•  Palestine : L’occupant se surpasse pour Noël !

     Ou la barbarie au long cours

    Il est à espérer que le peuple israélien n'est pas complice de cette barbarie, bien que l'on soit en droit d'en douter. Quoi qu'il en soit, ce pays est à classer dans le triste palmarès des dictatures.

    En son temps, les Etats-Unis exterminaient les amérindiens, Israël extermine les arabes !

    Tuer un homme emputé des deux jambes relève de la plus grande lâcheté, comme de s'en prendre à des enfants.

    Ce n'est hélas pas prêt de s'arrêter puisque ces fous sanguinaires ont le soutien des grandes puissances impérialistes comme les Etats-Unis et osons le dire, la France.

    Nous devons boycotter les produits Israéliens, mis en avant dans les étales des super et hyper marchés, leurs complices économiques.

    Gaulois.

    http://europalestine.com/spip.php?article13761&lang=fr

    Bombardements, manifestants blessés, journalistes et soignants palestiniens ciblés, enfants arrêtés, les troupes d’occupation ne font pas relâche à Noël ! Le bilan a dépassé les 700 blessés vendredi lors de manifestations contre la déclaration de Trump, selon le Croissant Rouge palestinien

    Un soldat israélien vise des journalistes et des médecins le 22 décembre pendant une manifestation près de al-Bireh, en Palestine occupée. (Oren Ziv ActiveStills)

    Dix journalistes ont été blessés vendredi, et une centaine d’entre eux empêchés de faire leur travail depuis le 6 décembre, rapporte le syndicat des journalistes palestiniens.

    Plusieurs soignants ont également été la cible des tirs de l’occupant, tandis que les Palestiniens qui s’étaient regroupés à la Porte de Damas à Jérusalem pour se rendre à la mosquée al-Aqsa, ont été bloqués. Des keffiehs ont été arrachés à des jeunes par la police pleine de hargne.

    Plus de 500 Palestiniens, dont 170 mineurs —le plus jeune ayant 6 ans—, ont été détenus par Israël depuis l’annonce faite par Trump, a comptabilisé Addameer.

    Une quarantaine d’enfants se trouveraient toujours incarcérés dans la prison d’Ofer, humiliés, et frappés lors de leur arrestation.

     

    UN ENFANT DE 6 ANS "RETENU" PAR L’ARMÉ

    Accusé d’avoir jeté des pierres, Ashraf, un enfant de 6 ans du camp de réfugiés de Jalazun, a été littéralement enlevé par les forces d’occupation et "retenu" dans un bureau de l’armée à Ramallah, pendant 5 heures le 18 décembre, avant que son père soit appelé et puisse venir le chercher, témoigne Amira Hass dans Haaretz.

    La journaliste israélienne, qui a été le voir au domicile familial après cet enlèvement, a pu constaté le désarroi de l’enfant terrorisé et traumatisé, après cet enlèvement accompagné de plusieurs coups assénés par le soldat qui l’a kidnappé et emporté sur son dos "comme un sac de farine".

    Ashraf a repris l’école, indique son père, mais il continue à faire des cauchemars et à se réveiller en sueur au milieu de la nuit.

    UNE BALLE DANS LA NUQUE POUR UN ADOLESCENT DE 15 ANS : IL AVAIT MIS LA MAIN DANS SA POCHE

    On apprend par un article de Gideon levy dans Haaretz que "l’armée la plus morale du monde" a logé une balle dans la nuque de Hamed al-Masri, lycéen de 15 ans de la ville de Salfit, qui passait à une douzaine de mètres d’un sniper ambusqué parmi les oliviers palestiniens près de la colonie d’Ariel.

    Après qu’il soit tombé visage ensanglanté sur les pierres le soldat l’a retourné avec son pied et a constaté après l’avoir fouillé, qu’il n’avait rien dans les poches. Mais voilà, Hamed "avait mis la main dans sa poche de manière suspecte", a expliqué ce soldat.

    Une ambulance et nu hélicoptère l’ont transporté à l’hôpital pour enfants de Petah Tikva, et il est toujours inconscient après cette attaque et plusieurs interventions chirurgicales à la tête.

    Son père et sa mère ont pu aller le voir à l’hôpital mais son frère s’est vu interdire l’entrée en Israel.

    Source : https://www.haaretz.com/israel-news/1.830643

    CAPJPO-EuroPalestine

    16 décembre 2017

     

    Gaza : un amputé des deux jambes abattu par l’armée israélienne ! (photo)

    L’armée israélienne d’occupation s’est surpassée dans l’ignominie, vendredi à Gaza, en assassinant d’une balle dans la tête tirée à distance Ibrahim Abou Soraya, 29 ans, amputé des deux jambes.

    Ibrahim participait, avec environ 3.000 autres citoyens de Gaza, à une manifestation de protestation contre la décision de Trump sur le statut de Jérusalem.

    Les manifestants, comme on le sait, ne représentent aucun risque pour l’armée d’occupation : celle-ci est en effet abritée derrière la clôture du camp de concentration dans laquelle elle enferme depuis plus de 10 ans deux millions d’hommes, de femmes et d’enfants dont le seul tort est d’être des Palestiniens.

    Pire, le blocus du territoire de Gaza se double de l’existence d’une « zone tampon » dite de « sécurité » , de 300 mètres de large sur tout le périmètre de la bande, dont Israël interdit l’accès aux habitants sous peine de tirs mortels.

    (Ibrahim, quelques minutes avant sa mort)

    C’est ce qui est arrivé vendredi, lorsqu’Ibrahim et un autre manifestant ont été lâchement abattus, tandis que des dizaines de jeunes protestataires, au mieux « armés » de pathétiques lance-pierres, ont été blessés par les tirs.

    Amputé des deux jambes à la suite d’un bombardement israélien en 2008, années, Ibrahim Abou Soraya (Thoraya) laisse derrière lui une famille de 11 personnes.

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  

    Le roi Macron

     

     

    Sa majesté Macron 1er à Chambord

     

    https://www.valeursactuelles.com/politique/emmanuel-macron-fete-ses-40-ans-sur-les-traces-des-rois-de-france-91677

     A Chambord se succèdent les rois François 1er, Louis XIV et Macron 1er.

    Le dernier de la lignée – Royale – a sans aucun doute la nostalgie de la fin du moyen âge.

    A l’heure des drames sociaux de toutes sortes, c’est une véritable provocation.

    Mais sans doute avons-nous l’esprit mal placé. En effet, le roi voulait juste oublier les 130 000 SDF, les dizaines de milliers d’immigrés, les pauvres et crève-la-faim. C’est sûr, à Chambord, il ne va pas croiser ces gens-là, si peu fréquentables. Les fastes de la royauté, la sonnerie de la curée après les battues aux sangliers sont tellement plus sociales ! Dans la région, vous risquez bien plus de vous casser le nez sur les pitbulls de la république, souvent plus dangereux que les sangliers. 

    Il paraît que sa majesté règle son séjour à Chambord avec ses propres deniers. Pas sûr que ce soit rassurant car nous pouvons nous poser quelques questions sur les origines de l'argent. C'est bien connu, du moins je l'espère, les riches le deviennent en plumant les plus pauvres. et ce en toute légalité. Ah ! la légalité ! 

    Difficile d’imaginer le roi Macron se rendre à Ouistreham, soutenir actuellement les manifestants afin d’avoir un peu d’humanité pour les migrants et contrairement au maire de cette ville. Là encore, un accueil chaleureux vous sera réservé par les pitbulls.  

    https://www.ouest-france.fr/normandie/ouistreham-14150/ouistreham-manifestation-de-soutien-aux-migrants-5451949

    Vous avez dit moyen âge ?

    Gaulois.

     

     

     


    votre commentaire
  • Erreur

    L'article " La mort de Johnny Halliday..." posté le 6 décembre n'a rien à faire dans la rubrique Astronomie. Ce qui ne change rien a son contenu.

    La suite :

    Cet article du Monde remet quelque peu les pendules à l'heure sur la personnalité du chanteur. Un grand nombre de ses fans serait bien inspiré de méditer sur cette facette de loin moins glorieuse.

    Ce dont je doute, face à l'imbécilité et surtout la naïveté galopante.

    Gaulois. 

    Poches percées et démêlés fiscaux, les rapports tumultueux de Johnny Hallyday à l’argent

     Régulièrement au classement annuel des chanteurs français les mieux payés, le monument du rock français a cumulé les dettes et les démêlés avec le fisc.

     Le Monde.fr avec AFP | 10.12.2017 à 08h16

     http://www.lemonde.fr/culture/article/2017/12/10/poches-percees-et-demeles-fiscaux-les-rapports-tumultueux-de-johnny-hallyday-a-l-argent_5227437_3246.html

     

    Train de vie dispendieux, dettes et démêlés fiscaux : les questions d’argent ont poursuivi Johnny Hallyday toute sa vie. Monument du rock français mort dans la nuit de mardi à mercredi 6 décembre, le « taulier » a été une figure régulière du classement annuel des chanteurs français les mieux payés - deuxième en 2016, avec 16 millions d’euros de revenus, selon le magazine Capital.

    En 60 ans de carrière, l’ancien gamin sans le sou a accumulé chiffres de ventes vertigineux, avec plus de 100 millions de disques vendus et des tournées marathon. Il a aussi conclu de juteux contrats publicitaires et investi, avec plus ou moins de bonheur, dans diverses affaires, comme des boîtes de nuit, des vignobles et un restaurant. Sans compter les revenus tirés des produits dérivés.

    Mais « contrairement à une idée répandue, Johnny est un travailleur pauvre, qui, malgré ses nombreuses années de carrière, n’a pas cumulé de patrimoine, car il a toujours eu un train de vie flamboyant. Il ne possède pas de capital, excepté son patrimoine immobilier », affirmaient les journalistes Catherine Rambert et Renaud Revel dans leur livre « Johnny, les 100 jours où tout a basculé » (2010).

    Panier percé

    Amateur de voitures et de motos de collection, menant grand train, Johnny voyageait au gré des saisons entre ses résidences de Gstaad (station huppée des Alpes suisses), Saint-Barthélemy dans les Antilles, Marnes-la-Coquette (ouest de Paris) et Los Angeles. Il dépensait aussi sans compter pour ses proches et innombrables « potes » invités de ses virées aux quatre coins du globe. Un de ses amis a ainsi raconté avoirdissuader la star de lui offrir sur un coup de tête une toile d’Andy Warhol

    En 2004, son divorce douloureux avec sa maison de disques Universal avait jeté une lumière crue sur ce côté « panier percé ». Johnny avait alors accusé Universal d’avoir mis en place un « système » pour l’asservir en profitant de sa situation financière désastreuse et tenté - en vain - de recouvrer la propriété des bandes originales de ses chansons.

    Lire : Evasion fiscal : Johnny Hallyday se défend

    Les procès qu’il a intentés à sa maison de disques ont été l’occasion d’un grand déballage. On y a découvert un rockeur couvert d’hypothèques, faisant appel à son label pour payer ses factures, éponger ses dettes et assouvir ses caprices… comme ce prêt de 5 millions d’euros destiné à l’achat d’un yacht.

    Au fil des années, Universal s’était porté garant auprès du fisc, avait racheté sa maison de Ramatuelle (la célèbre « Lorada ») et un hôtel particulier du XVIe arrondissement de Paris. En contrepartie, Johnny avait régulièrement accepté des modifications de son contrat, lui avait cédé ses droits à l’image et ceux sur le merchandising.

    « Marre de payer ce qu’on nous impose »

    Ses démêlés avec le fisc ont aussi abondamment défrayé la chronique, au point de devenir un sujet politique. Dès 1975, l’administration fiscale l’a fait condamner à de la prison avec sursis et exigé le remboursement de cent millions de francs d’arriérés, ce qu’il n’a fini de faire que dans les années 1990.

    Assujetti à l’impôt sur la fortune en France, il s’est régulièrement retrouvé au cœur de polémiques sur les exilés fiscaux. Comme en 2006, lorsqu’il a demandé la nationalité belge - en souvenir de son père, disait-il -, avant d’y renoncer. Puis quand il a décidé de s’établir une partie de l’année en Suisse, expliquant en avoir « marre, comme beaucoup de Français, de payer ce qu’on nous impose comme impôts ». A quelques mois de la présidentielle, ses propos avaient déclenché une tempête politique.

    Ces dernières années, il était devenu résident fiscal aux Etats-Unis où ses plus jeunes filles étaient scolarisées. « En France, la réussite, c’est louche, on trouve ça dégueulasse », déplorait-il en 2013 dans son autobiographie Dans mes yeux, (Plon, 2013)

     

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  • La mort de Johnny Halliday

    Et des SDF !!!

    Les médias s'en donnent à cœur joie ! Pensez donc, le fou du rock est mort, comme s'il était un dieu !

    Je ne cache pas que je fus un fan de lui, il y a un demi siècle ! Aujourd'hui et depuis longtemps, je me suis éloigné de ce braillard tumultueux.

    Il est déplorable de constater l'engouement débridé qu'il a suscité durant ces décennies. Il est mort, paix à son âme, s'il en a une et passons à autre chose. Dans cette société pourrie, il n'y a plus de repères. Des individus engrangent des millions d'€uros en gesticulant devant des milliers de personnes qui perdent le sens des réalités. Pendant que ceux-là, les occupants de la rue, meurent de faim, de froid, d'indifférence. Les SDF dont les médias ignorent quasiment l'existence, voir qu'ils méprisent. Les mêmes qui sont prêts à dépenser plus de cent euros pour ce qu'ils appellent une vedette, ne jettent pas une pièce dans le chapeau tendu de la misère.

    Un choix de société nauséabond.

    Gaulois. 

    Les morts de la rue

     http://www.mortsdelarue.org/spip.php?article14

     


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires