• Vie privée

     

     

     

     

     

     

     

    Si toutes les personnes prises en photo en maillot de bain sur la plage ou dans leur véhicule portaient plainte, il y a de fortes chances que la multitude des procédures ne serait jamais engagée. Partant de ce constat, il y a gros à parier que si ces dames n'étaient pas passées par la case « Première dame de France », elles n'auraient très certainement pas déposé plainte. Seulement voilà, comme toujours, il y a deux poids deux mesures. Si vous préférez, selon que vous serez puissant ou misérable..... En attendant, pour ces dames peu scrupuleuses, tout est bon pour se faire du fric.

    Pendant que la presse et les tribunaux nous occupent avec les tribulations de ces bourgeois, nous oublions - enfin pas tout-à-fait - nos soucis du quotidien, c'est-à-dire les fins de mois, le chômage... 

    Gaulois.

     

     


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  • Lettre ouverte

    Il est dommage qu'après la provocation policière, il n'y ait pas davantage de protestations. Mais la grande majorité des élus préfère se réfugier dans la lâcheté et laisser le tapage médiatique se focaliser sur les casseurs. Françoise Verchère a ce courage qui leur manque tant.

    Gaulois.

    ND des Landes. Françoise Verchère écrit à Manuel Valls

     http://www.ouest-france.fr/manif-anti-aeroport-francoise-verchere-ecrit-manuel-valls-1957000

     

    Nantes - 24 Février

     

    Françoise Verchère, à droite, en avril 2012, lors d'une grève de la faim contre le projet d'aéroport | Franck Dubray

    Après les violences à Nantes, la conseillère générale (parti de gauche) vient d'envoyer une lettre ouverte au ministre de l'Intérieur.

     


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  • La grande manipulation

    Après la manifestation anti-aéroport, les langues se délient :

     http://www.metronews.fr/nantes/nantes-apres-la-manifestation-anti-aeroport-les-langues-se-delient/mnbx!k9kwi9lLTdXdk/

    Les arguments des pro-aéroport sont sans équivoque. Bien sûr qu'ils condamnent la violence, mais ils oublient de préciser d’où elle vient, qui la commandite. N'en doutons pas, c'est vieux comme le monde, la violence vient directement ou indirectement du pouvoir. S'il reconnaît le droit de manifester, il contourne ce droit par la manipulation du public.

    Il ne fait aucun doute que cette manifestation a été sabotée avant même son départ. Le gouvernement utilise les forces du désordre, tels des bêtes féroces qui n'hésitent plus à s'en prendre aux plus faibles et aux enfants. Tandis que Vinci utilise, à n'en guère douter, des casseurs.

    D’ors et déjà, dès le départ de la manif, l'opinion publique était formaté par les grands médias, comme toujours à la botte. Le gouvernement est prêt à tout pour arriver à ses fins, peu glorieuses dans son entêtement au projet – un de plus - inutile et destructeur. Comme toujours, c'est la réponse par la violence sciemment préméditée afin de décrédibiliser les opposants.

    Sidérant ! Il suffit de taper sur Google ; « Après la manif de Nantes » pour se faire une opinion de la manipulation médiatique. Combien de temps encore l'opinion publique avalera les couleuvres médiatiques ? Quand la force des arguments l'emportera sur les arguments de la force ?

    Combien de temps le peuple ignorera-t-il sa vrai force ?

    Gaulois.

    Faudra-t-il porter une soutane pour faire valoir son droit à manifester?

     

    http://blogs.mediapart.fr/blog/j-clopeau/220214/faudra-t-il-porter-une-soutane-pour-faire-valoir-son-droit-manifester

    22 février 2014 |  Par J CLOPEAU

    Faudra-t-il porter une soutane pour pouvoir faire respecter son droit de manifester et être entendu du gouvernement? Ce 22 février, la manifestation contre l'aéroport de Notre-Dame des Landes qui regroupait plusieurs dizaines de milliers de personnes s'est heurtée à ce qui n'est rien de moins qu'un sabotage de la part du préfet de la Loire Atlantique. Quelques heures seulement avant le début de la manifestation, la préfecture décidait unilatéralement d'interdire l'accès du cours des Cinquante Otages aux manifestants, une large avenue qui est traditionnellement empruntée par les manifestations dans le chef lieu de la Loire atlantique. Lorsque la tête de la manifestation est arrivée à la hauteur du cours des Cinquante Otages, elle s'est donc  trouvée devant un barrage policier impressionnant. Quelques manifestants ont invectivé les policiers qui ont presque immédiatement répliqué en lançant suffisamment de bombes lacrymogènes pour que l'atmosphère devienne irrespirable, ainsi que des grenades assourdissantes pour donner à l'incident un petit parfum  d'émeute urbaine. Du coup l'endroit est devenu un point de fixation, d'autant que les jets de grenades lacrymogènes, intenses à certains moments sans que l'on sache pourquoi, s'arrêtaient de façon tout aussi étonnante, pour reprendre quelques minutes plus tard. La police maintenait à l'évidence la tension. Du coup, la manifestation s'est arrêtée là, se terminant en quelque sorte en queue de poisson. Ce qui permettra au préfet de faire rapidement le communiqué suivant : " La fête est gâchée, les organisateurs sont débordés par la frange radicale sur laquelle ils s'appuient depuis le début de ce mouvement". Ce qui est, on l'admettra volontiers, du grand art : sembler regretter que la manifestation ne soit pas allée à son terme ("la fête est gâchée...") feindre que les organisateurs de la manifestation aient été débordés, alors qu'il n'y a eu qu'un lieu, fort retreint, d'affrontement entre quelques manifestants et une police qui maîtrisait parfaitement la situation, mais qui a fait tout pour que cela dure. Et tout cela parce que le préfet avait interdit, quelques heures seulement avant sa tenue, à une manifestation d'emprunter un axe urbain lourd de symboles. M. Christian Galliard de Lavernée, dont le nom est déjà tout un programme, préfet de Loire atlantique a, en ce 22 février 2012, bien mérité de Valls, Valls de Ayrault, et Ayrault de Hollande. 

    Aéroport N.D des Landes manifestation à Nantes du 22 février provocations préfectorales et policières

    Communiqué des organisateurs de la manifestation anti-aéroport du 22 février 

    http://www.millebabords.org/spip.php?article25550

    + TÉMOIGNAGES et commentaires Article mis en ligne le mardi 25 février 2014 le 25 par mail témoin de l’IDF J’étais en début de cortège et ce qui m’a le plus surpris, c’est que les casseurs se sont mis à l’œuvre dès les premiers instants. Dès que nous nous sommes engagés dans la rue de Strasbourg, nous avons pu constater les stigmates de leur passage :  jets de peinture sur les forces de l’ordre et sur les façades, notamment celle de la mairie,  saccage de la boutique Vinci Immobilier. Lorsque nous sommes arrivés en bas de la rue, la foreuse était déjà en flamme. D’habitude, les casseurs agissent plutôt en fin de cortège, non ? Les journaux télévisés ont passé en boucles les images de violence en ne manquant pas de faire état des blessés coté forces de l’ordre, mais jamais un mot sur les civils blessés lors des assauts ? Pas un mot non plus sur d’éventuelles interpellations, mais par contre Manuel Valls, dès la fin de l’après midi, semblait très bien renseigné : "c’est l’ultra gauche, des blacks blocs qui voulaient casser du policier et s’en prendre aux mobiliers urbains". "Parmi ces casseurs se trouvait des étrangers" a-il dit lors de son interview. Si le ministère de l’intérieur en savait aussi long sur la question, si certains groupes d’individus étaient identifiés, pourquoi n’avoir pas agit avant ? C’est la première fois que je vois un tel déploiement de forces de l’ordre et de moyens (mur métallique) pour une manif citoyenne. Mais ces hommes paraissaient en attente !! ils savaient que la situation allait dégénérer et tous ces hommes étaient postés là pour réagir quand l’ordre leur serait donné, Avez-vous vu des RG ou des flics en civil dans le cortège ? Moi non ! Aucun moyen n’a été mis en œuvre pour arrêter les agitateurs avant que ça ne dégénère ! Après coup, je ne dirais pas que les casseurs ont été recrutés pour casser la manif, mais je pense que l’état savait, et n’a rien fait pour que ça ne dégénère pas. Lors de la manif du 10 novembre 2012 à Paris, chaque parking ou bureau Vinci était protégé par des cordons de CRS, là non ! J’ai la désagréable sentiment que la casse était prévue et instrumentalisée témoin de l’Alsace (extrait) « …nous avons plusieurs témoignages sur la nervosité des forces de l’ordre dès le matin. 2 camarades sont venu à la rescousse d’un porteur de drapeau breton arrêter par deux GM (nous étions le matin). Avec du dialogue, ils ont réussit à ce que les GM laissent finalement passer le gars qui nous a accompagné juqu’à notre bus. Et le soir, nous avons été bloqué sur la place de la petite Hollande. Vers 18h00 (je n’ai pas l’heure exacte) Les GM ont chargé la place qui a été noyé sous un brouillard de lacrymos. Nous étions dans un bar proche et les gaz sont entrés jusque dans le bar. Un père avec ses deux enfants est entré dans le bar, les enfants étaient apeuré.. aucune distinction dans la charge ... des enfants merde alors !!!!! Notre groupe est resté un moment sur place avant de bougé. Nous voulions éviter d’être pris à parti par les forces de l’ordre. De cette drôle d’ambiance, une blague du soir m’est venue : "aller voir les playmobils et leur demander si nous pouvons traverser Nantes en toute sécurité." Non franchement, si le maire de Nantes a porté plainte contre X ... eh bien nous, nous devrions le faire contre Valls !!!! » témoin du 56 (extrait) « … Dire que le centre ville de Nantes a été dévasté alors que le désordre ( organisé ?) n’a été que sur un périmètre réduit est sidérant. Je voudrais préciser à ce sujet, qu’alors que nous étions samedi soir là où toutes les tv ont montré les vitres brisées etc... Il y avait des pavés partout et des feux non éteints ( sur une zone limitée) et à deux pss des CRS qui regardaient de loin. Nous n’avons pas compris que n’importe qui pouvait déambuler là, avec ce danger potentiel. Je suis donc allée voir 3 personnes des forces de l’ordre et leur ai dit "pourquoi vous ne fermez pas cette partie restreinte, c’est inconscient ! alors que vous êtes un nombre considérable sur Nantes" (il y en avait partout à côté à boucher les rues etc ). Visiblement, cette zone (vue et revue) était libre (alors que dangereuse, ouverte à n’importe qui ... les photos (souvent de non manifestants) allaient bon train, comme si (comme si ?!) laisser cette "porte ouverte" sur les dégâts, avait l’intérêt de relayer le maximun d’images (médias et particuliers) .... volonté ? J’ai reposé ma question et l’un d’entre eux a fini par me répondre ( attention c’est éloquent !) : "On n’y est pour rien, c’est une stratégie d’en haut." Je n’invente rien ! Je suis donc encore plus révoltée quand je vois que certains ont payé (jetant des canettes), via des jugements expéditifs pour s’être rebellé contre des forces de l’ordre qui ont abusé de gaz lacrymo et autres détonations (en Ukraine ce sont des résistants, ici ce sont des casseurs ! … »

    COMMUNIQUÉ des organisateurs 22 février 2014 La manifestation d’aujourd’hui a connu une mobilisation inégalée. 520 tracteurs, venus de tous les départements limitrophes ont été comptés, deux fois plus que le 24 mars 2012 à Nantes. Cela marque une implication massive du monde paysan. Les tracteurs vigilants sont prêts à intervenir sur la zad. Il y avait 63 bus venus de toutes les régions de France, deux fois plus encore que lors de la chaîne humaine. C’est le signe d’une mobilisation nationale et de la connection entre Notre Dame des Landes et d’autres luttes contre les grands projets inutiles et imposés. Il y avait entre 50 et 60 000 personnes, plus encore que lors de la manifestation de réoccupation du 17 novembre 2012. Il s’agit de la plus grosse mobilisation du mouvement. Le défilé a été festif, créatif et déterminé, avec des batukadas, salamandres, tritons géants, masques d’animaux marquant le refus de la destruction des espèces protégées et des mesures dites de compensation. Des prises de paroles et animations ont eu lieu jusqu’à 18h square Daviais. La préfecture avait choisit de mettre Nantes en état de siège et de nous empêcher d’être visible dans le centre ville. C’est la première fois qu’on interdit à une manifestation d’emprunter le Cours des 50 Otages. Une partie du cortège est passée par l’île Beaulieu. Une autre a essayé de passer par le trajet initialement prévu et a fait face à une répression policière violente avec tir de flashball, gaz lacrymogènes et grenades assourdissantes. Cela n’a pas empêché les manifestants de rester en masse dans les rues de Nantes jusqu’à la fin. Il existe différentes manières de s’exprimer dans ce mouvement. Le gouvernement est sourd à la contestation anti-aéroport, il n’est pas étonnant qu’une certaine colère s’exprime. Que pourrait-il se passer en cas de nouvelle intervention sur la zad ? Cette journée est un succès et les différentes composantes de la lutte restent unies sur le terrain. L’opposition ne fait que croître depuis 30 ans. Le gouvernement n’a pas d’autre choix que d’abandonner le projet d’aéroport ! Message de l’ACIPA du 23/02 on vient d’apprendre qu’un jeune homme de 28 ans a perdu un oeil suite à l’éclatement d’une des nombreuses grenades assourdissantes. Il n’avait rien à voir avec les violences générées en marge de la manifestation. C’est terrible ! Messages adressés aux organisateurs à la suite de leur communiqué. Bonjour et félécitations pr vos efforts Il n’y avait pas 63 bus mais 64, et oui le notre, pr des raisons logistiques et des impératifs horaires, était stationné à la Beaujoire. Je partage votre analyse quant aux débordements, et j’en suis à me demander avec d’autres si, finalement, Vals et les pro-aéroports n’avaient pas tout fait pr que ça puisse dégénérer, alors que ça partait bonne enfant malgré cette ville mise en état de siège. D’autre part, tout près de l’espace de prise de parole, nous avons été témoins d’une charge de CRS alors que personne ne les agressait et ne les provoquait davantage. Après s’être replié, face à la détermination d’un ancien qu’ils ne pouvaient matraqués vu le nombre de témoins, ils ont lancé une vingtaine de bombes lacrymo alors qu’ils y avait des gosses et des personnes âgées. Une gosse de notre comité a été gazée, si c’est une black-bloc, elle est vraiment précoce, elle a moins de 10 ans !... Des copains 44 pourront coroborrer ce témoignage. A. du comité Ariège. Bonjour Nous étions également près du lieu de prise de paroles en fin d’après-midi ; je confirme les affirmations des collègues du 09 ; la charge des CRS n’avait aucune raison d’être si ce n’est inciter à la provocation. Ils ont de plus refoulé tout le monde vers le centre ville qui avait été ré-ouvert... Quelle logique dans tout cela ? Collectif des CItoyens Vendômois COntre le Projet d’Aéroport de Notre Dame des Landes Le 25 février à 16:07, par Caroline Bonjour, Nous découvrons chaque jour de plus en plus de témoignages des violences qui ont eu lieu samedi à Nantes. Décidées à ne pas laisser passer ça, plusieurs personnes collectent les récits. Pouvez-vous nous faire suivre vos photos et récits, je pense notamment à cette petite fille de 10 ans prise dans les gaz ? Merci, Caroline. carodenantes@gmail.com Nous, M. et M., casseurs Le texte est dans un fichier à récupérer ici : 

    http://dl.free.fr/jaa9IisGU  Le mot de passe est vinci. C’est un fichier .pdf

    Nous, M. et M., casseurs extrémistes de l’ultra gauche autonome. 23 février 2014. Bien entendu ce titre est à prendre (très précisément) au second degré. Nous sommes un couple, la quarantaine, pas membres d’une quelconque organisation (ah si, l’un de nous est syndiqué). Nous relatons ici notre ressenti des évènements d’hier à Nantes, samedi 22 février, dans le cadre de la manifestation contre le projet d’aéroport de Notre Dame des Landes. Les enfants n’ont pas voulu venir. Heureusement ! 13 heures. Nous arrivons vers la préfecture, après avoir contourné tous les barrages routiers. Au milieu de milliers de manifestants, nous trouvons des copains ! Ils nous parlent des tracteurs qui sont à Commerce. Nous allons voir ça, en remontant le cours des 50 otages. 13h30. Les tracteurs sont en vue. Déboulent alors des dizaines de camions de gendarmerie et de gardes mobiles qui investissent la dernière section du cours, juste avant Commerce. Nous continuons pour faire le tour des centaines de tracteurs (insolite !), puis décidons de retourner au rassemblement qui est à la préfecture. Mais les forces de l’ordre sont en train de boucler, dans toute sa largeur, l’extrémité du cours de 50 otages, avec des murs boucliers impressionnants, de plusieurs mètres de haut. Nous passons par les rues intérieures. 14h15. Nous revenons au rassemblement. Le cortège s’est déjà mis en marche, par la rue de Strasbourg, des milliers de gens sont encore partout autour du pont Morand. Nous décidons de vite remonter le défilé pour regarder les différents chars et cortèges. Lorsque nous arrivons vers l’île Feydeau, la foule est déjà là, et s’étend partout. Parfois éparpillée, parfois compacte, sur Commerce, sur les grands boulevards et dans les ruelles pavées, jusqu’à l’entrée de la place de la petite Hollande. Les tracteurs, les gens sont partout. 15 heures. Nous sommes samedi après-midi, à Nantes, dans le cadre d’une manifestation populaire, où sont présentes des centaines de familles, des dizaines de milliers de manifestants. Et là c’est l’hallucination collective : les forces de l’ordre, derrière leur mur-bouclier des 50 otages, activent les canons à eau, lancent des dizaines de grenades lacrymogène et des bombes assourdissantes. S’en est suivie une longue, très longue, trop longue, petite guérilla urbaine, à tous les abords de la manifestation (une impressionnante barricade est dressée au croisement de Kervégan et du Guesclin), avec des forces de l’ordre qui finissent, petit à petit, avec les même méthodes (pluies de lacrymogènes, canons à eau, et bombes assourdissantes, le tout facilité par la présence permanente d’un hélicoptère au dessus de nos têtes), par repousser l’ensemble de la foule jusque vers la place de la petite Hollande. 17h30. Les tracteurs sont tous partis ou presque (certains ont des heures de route à faire, et les convois étaient déclarés en préfecture). Les deux heures qui suivent, nous sommes beaucoup moins nombreux, mais certainement deux ou trois milliers quand même. Les forces de l’ordre (camion béliers, canons à eau, gardes mobiles et autres CRS) se déploient sur toute la largeur de la zone : des bâtiments du quai de la fosse, jusqu’aux bâtiments côté piscine Gloriette ! Ils avanceront jusqu’au milieu de la place environ. Là, ils lâchent une bonne part de leur stock d’engins explosifs et agressifs. Pour ceux qui se donnent la main, collés aux premiers rangs de CRS, ce sera la matraque. Les gens (oui, des gens, hein, pas des extrémistes-black-blocks-venant-de-l’étranger), extrêmement choqués par le déferlement de la violence policière (nous avons vu plusieurs manifestants sortis sur des brancards de fortune), n’en démordent pas. Nous saluons, sous les vivats et les dernières cartouches, le repli des forces de l’ordre. Le sol est jonché de bris de verre, de cartouches de lacrymos et autres bombes ; des containers de poubelles, une voiture TAN sont en feu ; l’hélicoptère tourne toujours. Des scènes qu’on n’oubliera pas. Jean-Marc Ayrault a raison : les violences doivent être condamnées. Mais nous, nous déclarons que le déchaînement de violence a été sciemment préparé et planifié par la préfecture et les forces de l’ordre. Oui il y a eu de la casse, c’est indéniable. Nous avons de sérieux doutes sur l’identité des auteurs de ces dégradations. Ce n’étaient pas les « jeunes de banlieue », ça c’est certain. C’était des types, souvent costauds, et qui avaient l’air de très bien savoir s’y prendre pour casser une vitrine ou un abribus. Quoi qu’il en soit, ce qui est un fait, c’est que ni l’un ni l’autre n’avions déjà vu un tel déploiement policier à Nantes. Ce qui est un fait aussi, quelles qu’aient été les éventuelles « provocations », c’est que l’offensive policière a été enclenchée, dès 15 heures, et de manière très violente, au beau milieu de dizaines de milliers de manifestants, qui pour 99 % d’entre eux défilaient bien gentiment sous un petit rayon de soleil bienvenu. Nous ne sommes pas des « Zadistes ». Nous ne sommes allés que deux fois sur la Zone A Défendre, lors des grands rassemblements. Nous sommes contre ce projet d’aéroport, c’est sûr. Cet aéroport, pour nous, n’est qu’un exemple (tout à fait éloquent du reste) de la domination de banques et des grands groupes sur notre société et sur nos vies. L’Etat, les politiciens, viennent une nouvelle fois de montrer quels intérêts ils servent. Cette fois ci, c’est pour Vinci. Notre seul regret pour hier, c’est que nous n’ayons pas su nous regrouper tant que nous étions très nombreux, tous au même endroit, par exemple sur cette place de la petite Hollande. Nous ne sommes pas des activistes non plus. Mais si un prochain jour, comme en Ukraine, en Egypte et ailleurs, nous décidons de faire nôtre une place, que ce soit celle-ci ou une autre, alors nous en serons. M. dit qu’elle aura un bouclier. Samedi 1er, nous sommes libres…

    Ou encore :

    http://dormirajamais.org/nddl/

    http://www.agencebretagnepresse.com/fetch.php?id=32994&title=Gu%C3%A9rilla%20urbaine%20ou%20lutte%20contre%20un%20a%C3%A9roport

    http://www.alternatifs44.com/2014/02/notre-dame-des-landes-les-casques.html

     

     

     


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  • Les flics se font du blé … Grâce à une histoire de fesses.

    Pour la police, tout est bon pour se faire du fric. La moralité n'étant pas leur meilleur atout. Vous l'avez certainement constaté dans les colonnes des journaux. Outre le fait d'être primés au rendement, ils sont généreusement dédommagés pour outrage, avec la complicité bienveillante de la justice. Vous dites justice ? La manœuvre est on ne peut plus claire. Les commis du pouvoir vous provoquent, jusqu'à ce que vous perdiez votre sang froid et voilà, une parole même des plus banales est une insulte à agent. S'ensuit les dommages et intérêts pour les pourfendeurs de la démocratie. Les flic ne sont pas à cela près, même une histoire de fesses.

    Gaulois.


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  • Nouvelle fuite d'eau contaminée à la centrale japonaise de Fukushima

    Il ne fait aucun doute qu'un holocauste nucléaire nous attend, n'en déplaise aux optimistes et pro-nucléaires. La pollution radioactive, lente, sournoise, augmente et s'ajoute à de nombreuses autres formes de pollutions. Elle est dénoncée par de nombreux spécialistes qui ne sont évidemment pas écoutés puisque politiquement incorrects et ne parlant pas la même langue des technocrates au service du pouvoir et du lobbies nucléaire.

    http://lesbrindherbes.org/2013/05/05/la-pollution-nucleaire-oceanique-a-nos-portes/

     Gaulois.

    http://www.liberation.fr/terre/2014/02/20/nouvelle-fuite-d-eau-contaminee-a-la-centrale-japonaise-de-fukushima_981625

    Arnaud VAULERIN Correspondant à Kyoto 20 février 2014 à 08:32

    Un employé de Tepco pompe l'eau de pluie atour d'un réservoir d'eau contaminée, le 15 septembre 2013 à la centrale de Fukushima. (Photo Tepco. AFP)

    L'exploitant du site nucléaire assure que l'important écoulement a été endigué. Une enquête a été ouverte.
    Six mois après avoir révélé un massif écoulement radioactif à la centrale de Fukushima Daiichi, Tokyo Electric Power (Tecpo) , son exploitant, fait état ce jeudi d’une nouvelle importante fuite sur la partie supérieure d’un réservoir de stockage.
    Mercredi soir, l’opérateur en charge du site ravagé par le tsunami et le séisme de 2011, a constaté qu’environ 100 tonnes d’eau s’étaient échappées d’une citerne installée à flanc de colline dans la zone H6. Selon Tepco, la découverte a été faite lors d’une opération de transfert de liquide extrêmement contaminé. «L’eau a été versée dans un mauvais réservoir, et elle a débordé», a reconnu ce matin Masayuko Ono, l’un des porte-parole de l’opérateur. Une vanne serait restée ouverte, le liquide se serait écoulé le long d’une gouttière.
    Tepco a ensuite précisé qu’elle avait mesuré une radioactivité de quelque 230 millions becquerels de strontium 90 et autres émetteurs de rayonnements bêta par litre d’eau. Ce niveau constaté est du même ordre que celui enregistré en août lors de la fuite de 300 tonnes d’eau contaminée. L’événement avait alors été considéré comme un «incident grave» et classé au niveau trois sur sept sur l’échelle internationale des événements nucléaires.
    A en croire Tepco, la fuite aurait été stoppée, l’eau serait en voie de récupération ainsi que la terre contaminée. La citerne se trouve à 700 mètres de la mer et «il n’y a pas de fossé à proximité de ce réservoir qui est éloigné de l’océan Pacifique, et il est donc peu probable que l’eau qui a fui soit allée jusqu’à la mer», a précisé Masayuko Ono.
    Cet accident, pour lequel Tepco a ouvert une enquête, vient allonger la longue liste de problèmes, d’erreurs et de pannes récemment annoncées. Sur le site ravagé, l’opérateur doit d’abord gérer un insoluble problème d’eau. De colossales réserves de liquide contaminé sont disséminées dans plus d’un millier de réservoirs sur lesquels des fuites sont régulièrement constatées. En avril dernier, une fissure avait été découverte sur une cuve souterraine, qui avait laissé échapper 710 milliards de becquerels dans le sous-sol. Tepco doit également faire face à l’arrivée de 400 tonnes d’eau dans les sous-sol des réacteurs qu’il doit pomper, décontaminer ou stocker. C’est compter sans les 400 tonnes d’eau supplémentaires qui s’écoulent du site vers le Pacifique…
    La semaine dernière, Tepco avait annoncé avoir mesuré des niveaux très élevés de césiums radioactifs dans un puits situé à 16 mètres de profondeur entre les réacteurs et le Pacifique : des teneurs en césium 134 de 37 000 becquerels par litre d’eau et de 93 000 becquerels par litre pour le césium 137 avaient été relevées. Deux jours plus tôt, sous la pression de l’autorité japonaise de régulation du nucléaire (ARN), la compagnie avait dû admettre qu’elle avait caché pendant plusieurs mois des informations sur des prélèvements d’eau radioactive extrêmement chargée en strontium 90. Une nouvelle rétention d’information qui s’ajoute à une longue série –là aussi- de mensonges et d’omissions de Tepco, discrédité pour sa gestion de la crise.
    Arnaud VAULERIN Correspondant à Kyoto

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    A lire absolument :

    L’avertissement de Fukushima : une leçon pour le reste du monde. (Democracy Now !)

    21 février 2014

    http://www.legrandsoir.info/l-avertissement-de-fukushima-une-lecon-pour-le-reste-du-monde-democracy-now.html

    Amy Goodman et Denis Moynihan
    De Tokyo : « J’écris ces mots de la façon la plus objective possible, avec l’espoir qu’ils servent d’avertissement au monde », écrivait d’Hiroshima, le journaliste William Burchett. Son article, intitulé : »La Plaie atomique », fut publié le septembre 1945 dans le journal London Daily Express. Burchett réussit à éviter le blocage militaire américain d’Hiroshima et fut le premier journaliste à visiter la ville dévastée. Il écrivit alors : « Hiroshima ne ressemble pas à une ville bombardée. C’est comme si un gigantesque rouleau compresseur lui était passé dessus et l’avait aplatie jusqu’à la faire disparaitre ».
    Voyageons 66 ans dans le temps, jusqu’au 11 mars 2011, et situons- nous à presque 1000 kilomètres au nord d’Hiroshima, dans la ville de Fukushima, après le grand tremblement de terre qui secoua l’est du Japon et provoqua un tsunami ce jour là. Comme nous le savons maintenant, l’impact initial qui provoqua 19 000 morts et disparus fut seulement un début. Ce qui commença comme un désastre naturel se changea rapidement en un désastre provoqué par l’homme, après que l’un après l’autre, les systèmes de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi tombèrent en panne. Trois des six réacteurs’effondrèrent et commencèrent à libérer de la radiation dans l’atmosphère et l’océan.
    Trois ans plus tard, le Japon souffre encore des effets du désastre. Plus de 340 000 personnes sont devenues des réfugiés nucléaires, et ont dû quitter leur maison et leur travail. Le réalisateur de cinéma Atsushi Funahashi fit le documentaire « Nation nucléaire : l’histoire des réfugiés de Fukushima ». Dans le film, Funahashi suit des réfugiés de la localité de Futaba où se trouve la centrale nucléaire Fukushima Daiiti pendant l’année qui suit la catastrophe. Le gouvernement a relogé les personnes qui vivaient à Futaba dans une école abandonnée près de Tokyo où elles vivent entassées, partagent des espaces communs, vivent à plusieurs familles dans une même pièce, et reçoivent de la nourriture en boite trois fois par jour. J’ai demandé à Funahashi quelles perspectives de futur avaient ces 1400 personnes. « Peu, vraiment. La seule chose que leur dit le gouvernement c’est qu’ils ne pourront pas retourner à Futaba avant au moins 6 ans ». On donna aux familles la permission de retourner chez eux pour prendre leurs affaires personnelles mais pour deux heures seulement. Comme l’avait fait Wilfred Burchett, Funahashi dut enfreindre l’interdiction de voyager dans les zones dévastées par l’accident nucléaire afin de capturer avec sa caméra les moments douloureux du retour au foyer de l’une de ces familles. Funahashi me raconta qu’une famille lui donna un des quatre laissez-passer qu’ils avaient pour pouvoir se rendre à Futaba. « J’avais essayé de négocier avec le gouvernement, mais je n’ai pas obtenu la permission de me rendre là-bas. Aucun journaliste ni documentaliste n’a eu le droit de se rendre dans la zone, mais je m’entendais très bien avec cette famille .Ils m’ont dit : « On a quatre laissez-passer et on va en utiliser seulement deux, pourquoi n’y allons nous pas ensemble ? ». Et Funahashi partit avec cette famille.
    Le refus du Gouvernement d’accorder un laissez-passer à Funahashi révèle un autre problème qui est apparu depuis le tremblement de terre, c’est la pratique du secret. Le Premier Ministre conservateur du Japon, Shinzo Abe promulgua une loi controversée de secrets d’Etat en décembre 2013. A Tokyo, le professeur de l’université de Sophia Koichi Nakano remarque au sujet de cette nouvelle loi : « Evidemment cette loi concerne surtout les mesures de sécurité et antiterroristes, mais quand les paramètres ont changé il fut de plus en plus évident que l’interprétation de ce qu’est réellement un secret d’état peut être quelque chose de très arbitraire, que les chefs de gouvernement définissent avec pas mal de liberté. Par exemple, la loi permet de surveiller à leur insu, les organisations citoyennes qui s’opposent à l’énergie nucléaire ainsi que l’arrestation de ses membres. »
    Depuis que le désastre nucléaire a eu lieu, un fort mouvement de base qui réclame le démantèlement de toutes les centrales nucléaires du Japon a surgi. Naoto kan, qui était Premier Ministre du Japon au moment de la catastrophe a expliqué comment sa position au sujet du nucléaire a changé : « Ma position avant le 11 Mars 2011 était que tant qu’ont était assurés que les centrales fonctionnaient de façon sûre, elles pouvaient et devaient exister. Toutefois, après avoir vécu le désastre, j’ai changé radicalement d’opinion. Les accidents, comme les accidents d’avion peuvent avoir lieu. Et parfois des centaines de personnes meurent dans un accident, mais aucun autre type d’accident ou de désastre ne pourrait affecter 50 millions de personnes. Peut-être une guerre, mais aucun autre type d’accident ne peut provoquer une telle tragédie ».
    Le Premier Ministre actuel, chef du Gouvernement le plus conservateur depuis la deuxième guerre mondiale, veut réactiver les centrales nucléaires du Japon malgré la forte opposition populaire. A Tokyo, on manifeste chaque jour devant son domicile.
    Assis sur les décombres d’Hiroshima en 1945, le journaliste indépendant Wilfred Burchett écrivait : « On reste avec une sensation de vide à l’estomac face à une dévastation d’une telle magnitude provoquée par l’homme ». Les deux attaques avec la bombe atomique des Etats-Unis contre la population civile de Hiroshima et de Nagasaki, ont encore aujourd’hui de graves effets sur la société japonaise. De la même façon, le triple désastre du tremblement de terre, du tsunami et l’actuel désastre nucléaire affectera plusieurs générations. La dangereuse trajectoire qui va des armes nucléaires à l’énergie nucléaire est mise en question par un mouvement populaire grandissant qui réclame la paix et la durabilité. C’est une leçon pour le reste du monde.
    Amy Goodman et Denis Moynihan

    http://www.democracynow.org/blog/2014/1/16/fukushima_an_ongoing_warning_to_the

    Traduit de l’espagnol

    http://www.rebelion.org/noticia.php?id=179633 par Irisinda

    URL de cet article 24540

    http://www.legrandsoir.info/l-avertissement-de-fukushima-une-lecon-pour-le-reste-du-monde-democracy-now.html

     


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  • 3,5 millions de mal-logés

    Vous y croyez, aux avancées de la politique du logement ?
    Malgré l'appel vibrant de l'Abbé Pierre il y a 60 ans, les choses en la matière n'ont pratiquement pas évolué. Si cet homme au charisme certain a échoué, ce n'est pas le gouvernement actuel, ni Cécile Duflot qui vont faire des miracles.
    Les gouvernements successifs ont d'autres priorités, en particulier le bien être des dirigeants qui eux, se vautrent outrageusement dans des appartement de grand luxe dépassant les 200 m2. Sans parler de leurs résidences secondaires toutes aussi luxueuses. Pas de crise du logement pour ceux-là.
    La crise du logement, comme la crise économique d'ailleurs, a bon dos. En effet, tant qu'il n'y aura pas de réelle volonté politico-économique, c'est-à-dire un changement radical et éthique (1), des milliers de gens dormiront et mourront dans la rue.
    Aborder ici la réapparition des bidonvilles a quelque chose d’écœurant. C'est le diable qui se mort la queue ! Les populations qui vivent dans ces ghettos y ont été jetés comme des vulgaires kleenex, sous des prétextes purement idéologiques et économiques. Ça fait désordre de voir la misère aux portes des grandes villes. Pourtant, qui a favorisé cette exclusion ? Souvenez-vous, il y a quelques décennies, qui a détruit les bidonvilles autour de la ceinture parisienne ? N'oublions jamais que les communistes de la grande banlieue furent les complices tacites de la politique menée en ce domaine par De Gaulle.
    Ce qui est abject, ce n'est pas la destruction des bidonvilles, mais le fait que très souvent, leurs occupants n'avaient aucun moyen de relogement immédiat.

    http://base.d-p-h.info/en/fiches/dph/fiche-dph-6564.html

    Le plan bidonville de Cécile Duflot n'est qu'un bis repetita de la grande misère de la rue qui persiste au fil des decennies.

    (1) Pour utopique que ce soit, si tous les ministres, députés, sénateurs, hauts fonctionnaires, artistes, sportifs de haut niveau, grands patrons, etc. Se contentaient de logements plus modestes, d'une part.
    Si tous le gâchis des projets immobiliers et urbains « Inutiles » étaient évités, d'autre part, la crise du logement ne serait sans doute pas totalement résolue, mais elle serait assurément bien plus supportable.

    Non, décidément, il y aura toujours deux grandes catégories de citoyens ; les nantis et les miséreux.
    Je ne suis pas tout-à-fait en accord avec cette formule « Pour faire reculer la pauvreté, c'est la misère qu'il faut abolir » car plus juste serait d'affirmer ; « Abolissons la richesse et la misère disparaîtra ».
    Gaulois.


     
       


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  • La prison pour avoir refusé de polluer !

    La Cicadelle

    Certains diront qu'ils ne consomment pas de vin. Sans doute et c'est légitime. Mais faut-l pour autant condamner la viticulture ? D'autant que ce n'est ici qu'une infime partie de ce qui se prépare en terme d'agriculture « Mal bouffe ».
    Si nous Laissons faire les autorités technocrates au service des multinationales, c'en sera fini d'une alimentation saine et bio. D'ailleurs, nous entendons souvent dire que le bio n'existe pas. C'est en partie vrai, puisque le lobby est tout puissant et a déjà causé d'importants dégâts.
    Toute initiative de production bio ne sera bientôt plus possible face à cette pollution généralisée.
    Le temps est venu de réveiller nos consciences et dire non à la destruction massive de la planète et du vivant.
    Gaulois.

    http://www.ipsn.eu/


    Vous avez signé ? Bravo et Merci !

    Mais avez-vous tranféré ce message à vos proches,
    vos familles, vos amis ?

    Si ce n'est pas vous, qui leur dira ?

    Personne ne doit ignorer que des personnes en France risquent :
    La prison pour avoir refusé de polluer !
    Chère amie, cher ami,

    Emmanuel Giboulot, viticulteur bio dans le département de la Côte-d'Or, exploite depuis plus de quarante ans 10 hectares de vignes en agriculture biologique.

    Le 24 février 2014, il passera devant le tribunal correctionnel pour avoir refusé de déverser un dangereux pesticide sur sa vigne. Il encourt jusqu'à 6 mois d'emprisonnement et 30 000 euros d'amende.

    Par solidarité avec lui, je vous demande de signer la déclaration de soutien située en bas de ce message.
    Un insecticide qui détruit les abeilles
    En juin dernier, pour contrer un risque hypothétique d'épidémie de flavescence dorée, une maladie de la vigne, le préfet de Côte-d'Or a pris un arrêté radical : tous les vignerons devront traiter leur vigne contre la cicadelle, l'insecte qui répand la maladie.

    Le problème est que même l'insecticide le moins polluant contre la cicadelle tue les abeilles et la faune auxiliaire.

    Il détruit toutes sortes d'insectes nécessaires à la régulation de la vigne pour éviter les parasites. Or, Emmanuel Giboulot travaille justement depuis plus de 40 ans à préserver les équilibres biologiques de sa vigne.

    Il décide donc, fort logiquement, de lutter contre la cicadelle en choisissant parmi les nombreux traitements naturels bien connus des agriculteurs bio.

    Il était tranquillement au travail l'été dernier quand arrive chez lui un inspecteur de la direction régionale de l'Agriculture. L'inspecteur s'aperçoit qu'il n'a pas déversé de pesticide.

    Il décide aussitôt de le signaler au procureur. Emmanuel Giboulot est mis en examen, comme un délinquant.
    Traîné en correctionnelle !!
    Emmanuel Giboulot est convoqué le 24 décembre pour un arrangement amiable avec le procureur, mais celui-ci annule au dernier moment.

    Au lieu de classer l'affaire, le procureur décide de le renvoyer devant le tribunal correctionnel, avec un procès le 24 février prochain !

    Emmanuel Giboulot sera donc jugé aux côtés de délinquants sexuels et de cambrioleurs endurcis, qui forment la population habituelle des audiences correctionnelles.

    Le problème est que, en dehors de quelques réactions isolées, personne ne s'est exprimé publiquement pour défendre Emmanuel Giboulot.

    Aucune réaction massive n'a eu lieu dans la population, jusqu'à présent.

    L'IPSN avait créé une page de soutien sur Facebook pour Emmanuel Giboulot, qui a récolté plus de 35 000 soutiens. Mais, vu le contexte, la mobilisation doit aujourd'hui être infiniment plus forte et plus officielle.
    Les alternatives naturelles sont efficaces !
    En effet, contrairement à ce qu'affirment les autorités, il existe plusieurs moyens de protéger les vignes contre la cicadelle tout en respectant l'environnement :
    les vignes peuvent être protégées avec des fougères et de l'argile calciné ;
     
    des pièges à cicadelle existent, et ils sont efficaces (la cicadelle est attirée par la couleur orange) ;
     
    on peut également poser entre les pieds de vigne de la paille d'avoine ou du papier d'aluminium, dont la forte intensité lumineuse empêche l'insecte de se poser. Des expériences ont montré que cette simple mesure est tout aussi efficace que l'insecticide ;
     
    mais surtout, surtout, c'est en préservant la biodiversité qu'on lutte le mieux contre la cicadelle, car c'est un insecte apprécié par de nombreux prédateurs dans la nature. Le problème est que ces prédateurs, les araignées, la mante religieuse et certains types de punaises, ont aujourd'hui été éradiqués dans les vignes non biologiques, où la faune est ravagée par les insecticides.
     
    Ces solutions ne devraient pas être combattues mais au contraire encouragées par les autorités.

    Les agriculteurs qui les utilisent devraient être félicités et donnés en exemple, non pas soumis à la terreur d'une répression judiciaire.

    C'est pourquoi je vous demande de signer la déclaration de soutien à Emmanuel Giboulot.
    Signez la déclaration de soutien
    Emmanuel Giboulot ne doit pas se rendre au tribunal abandonné de tous. Il doit savoir qu'il est soutenu par des centaines de milliers de personnes.

    Oui, si vous signez la déclaration de soutien ci-dessous, et si vous passez ce message à tout votre carnet d'adresses, nous pouvons provoquer une vague de solidarité historique dans le pays.

    Nous pouvons aussi changer l'issue de ce procès en rassemblant des centaines de milliers de signatures de soutien.

    Car sans réaction massive de la population, ce viticulteur risque très probablement d’être condamné, pour l'exemple.

    La plupart des agriculteurs bios qui verront cela se le tiendront pour dit. Ils comprendront qu'ils doivent obéir aveuglément aux injonctions des autorités, y compris si cela implique d'empoisonner leur propre terre et de décimer plus encore les abeilles et autres insectes pollinisateurs !!

    Ne laissez pas se commettre une telle injustice, avec des conséquences aussi lourdes et contraires à l'intérêt de tous. Manifestons publiquement notre réprobation la plus totale contre les réglementations qui marchent à l'envers et qui nuisent autant à l'environnement qu'au bon sens.

    L'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle vous appelle donc solennellement à signer la déclaration officielle de soutien à Emmanuel Giboulot et à la faire signer par tout votre entourage.

    Cela ne vous demandera qu'un instant, mais c'est un moyen concret d'empêcher qu'une grave injustice ne soit commise, doublée d'une grave atteinte à notre planète.

    S'il vous plaît, ne fermez pas cet email pour l'envoyer aux oubliettes. Ce serait un énorme gâchis. Puisque vous avez investi du temps pour lire ce message jusqu'ici, faites un geste simple et signez la déclaration officielle de soutien à Emmanuel Giboulot.

    Puis transmettez ce message à toutes vos connaissances.

    Un grand merci,

    Avec tout mon dévouement,

    Augustin de Livois

    Président de l'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle
     
     Institut pour la Protection de la Santé Naturelle
    Association sans but lucratif
    Rue du Vieux Marché au Grain, 48
    1000 BRUXELLES
    www.ipsn.eu
     
     

    Un conflit qui prend de l'ampleur : 

    A lire absolument :
     

    http://www.reporterre.net/spip.php?article5402


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  • Nucléaire et idées fausses

    N'en déplaise aux adorateurs du nucléaire, ce document résume bien la situation en terme de comparaison des énergies.
    Bien entendu, il pourrait être complété par d'autres arguments tels que
    -   Les économies d'énergie, quelles qu'elles soient.
    -   Une étude comparative sérieuse et objective sur les coûts et investissements des différentes énergies.
    -   Et surtout Les problèmes de sécurité liés au nucléaire ( Démantèlement, gestion des déchets, risques d'accidents et catastrophes majeures, etc )
    Même si ce n'est pas flagrant aux yeux du public, le nucléaire est en perte de vitesse, malgré le battage médiatique orchestré par ses promoteurs. Il faut très très vite en sortir pour les raisons précédemment énoncées.
     Gaulois.
        
    http://outilssolaires.com/developpement-durable/planete-danger/nucleaire+a35.html

    Mis à jour le 12/12/2012

    Les promoteurs du nucléaire trompent l'opinion publique avec des déclarations telles que "Les énergies renouvelables ont une production négligeable par rapport au nucléaire" ou "L'énergie nucléaire est en plein développement sur la planète", ou encore "L'Allemagne prétend sortir du nucléaire, mais elle achète l'électricité nucléaire française".
    Dérèglement climatique
    Article(s) à lire avant
    Différentes idées fausses sur le nucléaires
    Les énergies renouvelables produisent beaucoup plus que le nucléaire,

    L'hydroélectricité produit à elle seule plus que le nucléaire dans le monde,
    Les statistiques officielles donnent au nucléaire une importance qu'il n'a pas,
    Le nucléaire ne couvre que 2,5% de la consommation mondiale d'énergie,
    Cette part, déjà très faible, va encore se réduire à l'avenir,
    Depuis 4 ans, l'Allemagne est exportatrice nette d'électricité vers la France.
    Les éléments présentés dans cet article sont basés sur les données officielles et tout particulièrement sur les rapports publiés par l'Agence internationale de l'Énergie (AIE) et par le Réseau de transport de l'électricité (RTE), filiale d'EDF.
    Autant dire qu'il s'agit d'organismes peu soupçonnables d'activisme antinucléaire…

    Les énergies renouvelables produisent beaucoup plus que le nucléaire

    Répartition de la production d'énergie primaire dans le monde en 2005 d'après le rapport "Key world energy statistics"
    On nous raconte à longueur d’année que la production d'énergie renouvelable serait infime par rapport à celle du nucléaire, or c'est parfaitement faux, on voit bien que les renouvelables atteignent 12,2%, contre 6,3% pour le nucléaire.
    Attention : nous reviendrons plus loin sur la façon de comptabiliser l'énergie qui est utilisée par l'AIEA : elle compte en énergie primaire, ce qui avantage outrageusement le nucléaire. En considérant la consommation mondiale d'énergie au lieu de l'énergie primaire, la différence est en réalité encore plus importante en faveur des énergies renouvelables.

    L'hydroélectricité produit à elle seule plus que le nucléaire

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Productions d'électricité respectives du nucléaire et de l'énergie hydraulique d'après le rapport "Key world energy statistics 2007"

    Le nucléaire a produit 2768 TWh, c'est-à-dire moins que l'hydroélectricité qui a produit 2994 TWh. Cela prouve, si c'était encore nécessaire, que les énergies renouvelables produisent effectivement beaucoup plus que le nucléaire, puisqu'une énergie renouvelable, l'hydroélectricité, produit à elle seule plus que le nucléaire.

    Les statistiques officielles sont trompeuses et surévaluent la place du nucléaire
    A. Energie primaire / Consommation d'énergie (ou énergie finale)
    Nous avons vu que le nucléaire était officiellement estimé à 6,3% de l'énergie mondiale, et l'hydroélectricité à 2,2% seulement... alors que cette dernière produit plus que le nucléaire. Pour arriver à de tels chiffres, les promoteurs du nucléaire utilisent une façon de compter l'énergie qui avantage outrageusement le nucléaire : il s'agit du décompte en énergie "primaire".
    Sans entrer dans des détails complexes, il faut retenir que compter en énergie primaire revient à compter dans la contribution du nucléaire toute l'énergie qui sort d'une centrale. Or, les deux tiers de cette énergie sont de la chaleur rejetée dans l'environnement et donc… définitivement perdue.
    Vous avez sûrement vu les panaches de vapeur d'eau qui s'échappent des tours de refroidissement des centrales. Mais il y a aussi ce que vous ne voyez pas : des milliards de litres d'eau chaude rejetés en continu dans les rivières (où ils causent d'ailleurs de graves dommages écologiques) et dans la mer.
    Quand on compte en énergie primaire, toute cette énergie perdue est quand même prise en compte dans la part du nucléaire comme s’il s’agissait d’une énergie utilisable.
    Il faut également tenir compte d'autres paramètres comme les pertes d'énergie le long des centaines de kilomètres de lignes électriques (du fait de la centralisation extrême de la production nucléaire). Finalement, ce sont au moins les 3/4 de l'énergie primairenucléaire qui sont perdus avant d'arriver chez le consommateur.
    Bien entendu, les instances officielles, quasiment toutes favorables au nucléaire, comptabilisent toujours l'énergie "primaire", afin de faire croire que le nucléaire est plus important – et donc bien moins facile à supprimer – qu'il n'est en réalité.
    Ainsi, en comptant en énergie primaire, le nucléaire représente 42% de l'énergie française (ce que certains, comme M. Sarkozy, arrondissent carrément à 50%). Or, nous venons de le voir, les 3/4 de cette énergie sont perdus dans la nature. En réalité,le nucléaire ne couvre que 17% de la consommation française d'énergie (ou énergie "finale"). On a en effet une meilleure vue de la part du nucléaire en comptabilisant la consommation d'énergie, ou énergie finale.

    B. Le nucléaire ne couvre que 2,5% de la consommation mondiale d'énergie
    Revenons au rapport "Key world energy statistics 2007".

     

     

     

     

     

     

     

    Répartition de la production d'électricité dans le monde et la consommation finale d'énergie
    d'après le rapport "Key world energy statistics 2007"

    Il apparaît très clairement que :
    le nucléaire représente 15,2% de la production mondiale d'électricité.
    l'électricité représente 16,3% de consommation mondiale d'énergie.
    Donc : le nucléaire couvre 15,2% de 16,3% de la consommation mondiale d'énergie, c'est-à-dire exactement 2,48%.
    Arrondissons : le nucléaire ne couvre que 2,5% de la consommation mondiale d'énergie.
     Voici donc la réalité : la planète  est soumise aux dangers extrêmes du nucléaire (risques de catastrophes, prolifération, déchets radioactifs, rejets dans l'environnement, etc) alors que celui-ci n’assure, en contrepartie, que 2,5% de la consommation mondiale d'énergie.
     Autre enseignement : la part de l'atome dans l'énergie mondiale est si faible que, même si cette énergie dégage peu de CO2, sa contribution à la lutte contre le changement climatique est en fin de compte pratiquement nulle, contrairement à ce qui nous est raconté à longueur de temps.
     De même, le nucléaire ne peut constituer une alternative aux énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon). Les énergies renouvelables, qui ont un potentiel de développement très élevé, représentent la seule alternative. Tant mieux d'ailleurs, puisque ce sont les seules énergies propres.
    La part du nucléaire dans l'énergie mondiale va encore se réduire à l'avenir
    Il ne se passe pas un jour sans que l'on nous parle d'un supposé "grand retour du nucléaire". Il est vrai que des réacteurs nucléaires sont en construction et que d'autres sont en projet, mais ce n'est pas le signal d'un déploiement du nucléaire sur la planète.
    Au contraire, ce sont les efforts de l'industrie nucléaire pour ne pas disparaître. En effet, d'ici 2025, la moitié des 435 réacteurs en fonctionnement actuellement sur la planète vont fermer, arrivés en fin de vie.
    Même dans le scénario basé sur l'hypothèse que la plupart des centrales nucléaires qui vont fermer seraient remplacées par des nouvelles, le nucléaire restera une énergie marginale sur la planète. Par contre, le risque nucléaire ira en s’aggravant, en particulier du fait du vieillissement des centrales et du fait de la prolifération (accès à l'arme atomique de divers pays, sous couvert de développer le nucléaire dit "civil").
    L'Allemagne exportatrice nette d'électricité
    Depuis 4 ans, l'Allemagne est exportatrice nette d'électricité vers la France,  alors que les promoteurs du nucléaire prétendent souvent que l'Allemagne sort du nucléaire… en achetant l'électricité nucléaire française. Il s'agit d'une contre-vérité dont le seul but est de tenter de dé-crédibiliser le plan de sortie du nucléaire en cours en Allemagne.
    En réalité, depuis 2004, c'est l'Allemagne qui est exportatrice nette d'électricité vers la France. (Nous précisons "nette" car il y a des échanges dans les deux sens. L'important est que la différence est effectivement défavorable à la France, laquelle est bien importatrice d'électricité depuis l'Allemagne.).

    Note sur les émissions de CO2
    La plupart de ces importations ont lieu lorsque fonctionnent les millions de convecteurs électriques installés en France par EDF et l'État français afin de "justifier" la construction des réacteurs nucléaires. Mais, en fin de compte, ce sont les centrales thermiques allemandes – fortement émettrices de CO2 - qui approvisionnent en partie ces convecteurs électriques français. Ces émissions de CO2 devraient donc en toute logique être créditées à la France, et même au nucléaire français. Il apparaît donc que l'industrie nucléaire, outre ses propres tares (risques, déchets radioactifs, rejets dans l'environnement, prolifération), est aussi co-responsable de l'aggravation du réchauffement climatique.

    Record du pic de consommation d'électricité battu chaque année
    Un pic de plus de 100.500 mégawatts (MW) a été mesuré par le gestionnaire du Réseau de Transport d'Electricité RTE à 19 heures le 8 février 2012.

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    Entre marasme atomique et boom des énergies renouvelables au Japon.

    Document de Yves Lenoir qui ne vient pas en contradiction avec l'argumentaire précédent.


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  • Trop perçu !



    Incroyable, cette personne parvenait à obtenir un revenu de 900 € par mois, Mieux qu'un ministre ! Y en a ras le bol de ces gens sans scrupules qui font tout pour s'enrichir en profitant de trop-perçus. Il ne faut pas hésiter à les priver de tout revenu, les jeter à la rue et pourquoi pas en prison.
    A peine plus sérieusement, un cumul d'allocation chômage et une activité, c'est comme un cumul de mandats. Sauf que la dame n'est pas une « Personnalité ». Ce qui est permis pour les uns, ne l'est pas pour ...Ceux d'en bas comme ils disent. 
    Plus sérieusement, cette personne a raison de dénoncer un système pervers qui ne fait que renforcer la précarité du travail et évidemment par voie de conséquence la précarité sociale.
    Il est dommage que la plupart des « Clients » de Pôle emploi restent passifs et subissent. Pourtant...

    C'est quand la révolution ?
    Gaulois.


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  • Permis internet

    Tous les prétextes sont bons pour favoriser l'intrusion de la police dans les écoles. Enseignants et parents ne devraient pas l'accepter. Conscients ou non, ils participent à la casse généralisée de l'éducation nationale et il ne fait aucun doute que d'ici peu, ils seront remplacés par des policiers.
    Enseignants et parents n'auront bientôt plus aucun rôle à jouer dans l'éducation des enfants. D'ailleurs, pour les parents, ce ne seront plus leurs enfants mais ceux de la nation …
    Il n'y a pas si longtemps, aucun policier ne venait remplacer l’instituteur ou le prof et les enfants n'étaient pas pour autant des voyous.
    Entre le renoncement des parents et la volonté du pouvoir d’asseoir sa domination du peuple, nous assistons à une transformation de la société qui perd toute son identité de citoyen libre.
    Gaulois.

     

     


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  • Usure des réacteurs

    Il ne fait aucun doute que le prolongement des réacteurs nucléaires finira bien par une catastrophe. Les promoteurs de cette technologie mortifère s'en moquent et le citoyen reste quasi indifférent, jusqu'au jour de la catastrophe. Il pourra toujours appeler au secours. Il est certain qu'il n'y aura personne pour l'entendre.

    Imaginons que nous roulions en voiture avec 4 pneus lisses, sans freins et sans huile moteur. Que croyez-vous qu'il advienne ?  Et bien c'est à peu de chose près la même chose avec des réacteurs nucléaires rafistolés ! Avec la différence fondamentale qu'une voiture ne fera que quelques victimes, alors que le réacteur nucléaire risque d'en faire des centaines de milliers.

    Mais pourquoi s'en faire. En France, jusque là, ça va ...

    Gaulois.

     

     


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  • Lessiver à la cendre de bois.

    Il s'agit juste d'une amélioration sur la fabrication de la lessive à la cendre de bois.

    - Je saisis la cendre tamisée à l'eau bouillante et la préfiltre immédiatement. Au fond du grand entonnoir, je dispose préalablement une poignée de fleurs de lavande ( Dont nous disposons abondamment )

    Lorsque le préfiltrage est terminé, après 2 heures environ, je passe au filtrage final.

    Précision : La couleur du liquide claire obtenu va du marron au jaune citron. Cela dépend de l'essence du bois qui a été brûlé...

    Gaulois.


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  • Projets bloqués

    Quand ce ne sont pas les élus locaux, ce sont les préfets qui entravent le développement des énergies renouvelables. C'est bien connu, les services de l'état sont aussi sous l'influence de la secte nucléaire qui s'impose partout dans le monde.
    C'est très regrettable que le simple bon vouloir ou non des décideurs « Rétrogrades » bloquent les installations des éoliennes pour des motifs les plus farfelus, tels que le bruit, les oiseaux, le paysage et le patrimoine.
    Toutes ces raisons, volontairement très exagérées sont en totale contradiction avec le bon sens. Car en fait les tentatives de discrédit des énergies renouvelables par les pronucléaires sont absurdes. Comme par exemple calculer le nombre d'éoliennes nécessaires équivalent à un réacteur nucléaire, alors que l'objectif premier est de réduire la boulimie énergétique. Dans ce domaine, EDF a largement contribué à une surconsommation délirante.
    Le rejet de ces énergies propres va à l'encontre d'un développement éthique incontournable. 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Là, il s'agit de l'armée dans toute sa splendeur. C'est vrai que c'est plus agréable de voir évoluer des machines de guerre volantes, pilotées par des assassins en puissance prêts à larguer des bombes, atomiques ou autres.

    Pauvre France.

    Gaulois

    . 

     


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  • Fort de Vaujours ... Suite

     

     

     

    N'hésitez pas à manifester votre soutien samedi à Coubron.

    Gaulois.

     

     


    BURE

    Soulaines, Morvilliers, Valduc, Pontfaverger…

     et VAUJOURS


    Même combat

     SAMEDI 8 Février

    93- COUBRON

    Manifestation pour la vérité

     

    http://sauvons.dhuis.fr/post/2014/02/01/Fort-de-Vaujours-:-l-Affiche-de-la-Manifestation-du-8-f%C3%A9vrier-2014

    Un relevé de radioactivité 33 fois supérieur
    (...) Car la question de la dépollution du fort reste entière. Selon une récente étude de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), «l’analyse des échantillons de sols, roches et eau n’a pas mis en évidence la présence d’uranium en excès important dans les prélèvements». Mais l’IRSN reconnaît aussi que «les analyses radiologiques […] ne constituent pas un état radiologique du site permettant une évaluation d’un risque sanitaire éventuel induit pour les populations riveraines.» Pour Christophe Nédélec, il ne fait aucun doute. «J’ai fait des mesures de radioactivité sur un point en 2011 qui a révélé un taux 33 fois plus important que la norme.»
    http://www.20minutes.fr/societe/1289822-20140204-radioactivite-fort-vaujours-coeur-inquietudes-riverains

    Taux anormaux de décès liés aux tumeurs à Courtry
    (...) Un risque sanitaire d’ampleur selon les associations qui combattent le projet depuis plus de dix ans. Des sénateurs socialistes, écologistes et Front de Gauche relaient désormais ces inquiétudes. Une étude épidémiologique de l’agence régionale de santé (ARS) pointe en 2012 des taux anormaux de décès liés aux tumeurs à Courtry: 52% chez les hommes contre 35% en Ile-de-France et 49% chez les femmes contre 28% en Ile-de-France.
    http://blog.gagny-abbesses.info/public/Presse/Vaujours/CAMC_contrat-local-de-sante.pdf

    Y a-t-il encore des risques sanitaires pour les riverains ?
    Bien sûr ! Plusieurs mesures radiologiques — certaines très récentes — ont été réalisées sur le site et montrent qu'il y règne toujours une forte radioactivité. Il y a une dizaine d'années, les politiques ont entendu les associations et ont su taper du poing sur la table (NDLR : ce qui a conduit au lancement d'une étude de la Criirad sur le site). Mais, aujourd'hui, les mêmes élus semblent avoir oublié que le fort de Vaujours est très loin d'être décontaminé et que tout projet de développement sur ce site — extraction de gypse pour BP Placo, construction d'une zone d'activités pour Marne et Chantereine (Seine-et-Marne) — est extrêmement dangereux.
    http://www.leparisien.fr/espace-premium/seine-saint-denis-93/ce-film-doit-faire-reagir-les-gens-01-11-2013-3276169.php

    Les cadeaux en uranium du fort de Vaujours

    http://fabrice-nicolino.com/index.php/?p=1687
    Marc Planeilles, 23 ans, travaille sur un projet ambitieux et inédit : la réalisation d'un documentaire de cinquante-deux minutes sur le fort de Vaujours.(...) Un sujet difficile : ceux qui posent trop de questions sur l'activité de l'ancien site d'essais du Commissariat à l'énergie atomique (CEA) et ses conséquences en matière sanitaire se voient rapidement confrontés au secret d'Etat. Aussi, plutôt que de forcer des portes qui lui sont restées fermées, Marc Planeilles a passé beaucoup de temps avec ceux qui lui tendaient les bras. Notamment les associations locales bien informées sur le sujet, telles que l'Effort de Vaujours, qui souhaite faire la lumière sur l'histoire du site, ou le collectif Sauvons la Dhuis, qui se montre extrêmement vigilant quant à l'utilisation que souhaitent en faire ses nouveaux propriétaires, comme la société BP Placo et la communauté d'agglomération Marne et Chantereine (Seine-et-Marne). Soutenu par l'une des principales maisons de production en France, Marc Planeilles assure « ne pas vouloir réaliser un film militant. Je veux juste raconter l'histoire de ce site et parler des problèmes qui ont pu en découler aujourd'hui. »
    http://www.leparisien.fr/espace-premium/seine-saint-denis-93/un-documentaire-sur-le-passe-atomique-du-fort-de-vaujours-01-11-2013-3276171.php


    L'Effort de Vaujours l'association
    http://larevenchedelaquiche.vraiforum.com/f115-L-Effort-de-Vaujours.htm

    Le collectif : Sauvons la Dhuis
    http://sauvons.dhuis.fr/

    Fort de Vaujours

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Fort_de_Vaujours
    http://www.in-cognito.org/trailers/urbex/visite-leffort

     


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  • Fort de Vaujours : de l'uranium dans le gypse ?

    La secte nucléaire est prête à tout et surtout au pire. La méthode consistant à disséminer les déchets radioactifs de toutes sortes, comme ici avec la complicité toute aussi criminelle de " Placoplâtre "

    Bientôt, tous les biens de consommation seront contaminés. Nous recevrons en permanence des doses de radiation qui augmenteront régulièrement pour dépasser largement la radioactivité naturelle.  

     

    http://www.astrosurf.com/luxorion/radioactivite-mesure-protection-civile.htm
    http://www.ac-nice.fr/svt/labo/securite/sec12.htm

    Gaulois.


    30 janvier 2014 - Communiqué du collectif "Sauvons la Dhuis"

    http://sauvons.dhuis.fr/post/2014/01/30/Fort-de-Vaujours-%3A-de-l-uranium-dans-le-gypse

    Dans notre pétition, déjà signée par plus 82.000 personnes, nous avions signalé que du début des années 1960 jusqu'en 1997, le Commissariat à l'Énergie Atomique (CEA), après chaque tir à l'uranium en casemates, évacuait les éclats, poussières et autres déchets à grandes eaux dans des puits dit de "lavage" profonds de plusieurs dizaines de mètres.

         Tir froid à l'uranium pris avec une caméra haute-vitesse (Source - Archive CEA)

     

     

     

     

     

    En effet, 14 de ces puits ont été recensés sur le site. Certains ont été bouchés avec du béton à la cessation des activités du CEA entre 1995 à 1998.
    Lors de l'enquête publique de 2000, le CEA, après avoir nié vigoureusement pendant des années toute pollution du Fort de Vaujours, avait fini par reconnaitre que certains ouvrages contaminés avaient été noyés dans le béton compte tenu de l’impossibilité de les décontaminer.
    Sous la pression de l'époque, le CEA avait aussi fini par admettre qu'une quantité d'uranium avait gagné la masse de gypse sous-jacente, via les réseaux d'eau pluviale et les puits d'infiltration (Source : 2ème bureau des installations classées en préfecture).
    Quelle est cette quantité d'uranium qui contaminerait l'or blanc convoité par Placoplâtre ?
    Nous nous sommes renseignés : lors des "petits" tirs d'uranium qui faisaient vibrer les vitres des riverains, le CEA utilisait des sphères d'uranium d'environ 250 à 300 grammes, de 4cm de diamètre; pour les tirs plus important, les sphères étaient d'autant plus grosses.
    Les témoignages d'anciens du CEA confirment qu'après chaque explosion les poussières radioactives en suspension dans l'air étaient directement envoyées dans l'atmosphère alors que les poussières et autres éclats au sol étaient poussés à grandes eaux directement dans des puits de lavage. Le CEA a pratiqué de 4 à 8 tirs par jour en casemates du début des années 1960 jusqu'à la fermeture du centre d'expérimentation en 1997.

     

     

     

     

     

    Sphère de tir à l'uranium (Source : Archive CEA)

    Dans les années 1950, selon le CEA lui même, les tirs à l'uranium dont les gros tirs étaient réalisés à l'air libre !!!

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Tir froid à l'air libre (Source : Archive CEA)

     

    Un calcul simple permet de se faire une idée des quantités d'uranium qui ont pu atteindre les masses de pierre à plâtre des sous-sols du Fort de Vaujours. Rien qu'avec des hypothèses basses, 5 tirs par jour avec des sphères d'uranium de 275 grammes, 200 jours par an, pendant 40 ans : cela représente 11 tonnes d'uranium, oui vous savez bien lu : 11 tonnes.
    Nous avons donc potentiellement plusieurs tonnes d'uranium dans l'or blanc de Placoplâtre.
    Pourquoi Placoplâtre, en 4 ans, n'a t'il pas demandé à l'Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) d'inspecter ces puits ?
    Pour rappel, le 24 Janvier 2014, l’IRSN a publié une note précisant que « les analyses radiologiques conduites par l’IRSN ne constituent pas un « état radiologique du site » permettant une évaluation d’un risque sanitaire éventuel induit pour les populations riveraines» .
    Pourquoi Placoplâtre a t'il recouvert ces puits de dalles de béton ?
    Comment Placoplâtre peut il encore affirmer qu'il n'y a pas de problème de contamination radioactive du site suite aux révélations de l'IRSN, aux analyses de la Commission de Recherche et d'Information Indépendantes sur la Radioactivité (CRIIRAD) et aux témoignages d'anciens du CEA dont certains parlent de fosses remplies de conteneurs pleins de matières radioactives ?
    N'est-ce qu'une pure coïncidence, si le 5 mai 2009, soit presque une année avant le rachat de 31 hectares du Fort de Vaujours par Placoplâtre, a été publié un arrêté permettant des dérogations autorisant la présence de matières radioactives, entre autres, dans les matériaux de construction ?

    Pour information, cet arrêté, pris en dépit d’un AVIS DEFAVORABLE de l’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN), banalise, selon cette dernière, la délivrance de dérogation de ce type. La CRIRAD s'oppose également à cet arrêté depuis sa publication.


     

     

     

     

         Accès à un des 14 puits de "lavage" du Fort de Vaujours en 2011

    Le 6 février 2014 prochain, à 08h30, Placoplâtre reçoit officiellement des élus triés sur le volet. Les cadres de cette société seront accompagnés de représentants du CEA.
    Et oui, les propriétaires d'hier s'associent avec ceux d'aujourd'hui, le CEA sera donc présent, comme en 1997, pour tenter de faire croire aux politiques que cet ancien site de conception des détonateurs des bombes atomiques françaises, dont les activités entre 1951 et 1997 sont toujours frappées du secret défense, est normal !!!
    La presse et les associations bien sûr, ne sont pas invitées. C'est tout l'art de la transparence par l'absence des questions qui fâchent et du débat contradictoire !!!
    Voilà encore le genre de manœuvre qui renforce le collectif "Sauvons la Dhuis" dans sa lutte pour l'abandon immédiat du projet de carrière de gypse à ciel ouvert sur les emprises du fort de Vaujours.
    Le projet Placoplâtre ne doit pas constituer un frein a l'établissement de la vérité sur la nature réelle des risques : liés aux contaminations radioactives, aux pollutions chimiques, à la présence de métaux lourds et de munitions non explosées.
    C'est aussi pour cela que nous demandons, en ce lieu, la levée du secret défense sur les activités du CEA auprès de l'État Français.
    Pour rappel, nous comptons sur votre participation à la manifestation que nous organisons Samedi 8 février 2014, de Coubron à Courtry. Le point de rendez-vous est fixé, place du Pâtis à Coubron (93470) à partir de 14h30.
    Le collectif SAUVONS LA DHUIS - http://sauvons.dhuis.fr
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    Lien vers la manifestation du 8 février sur Facebook : https://www.facebook.com/events/640101669358777
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    Fort de Vaujours : les révélations de l'IRSN

    27/01/2014 : Nouveau communiqué du Collectif "  Sauvons la Dhuis":

    http://sauvons.dhuis.fr/post/2014/01/27/Fort-de-Vaujours-%3A-les-r%C3%A9v%C3%A9lations-de-l-IRSN

    Après nos précédents appels à signer notre pétition pour la vérité sur la radioactivité et les pollutions du Fort de Vaujours (Déjà signée par plus de 82.000 personnes), la société Placoplâtre évoque les missions pour lesquelles elle aurait sollicité l'Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) afin de réaliser des mesures radiologiques.
    SIGNER LA PÉTITION EN LIGNE SUR CHANGE.ORG A L'ADRESSE SUIVANTE : http://www.change.org/FortdeVaujours



     

     

     

    Entrée du Fort de Vaujours en 2010.

    En effet, depuis 2011, Placoplâtre, filiale du Groupe Saint-Gobain, tente de rassurer les préfets de Seine-Saint-Denis et de Seine-et-Marne, les élus ainsi que les habitants des environs en s'appuyant sur des analyses de l'IRSN qui affirmeraient qu'il n’existe aucune contamination radioactive sur le site.

    Le 24 Janvier 2014, pressé par la médiatisation de notre pétition, l'IRSN a publié pour sa part une note d'information relative au fort de Vaujours.
    La note de l'IRSN : IRSN_NI-Fort-Vaujours-Controles-Radiologiques_24012014.pdf
    La lecture de cette note est édifiante, accablante et laisse sans voix.
    On y apprend que la société Placoplâtre,s’était engagée en 2011, à rendre publics les résultats de leurs analyses. A ce jour, le collectif "Sauvons la Dhuis", malgré des demandes répétées, n'a jamais réussi à les obtenir. Cet engagement n'a donc jamais été tenu, aucun document de l'IRSN n'a jamais été communiqué lors des différentes réunions avec Placoplâtre sur le sujet !!!
    Cette note met également en évidence des analyses réalisées à la demande exclusive de Placoplâtre. Celles-ci ont été limitées à l'analyse de carottes de sondages des sols réalisés par d’autres prestataires sans aucune garantie de provenance; ainsi qu'à la seule étude de points de contamination radioactifs ciblés lors des campagnes de prospection très limitées de 2001/2002 réalisées par la Commission de Recherche et d'Information Indépendantes sur la Radioactivité (CRIIRAD) et la SUBATECH.
    Dans cette note, l’IRSN affirme enfin que « les analyses radiologiques conduites par l’IRSN ne constituent pas un « état radiologique du site » permettant une évaluation d’un risque sanitaire éventuel induit pour les populations riveraines ».
    La semaine dernière, dans la presse, le directeur général adjoint de l'IRSN a même confirmé que le site n'a été que très partiellement décontaminé en 2001/2002, pour lui : "le nettoyage a été fait" (seulement) "dans des zones ciblées".
    À ces révélations, Il faut aussi ajouter les témoignages édifiants d'anciens du Commissariat à l'Energie Atomique (CEA) et de la CRIIRAD qui déclarent depuis des années :
    que les moyens mis en œuvre en 2001/2002 par le CEA n'étaient pas en mesure de détecter les contaminations radioactives des sols en dessous de quelques centimètres de profondeur,
    qu'un bloc d'uranium 238 sous quelques centimètres de terres est très difficile à déceler en surface,
    que le CEA a reconnu que certains ouvrages contaminés ont été noyés dans le béton compte tenu de l’impossibilité de les décontaminer,
    que les eaux potentiellement contaminées par les tirs à l'uranium, étaient déversées dans des puisards qui peuvent être contaminés en profondeur,
    que les résultats des mesures de radioactivité réalisées sur site par les associations en 2011, 33 fois supérieures à la norme "doivent être pris en compte"
    Les révélations de l'IRSN font donc éclater avec force, une bien triste vérité : aucun état radiologique complet du site n’a jamais été réalisé, et pourtant, cela n'empêche pas la société Placoplâtre de laisser entendre haut et fort que tout est normal et de s'enfoncer dans un jusqu'au-boutisme irresponsable.
    Cette situation ne peut plus durer.

     

     

     

     

    Mesure de radioactivité à 33 fois la norme prise dans l'enceinte du fort de Vaujours en Mai 2011 avec un RADEX 1503.

    Si nous voulons bâtir ensemble un avenir serein et partagé en ce lieu, il ne doit plus y avoir d'actes inconscients de dissimulation et de minimisation des risques.
    Cet industriel ne doit plus être juge et partie des dangers qu'il fait courir à ses employés, à ses sous-traitants ainsi qu'aux populations riveraines des villes de Courtry, Coubron, Vaujours et d'ailleurs.
    C'est pourquoi, le collectif "Sauvons la Dhuis" re-demande avec force, l'abandon immédiat du projet de carrière de plâtre à ciel ouvert sur les emprises du fort de Vaujours.
    Le projet de Placoplâtre ne doit plus être un obstacle à l'établissement de la vérité sur la nature réelle des risques liés aux contaminations radioactives, aux pollutions chimiques, à la présence de métaux lourds et de munitions non explosées.
    Ainsi nous demandons aux préfets de Seine-Saint-Denis et de Seine-et-Marne de publier, dans les plus brefs délais, des arrêtés préfectoraux interdisant :
    l'exploitation des sols et des sous-sols du site
    la destruction des bâtiments du fort de Vaujours
    toute occupation humaine du site hormis celle liée à la sécurisation des accès du site
    Ceci est un préalable indispensable pour que tous les moyens soient mis en œuvre, de façon indépendante, afin que toute la lumière soit faite sur les contaminations du fort de Vaujours.
    C'est aussi pour cela que nous demandons, en ce lieu, la levée du secret défense sur les activités du CEA auprès de l'État Français.
    Ce n'est que lorsque la vérité sera parfaitement établie et connue de tous, qu'un avenir pour le fort de Vaujours pourra être envisagé, ensemble.
    Pour rappel, nous comptons sur votre participation à la manifestation que nous organisons Samedi 8 février 2014, de Coubron à Courtry. Le point de rendez-vous est fixé, place du Pâtis à Coubron (93470) à partir de 14h30.
    Le collectif SAUVONS LA DHUIS - http://sauvons.dhuis.fr
    SIGNER LA PÉTITION EN LIGNE SUR CHANGE.ORG A L'ADRESSE SUIVANTE : http://www.change.org/FortdeVaujours
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