus.linky.gazpar.free.fr/incendies-linky.htm

    A méditer.....!

    Gaulois.


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  • Notre énergie renouvelable dossier du 27-10-2019 :

     

     

     

     


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  • Lettre de Denis Fauconnier sur les conséquences de Tchernobyl ! 

     


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  • Vents contraires

    Ou quand l'armée, la religion et l'éolien s'entrechoquent  !


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  • Climat tendu

    Combien faudra-t-il encore de décennies avant que les mentalités prennent enfin conscience de cette barbarie, sur le seul prétexte d'une tradition qui n'a plus aucun sens aujourd'hui !  

    Gaulois.

     

     

     


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  • Nucléaire et climat

    Un argumentaire de Pierre Péguin

     

     


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