• Bloqués par la neige

    Il est remarquable de constater qu'en France, trois flocons de neige et c'est la pagaille !
    Bien entendu, il n'est pas question de rendre le gouvernement responsable des chutes de neige. En revanche, pour l'organisation hivernale, c'est un zéro pointé. Manque de moyens ? Pas du tout, puisqu'il paraît que la France est la cinquième économie mondiale !
    Il est aisé de comprendre que les richesses, ou tout simplement l'argent public ne vont pas là où il faudrait.
    L'article semble anodin, pourtant si l'on y regarde de plus près, ce peut être d'une gravité aux conséquences incalculables. N'oublions pas que le site de retraitement de combustibles nucléaires de la Hague est l'un des plus dangereux au monde. Alors, quand il nous est annoncé que 400 salariés  du site sont bloqués par la neige, nous sommes en droit d'être inquiets.
    Mais nous sommes en France, pays dont l'arrogance, en tout cas en terme de nucléaire, est sans limite.
    Braves gens, tout va bien, restez moutons et dormez tranquilles.

    N'oubliez pas de consulter la dernière revue n° 43 sur le site de l'observatoire du nucléaire :  http://observ.nucleaire.free.fr/

    Gaulois.


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  • Suite convertisseur

    Le schéma du convertisseur précédemment posté est à prendre avec précaution. En effet, le premier essai n'est pas concluant puisque les transistors mosfets T4 et T5 ont claqué dès la mise sous tension. Il y a lieu de rechercher l'origine de ce flash !

    Gaulois. 


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  • Destruction de radars

        Il est étonnant qu'il n'y ait pas plus de radars détruits ou vandalisés. Il faut sans doute y voir au moins deux raisons. Les automobilistes moutons acceptent sans broncher, estimant que c'est pour le bien commun. Ou bien ils passeraient volontiers à l'acte mais manquent de courage.

     

     

     

     

     

     

     

     

     



















    Les discours que l'on peut entendre laissent rêveur. Pas question de détruire les radars car ils coûtent chère au contribuable. Vu la rentabilité, c'est moins sûr.
    Ça fait ralentir les fous du volant, sauf que, entre deux radars, la vitesse revient.
    D'ailleurs tout est fait pour aller vite si l'on considère les aménagements routiers et les possibilités des véhicules, en terme de vitesse et dont les constructeurs vantent les performences. Sans oublier que la vitesse est grisante. Tout cela n'est que pièges à cons ; roulez vite et nous vous attendons au virage..    






    Il ne fait pas de doute que la gravité d'un accident est proportionnelle à la vitesse du véhicule, mais ce n'est pas la préoccupation du pouvoir hypocrite qui est bien plus motivé par les recettes engrangées par ces machines infernales. Les deux articles ci-dessous sont limpides !  

     

     

     

     

     

     















     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     




    En cas de destruction, la répression est féroce, digne d'une dictature.


    Tout l'environnement d'un véhicule à moteur n'est que racket et ce ne sera jamais assez dit et inlassablement répété.
    Gaulois.


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  • Le droit à la santé bafoué à Fukushima

    Ou la puissance démoniaque de la secte nucléaire au service de la mort !

    Quels commentaires à ajouter ici ? Si ce n'est que le crime nucléaire continue.

    Voici des vérités qui devraient effriter le rocher du mensonge...

    Gaulois.

    http://www.vivre-apres-fukushima.fr/le-gouvernement-japonais-fait-pression-sur-les-populations-pour-quelles-retournent-vivre-dans-les-zones-contaminees/

    La page 2 de ce PDF issu du Courrier de Genève :


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  • La retraite des Français !

    Pour écrire de telles âneries, ils sont sûrement des extra-terrestres.
    Il serait intéressant de savoir combien de français peuvent préparer financièrement leur retraite. Il faudrait déjà qu'ils arrivent à survivre dignement avec le maigre fruit de l'esclavage par leur travail. Pour ceux qui parviennent à mettre quelques sous de côté, leur train de vie ne doit pas être enviable. Car enfin, quel ménage peut épargner 500€ par mois, comme le suggère cet assureur ? Celui-là, assurément est à des années-lumière de la réalité.
    Pour ce qui est des promesses électorales, les citoyens sont encore au moyen-âge en terme de naïveté.

    Gaulois.

     


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  • Autoroutes Racket

    Ça ne vous fait rien, d'être ainsi rackettés ? Et bien c'est que vous êtes de gentils moutons prêts à en redemander...Si si ! La preuve par cette multitude de mesures toutes aussi abusives les unes que les autres.
    Les gouvernants successifs, de gauche comme de droite, délèguent des services publics vers le privé. Les autoroutes n'y échappent pas C'est simple pratique et efficace. Comme nombre d'élus ont des billes dans les intérêts des multinationales, ils peuvent s'engraisser sans que cela soit trop visible. Ces mêmes élus ayant le pouvoir de prendre les décisions, en tout cas avec leurs complices parlementaires et gouvernants, tout est possible. L'usager, lui n'a qu'à bien se tenir et payer.
    Pour ce qui est de « Lisser » les tarifs des péages autoroutiers comme le propose Marianne, la solution n'est pas là. Toutes les autoroutes devraient être gratuites et sous le contrôle exclusif de l'état. Au regard des grands projets inutiles réalisés, tout le monde serait encore gagnant.  


    Radars masqués

    Je ne comprend pas pourquoi les associations de victimes ne demandent pas la vitesse « Zéro ». Si vous préférez, pour faire simple, achetez une voiture et laissez-là au garage, ainsi, pas de risque d’excès de vitesse.
    Je crois l'avoir déjà dit, je ne suis pas contre une certaine limitation de vitesse, en particulier en ville. Mais il est ridicule d'avoir un réseau routier sur lequel il est permis de rouler vite, tels les grands axes et les autoroutes dont les aménagements ont été prévus pour cela.
    L'arsenal des radars, toujours plus sophistiqués est le reflet de la grande hypocrisie économico-répressive des pouvoirs en place.

    Gaulois.




      


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  • Armes à uranium appauvri. Cocoricooooooooooo !

    La France criminelle n'hésiterait pas évidemment à faire usage des armes à l'uranium appauvri au Mali. Si elle s'est engagée dans cette sale guerre, c'est bien justement dans l'espoir d'obtenir la concession des mines d'uranium de ce pays.
    La France – Afrique dans toute son horreur.
    Gaulois.

    Assemblée nationale

    http://www.assemblee-nationale.fr/14/tribun/fiches_id/267306.asp

    Question écrite n° 20048 publiée le 05 mars 2013
    défense - armée - armes à uranium appauvri. attitude de la France
    M. André Chassaigne attire l'attention de M. le ministre de la défense sur l'utilisation d'armes à l'uranium appauvri au Mali. Selon des informations concordantes, l'armée française utiliserait au Mali des armes à uranium appauvri, définies comme étant des « munitions fléchées à l'uranium appauvri ». Cet usage militaire par aéronefs et certains blindés n'a pas été démenti par l'armée française. De telles armes sont utilisées au nom de « l'efficacité » pour pénétrer dans les blindages ou béton. Mais elles ont des effets néfastes et de très longue durée, connus depuis longtemps, par la contamination des zones impactées. Elles ont notamment un effet toxique sur les plantes et sur le bétail, intégrant ainsi la chaîne alimentaire. De plus, l'utilisation de ces armes est illicite, car en violation des règles internationales de radioprotection. Elles ont été à maintes reprises déclarées illégales par le droit international sur le contrôle des armements. De fait, elles constituent un crime contre l'humanité dans la mesure où elles entraînent pour plusieurs milliards d'années la pollution des sols, des eaux et de l'air, contaminant la flore, la faune et les populations, engendrant des malformations congénitales avec transmission aux générations futures. Il lui demande de lui préciser si cette information est vérifiée. Si elle s'avérait juste, il souhaite connaître son engagement à faire procéder à l'arrêt immédiat de leur utilisation et prendre en charge les coûts de décontamination. Il lui demande si la France est prête à oeuvrer auprès des instances internationales pour que ces munitions soient effectivement interdites dans tous les conflits sur la planète.
    La question publiée au JO le : 05/03/2013 page : 2394 :

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-20048QE.htm


    Texte de la question :

    M. André Chassaigne attire l'attention de M. le ministre de la défense sur l'utilisation d'armes à l'uranium appauvri au Mali. Selon des informations concordantes, l'armée française utiliserait au Mali des armes à uranium appauvri, définies comme étant des « munitions fléchées à l'uranium appauvri ». Cet usage militaire par aéronefs et certains blindés n'a pas été démenti par l'armée française. De telles armes sont utilisées au nom de « l'efficacité » pour pénétrer dans les blindages ou béton. Mais elles ont des effets néfastes et de très longue durée, connus depuis longtemps, par la contamination des zones impactées. Elles ont notamment un effet toxique sur les plantes et sur le bétail, intégrant ainsi la chaîne alimentaire. De plus, l'utilisation de ces armes est illicite, car en violation des règles internationales de radioprotection. Elles ont été à maintes reprises déclarées illégales par le droit international sur le contrôle des armements. De fait, elles constituent un crime contre l'humanité dans la mesure où elles entraînent pour plusieurs milliards d'années la pollution des sols, des eaux et de l'air, contaminant la flore, la faune et les populations, engendrant des malformations congénitales avec transmission aux générations futures. Il lui demande de lui préciser si cette information est vérifiée. Si elle s'avérait juste, il souhaite connaître son engagement à faire procéder à l'arrêt immédiat de leur utilisation et prendre en charge les coûts de décontamination. Il lui demande si la France est prête à oeuvrer auprès des instances internationales pour que ces munitions soient effectivement interdites dans tous les conflits sur la planète.
    Texte de la réponse :

    ????????????????????????











     

     


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  • La difficile vie des "liquidateurs" de Fukushima

    Le Monde.fr | 10.03.2013

    http://www.lemonde.fr/planete/article/2013/03/10/la-difficile-vie-des-liquidateurs-de-fukushima_1845474_3244.html

    Ils sont environ 3 000 à se relayer jour et nuit sur le site de la centrale accidentée de Fukushima au Japon. On les surnomme les "liquidateurs", car ce sont eux qui gèrent la catastrophe nucléaire depuis le 11 mars 2011, à l'image de celle de Tchernobyl vingt-cinq ans plus tôt. Si la situation sur le site est maintenant considérée comme stable – tous les réacteurs et piscines étant continuellement refroidis – l'inquiétude et les effets sur la santé n'en perdurent pas moins pour ces travailleurs de l'extrême.
    Nombre d'entre eux, employés par des sous-traitants de l'exploitant du site Tokyo Electric Power (Tepco), se plaignent du stress du travail, de la peur, de la solitude et de l'inconfort des longues journées passées à étouffer dans des masques, gants et blouses de protection.
    Un ouvrier déclarait ainsi à Reuters : "J'ai mal au ventre et je suis constamment stressé. Quand je reviens dans ma chambre, tout ce que je peux faire, c'est me soucier du lendemain. Ils devraient nous donner une médaille." "Qui peut accepter de travailler dans ces conditions ?", s'interroge un autre.
    SENTIMENT DE CULPABILITÉ ET DE RESPONSABILITÉ
    Cette tension, couplée avec la critique de l'opinion quant à la lenteur des opérations de décontamination, en aurait incité plusieurs à démissionner, livre le Guardian. D'autres confient leur manque de motivation, soulevant la perspective d'une pénurie de techniciens et d'experts lorsque le nettoyage de Fukushima atteindra son étape la plus critique – le retrait du combustible usagé des piscines de stockage.
    "Les travailleurs sont les plus exposés aux radiations nucléaires et ils participent d'un processus qui va durer des décennies. Pourtant, ils sont critiqués car ils appartiennent à Tepco, explique Jun Shigemura, maître de conférences au département de psychiatrie du National Defense Medical College, cité par le Guardian. Ils ne dirigent pas l'entreprise ni ne sont responsables de la catastrophe, mais ils éprouvent un sentiment de culpabilité et de responsabilité. Ils méritent plus de respect, dans la mesure où ils font l'un des métiers les plus difficiles au monde."
    "Les salariés de Tepco risquent de suivre la trajectoire des vétérans de la guerre du Vietnam, qui se sont vus rejetés par la société à leur retour, ont fini sans abri, ont sombré dans l'alcoolisme et les drogues ou se sont suicidés", prévient l'expert, qui a mené une étude sur 1 500 travailleurs japonais du nucléaire.
    Surtout, ces difficiles conditions de travail ne sont pas compensées par un salaire avantageux. Selon un sondage mené par Tepco auprès de 3 200 travailleurs de septembre à octobre, plus de 70 % d'entre eux gagnaient 837 yen (6 euros) de l'heure, alors que les journaliers réguliers sur les chantiers de la région peuvent toucher jusqu'à 1 500 yens (12 euros). Le droit du travail n'était par ailleurs pas respecté dans la moitié des cas et un tiers de ces salariés ne possédaient même pas de contrat de travail.
    SCANDALES ET FRAUDES
    Depuis deux ans, les opérations de décontamination ont été entachées de révélations sur les conditions de travail illégales et les violations des règlements sur la santé et la sécurité. Ce mois-ci, le ministère de la santé a ainsi divulgué qu'au moins 63 travailleurs de Fukushima avaient été exposés à des niveaux de radiation supérieurs à ceux enregistrés dans leurs dossiers personnels. Fin décembre dernier, 146 travailleurs Tepco et 21 sous-traitants avaient par ailleurs dépassé leur exposition maximale admissible de 100 millisieverts sur cinq ans.
    Ce même mois, le quotidien Asahi Shimbun révélait que la société de construction Build-Up aurait demandé à une dizaine de ses ouvriers de recouvrir de plomb leurs dosimètres – instrument servant à évaluer le cumul de radiations auxquelles ils étaient exposés – lorsqu'ils intervenaient dans les zones les plus radioactives de la centrale accidentée afin de sous-déclarer leur exposition et permettre à la société de continuer à travailler sur le site.
    Lire : Fukushima : des ouvriers contraints de mentir sur la radioactivité :
    http://www.lemonde.fr/japon/article/2012/07/22/fukushima-des-ouvriers-contraints-de-mentir-sur-la-radioactivite_1736827_1492975.html

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    2 ans de Fukushima: Le PCF s'associe à l'hommage rendu aux victimes

    Ou le PCF traditionnellement pro-nucléaire

    Il serait intéresant de savoir après combien de catastrophes majeurs le PCF sortirait de la secte nucléocrate. 

    Gaulois.

    http://www.pcf.fr/37020

    Ce 11 mars 2013 marque les deux ans du gigantesque tsunami qui a endeuillé le Japon et causé près de 19 000 victimes. Des habitations, des usines, des villes et les femmes et les hommes qui y travaillaient ont été balayés par la puissance dévastatrice de cette vague.
    Le PCF s'associe à l’hommage qui leur est rendu aujourd’hui.
     
    Ce tsunami a également causé l’accident nucléaire majeur survenu dans la centrale de FUKUSHIMA DAÏCHI. La contamination radiologique a conduit à l’évacuation de 160 000 riverains de la centrale et à la création d’une zone interdite de 20Kms de rayon autour de la centrale. Ces catastrophes ont brisé des vies et des familles entières. Le coût de la reconstruction du Japon est immense.
    L’entreprise TEPCO a montré, en ne mettant pas en œuvre les meilleures mesures antisismiques dans sa centrale, que l’énergie nucléaire est trop sérieuse pour être confiée à des entreprises privées privilégiant le profit à la sécurité.
     
    La catastrophe de Fukushima a marqué les esprits et conduit 42% des Français, un nombre en baisse, à s’inquiéter du fonctionnement des centrales nucléaires en France. Pour le PCF, l’atout constitué par le nucléaire civil doit être maintenu et optimisé, pour relever les défis d’une énergie décarbonée. Il ne peut s’envisager sans un renforcement permanent de la sureté et de la radioprotection, tant sur le plan matériel qu’humain, comme le montrent des études de l’Institut de Radioprotection et de Sureté Nucléaire (IRSN). Des exigences accrues de transparence et de démocratie, la définition et le respect de normes internationales, le refus du recours à la sous-traitance et des investissements de sûreté sont indispensables à la poursuite de la production d’énergie nucléaire.
     
    Alors que s’ouvre un grand débat national sur la transition énergétique pour faire face au défi du changement climatique, le nouveau mix énergétique devra garantir un prix de l’énergie accessible pour chacun. Le PCF appelle à la constitution d’un pôle public national de l’énergie qui, seul, permet de faire primer l’exigence en matière de sécurité et de prix sur les intérêts de l’économie de marché. Le PCF prend d’ores et déjà une part active dans ce débat public d’avenir pour la société française.

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    Manifestations antinucléaires

    http://www.bfmtv.com/societe/paris-milliers-danti-nucleaire-forment-une-chaine-humaine-466970.html

    Chaîne humaine à Paris :
    Plusieurs milliers de personnes, 20.000 selon les organisateurs, 4.000 selon la police, ont formé une vaste chaîne humaine samedi dans Paris pour réclamer l'arrêt du nucléaire civil et militaire en France, deux ans après la catastrophe de Fukushima.
        
    Aux cris de "Fukushima, plus jamais ça", les manifestants, vêtus pour la plupart de gilets fluos jaunes et dont beaucoup étaient venus de province, se sont déployés à partir de dix-huit points de ralliement pour former une longue chaîne humaine allant du quartier de la Défense au ministère de l'Economie.

    Profitant d'un beau soleil printanier, ils se sont donné la main et ont scandé des slogans anti-nucléaires sur des trottoirs encombrés de badauds, notamment dans le quartier de l'Opéra où ils ont "encerclé" symboliquement le siège de la BNP et de la Société générale, deux banques qui financent des projets de centrales nucléaires.
    Une minute de silence chargée d'émotion
    Coordonnée par le réseau Sortir du nucléaire, la mobilisation était notamment destinée à "envoyer un message d'indignation aux décideurs" ainsi qu'un message de solidarité au peuple japonais.
        
    "Nous demandons la fin du nucléaire civil et militaire, et notamment l'arrêt de toutes les centrales nucléaires de plus de trente ans", a réclamé le porte-parole du Réseau Pierric Duflos. Une vingtaine des 58 réacteurs nucléaires français ont plus de 30 ans.
        
    Une dizaine de députés d'Europe Ecologie les Verts (EELV), mais également des représentants du Parti de Gauche, du NPA et de CAP 21 participaient à la mobilisation tout comme le syndicat SUD-rail qui s'oppose au transport des déchets nucléaires par le train.
        
    La manifestation s'est terminée par une minute de silence très émouvante, ponctuée à la Bastille par des tambours japonais.
    Certains commentaires à la suite de cet article méritent réflexion : il faudrait plonger leurs auteurs dans un bain d'uranium pendant quelques minutes puis leur demander ce qu'ils en pensent !
    Gaulois.  

    http://www.bfmtv.com/societe/paris-milliers-danti-nucleaire-forment-une-chaine-humaine-466970.html

    Japon: manifestation antinucléaire à Tokyo, 2 ans après Fukushima :
    http://www.liberation.fr/monde/2013/03/09/japon-manifestation-antinucleaire-a-tokyo-2-ans-apres-fukushima_887396

    9 mars 2013 à 10:27

              Des Japonais manifestent contre le nucléaire à Tokyo le 9 mars 2011 (Photo Yoshikazu Tsuno. AFP)

    Des milliers de manifestants ont défilé samedi à Tokyo pour exiger l’abandon rapide de l’énergie nucléaire au Japon, près de deux ans jour pour jour après le début de la catastrophe de Fukushima, a constaté un journaliste de l’AFP.
    Les participants se sont d’abord rassemblés dans un parc du centre de la capitale: la foule comprenait des résidents de la région de Fukushima (nord-est du Japon) et des personnalités, dont le prix Nobel de littérature Kenzaburo Oe.
    Les protestataires ont ensuite défilé dans les rues de Tokyo pour appeler le Premier ministre japonais Shinzo Abe, au pouvoir depuis la victoire de son parti aux élections législatives de décembre, à ordonner le démantèlement de toutes les centrales nucléaires du pays.
    Les organisateurs ont affirmé que 15.000 personnes avaient participé à la manifestation, tandis que la police n’a fourni aucune estimation dans l’immédiat.
    M. Abe, dont le Parti Libéral-Démocrate (droite) a de proches relations avec les milieux d’affaires, prône le redémarrage des réacteurs dont la sécurité aura été établie.
    Seuls 2 des 50 réacteurs de l’archipel sont actuellement en fonctionnement, le parc nucléaire faisant l’objet de vérifications de sécurité poussées depuis l’accident de Fukushima.
    «Le nouveau pouvoir ne doit pas se méprendre: sa victoire électorale ne signifie pas que le peuple approuve l’utilisation de l’énergie nucléaire», ont expliqué les organisateurs dans un communiqué.
    Le gouvernement de centre-gauche sortant, dirigé par Yoshihiko Noda et battu dans les urnes en décembre, avait promis pour sa part d’abandonner l’énergie nucléaire d’ici à la fin des années 2030.
    «Nous exigeons le lancement rapide des procédures de démantèlement des réacteurs et nous opposons à tout projet de construction de nouvelles centrales nucléaires», ont ajouté les organisateurs de la manifestation dans leur communiqué.
    Leur initiative a eu lieu deux jours avant le deuxième anniversaire du séisme et du tsunami du 11 mars 2011 qui ont fait près de 19.000 morts dans la région du Tohoku (nord-est) et entraîné un accident nucléaire majeur à la centrale Fukushima Daiichi.
    Cette catastrophe nucléaire a représenté le pire désastre pour le secteur depuis celle de Tchernobyl (Ukraine) en 1986. Elle a entraîné le rejet massif de radiations et poussé quelque 160.000 personnes à abandonner leur domicile.
     Quelques informations sur Fukushima : http://observ.nucleaire.free.fr/rev-presse-2013-03-1.htm

     


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  • Un troupeau de vaches arrivera à Bellevue le 10 mars

    Un troupeau de vaches trouve infiniment mieux sa place sur cette terre. Il est probable que certains écolos vont argumenter que leurs flatulences sont la cause du réchauffement climatique. Alors que le kérosène lui, est excellent !... Peut-être serait-il judicieux de mettre de la vache dans les réservoirs des avions. 

    Gaulois.

    http://www.reporterre.net/spip.php?article3533

    Lundi 5 mars

                                                                               Photo Vache à Bellevue

    Plus de cinq semaines que la Ferme de Bellevue est occupée par les paysans du Copain 44, les membres des comités de soutiens et les zadistes
     Suite de la plainte d’AGO Vinci
    L’ordonnance de référé rendu le 28 février par le tribunal d’instance de Saint Nazaire, suite au dépôt de plainte d’AGO Vinci, condamne l’occupant et les 9 comparants volontaires à une expulsion immédiate, à compter du jour du passage de l’huissier, assortie d’une astreinte de 50 euros par personne et par jour, ainsi qu’au paiement d’une somme de 1000 euros à verser à AGO Vinci. Sur le conseil de Me Boittin, avocat des paysans, il a été décidé de faire appel de l’ordonnance dès le vendredi 1 mars au matin. L’huissier est passé déposer les significations d’ordonnance de référé et les commandements à quitter les lieux le vendredi 01 mars, à la ferme de Bellevue.
    Comme l’ordonnance de référé ne concerne que les dix personnes qui y sont citées, les occupants déclarés et les comparants volontaires ont affirmé à l’huissier ne plus habiter à Bellevue depuis le 01 mars au matin. Dès le samedi 2 mars, sept autres paysans envoyaient une lettre recommandée à AGO Vinci, pour les informer qu’ils avaient élu domicile à la Ferme de Bellevue le vendredi 1 mars, espérant ainsi les contraindre à une nouvelle procédure en référé avant toute expulsion.
     La mobilisation à la ferme de Bellevue et sur tout le territoire
    L’appel n’étant pas suspensif, la mobilisation reste forte pour prévenir toute tentative d’expulsion avec l’aide de la force publique. Les tracteurs ont été redéployés en bouclier autour de la maison de Bellevue et les permanences ont été renforcées jours et nuits.
    Suite aux différentes réunions et AG, le Copain 44 a décidé de proposer, conjointement avec l’Acipa, d’appeler les paysans et les collectifs du 44 à se mobiliser à Bellevue et sur la Zad et d’inciter ceux des autres départements et régions de France à développer des actions de solidarité sur leur propre territoire. La décision de mettre en application l’ordonnance d’expulsion de Bellevue et plus largement de persister dans ce projet absurde est aujourd’hui uniquement entre les mains du pouvoir politique en place. Toutes les actions même symboliques pour interpeller les élus partout en France sont donc les bienvenues.
    Face à la lourde artillerie médiatique déployée par les porteurs du projet, et à la mobilisation de toutes ses forces vives (voire serviles) pour tenter d’imposer leur vision du développement, toute opération pouvant sensibiliser l’opinion publique à notre action sont les bienvenues (ex : autoroutes gratuites).
    La mise à l’herbe du 10 Mars
    Dans le cadre de cette mobilisation forte, le dimanche 10 mars 2013, à partir de 11h00, les paysans du Copain 44 vous invitent à venir accompagner l’arrivée par la route, en mini transhumance, d’un nouveau troupeau de vaches menées à la mise à l’herbe de printemps, dans les prairies de la Ferme de Bellevue. Les éleveurs qui souhaiteraient compléter les effectifs du troupeau en amenant une ou plusieurs vaches de réforme peuvent contacter Cyril. Les paysans veulent réaffirmer, par cette action fortement symbolique, leur volonté de maintenir les fermes de la Zad en production, de protéger terres et bâtis du saccage et de la destruction, et de réclamer à nouveau la remise à plat de la DUP de 2008 avant d’envisager toute poursuite de travaux.
     Le Copain 44 dans l’opération Sème ta Zad
    Depuis plusieurs mois, le Copain 44 participe aux travaux d’une commission agricole, ouverte à tous, qui se réunit à la Chataigne et tente de réfléchir à ce que pourrait-être l’occupation des terres libres quand le projet d’aéroport sera abandonné. La première action proposée par la commission est l’opération « Sème ta Zad ». Les organisations du Copain 44 ont relayé et relaieront les appels à mobilisation rédigés par la commission (consultables sur : http://zad.nadir.org/semetazad ).
    Par leur présence, les paysans des six structures, qui œuvrent largement par ailleurs, chacune dans leur domaine, à promouvoir, faciliter, accompagner et pérenniser l’installation de nouveaux paysans sur des fermes à échelle humaine, respectueuses de l’homme et de l’environnement, souhaitent mettre à la disposition de la commission leur analyse et leurs compétences.
    Ils souhaitent rappeler que la grande majorité des terres de la zad est exploitée par des paysans en place luttant contre l’aéroport et souhaitant continuer à vivre de leur ferme et que donc les surfaces réellement disponibles ne représentent qu’une petite partie de l’emprise globale de la Zad et du barreau routier.. C’est dans cet esprit que des paysans, du Copain et exploitants sur la Zad, participent à l’établissement d’une cartographie pour préparer la mise en œuvre de cette manifestation, et tenter d’anticiper une localisation des actions de mise en culture qui soient avantageuses
    pour tous.
    Le 9 mars des paysans seront présents à la Ferme Saint Antoine pour participer aux réflexions ; Le 13 avril des paysans seront présents sur les différents sites, en soutien technique aux travaux de mise en culture.
    Par leur présence en soutien à l’opération Sème ta Zad, les paysans du Copain 44 veulent réaffirmer que tout en gardant en objectif prioritaire l’abandon du projet d’aéroport, les occupations, comme à Bellevue, et les opérations de mise en culture des terres libérées, sont autant d’occasions de revendiquer une autre conception du développement de notre société, particulièrement pour l’agriculture, l’alimentation, l’environnement et la transition énergétique.
     Banderoles de bords de route
    Les 80 premiers kits de quatre banderoles sont partis à l’impression et seront normalement disponibles d’ici une quinzaine de jours. Merci à ceux qui n’ont pas encore réglé leur réservation de le faire rapidement.
     La vie continue à Bellevue
    A la Ferme de Bellevue, les chantiers avancent et de nouveaux se préparent : la salle de réunion a hébergé ses premiers rassemblement, la salle d’accueil ses premières affiches, tracts et documents d’information ; le four à pain aura bientôt retrouvé son conduit de cheminée et, après séchage, la première fournée sera l’occasion d’une grande fête ; la mise en place d’un tunnel maraicher et d’un potager suit sont cours ; des chantiers de remise en état de clôtures sont programmés (le premier, ce jeudi 7).
    COPAIN 44 (Comité des organisations professionnelles agricoles indignées par le projet d’aéroport).

    le procès de Cyril met en évidence le rôle provocateur des policiers en civil

    http://www.reporterre.net/spip.php?article3946

    Geneviève Coiffard-Grosdoy
    vendredi 8 mars 2013
    Le 6 mars, Cyril, un opposant à Notre Dame des Landes, était jugé à Rennes. Il est déjà emprisonné depuis plusieurs mois. Le procès a mis en évidence le rôle des policiers en civil, infiltrés et provocateurs.

     Reportage, Rennes
    mercredi 6 mars
    Cyril est tailleur de pierre (il a aussi fait une formation en boulangerie), sans emploi à ce jour, originaire de la région, où il est né et a vécu, ; il habite la commune de A, où il retape une maison, avec des amis qu’il héberge.
    Il est détenu depuis le 28 novembre 2012, jugé en comparution immédiate, et condamné en correctionnelle à Nantes : pour violence contre les gendarmes sans incapacité de travail, et violence avec arme contre un civil, M. G (3 jours d’ITT),
    port d’armes (une sorte de fronde) et attroupement à visage masqué ;
    condamnation à 10 mois de prison dont 5 avec sursis, interdiction de paraître en Loire Atlantique sauf dans sa commune de résidence, interdiction de port d’armes.
    Cinq autres personnes étaient en cause, seul Cyril a eu droit à comparution immédiate.
    L’opération lors de laquelle les faits se sont produits avait pour objectif, selon les gendarmes, de libérer les routes.
    Cyril explique son appel par sa volonté d’obtenir la levée de l’interdiction de circuler en Loire-Atlantique. Calme et digne, il reconnaît le port de masque, comme protection contre les lacrymogènes, un coup avec la ’fronde’ sur une personne en civil sans savoir que c’était un gendarme, un jet de bouteille en direction des gendarmes et un coup sur M. G qui le décrit comme ’très agressif’. Les gendarmes l’identifient comme ’un meneur’. Il se serait dit membre de l’ARB, et venu ’casser du gendarme’. Son casier n’est pas vierge...
    Tout en semblant admettre que se dissimuler le visage peut effectivement avoir l’objectif de se protéger, l’Avocat Général maintient la caractérisation d’attroupement à main armée et s’attache à justifier qu’il faut retenir l’’élément intentionnel’ : il voulait se faire du flic... les interpellations ne visent pas quelques traînards... elles visent les meneurs, les leaders, que les gendarmes sur place savent identifier sans erreur... On peut imaginer la sidération de Cyril quand il s’est rendu compte que ceux qu’il croyait ses camarades de combat étaient en fait des gendarmes, ce dont il a été tenu compte... mais il y a bien eu de la part de Cyril attaque sur M. G sans être en état de légitime défense, et jet de projectile ensuite sur gendarmes identifiables.
    Puis une petite phrase : il fallait mettre un terme aux actions du 26 novembre...
    Et pour cette peine prononcée dans une audience au rabais (comparution immédiate), dictée, de son propre aveu, par le contexte (et non pas seulement par les faits concernant Cyril), l’Avocat Général demande à minima la confirmation des peines, avec maintien en détention.
    Ce que Maître Fabrice Petit, avocat de Cyril, de Nantes, pointe immédiatement ; bien au-delà des histoire de brassards mis un peu plus tôt ou un peu plus tard, il place d’emblée sa plaidoirie au niveau global, et demande si l’institution judiciaire a fonction de maintien de l’ordre : au-delà de Notre Dame des Landes, il existe un problème de statut des opposants politiques dans notre pays : depuis des années, la criminalisation est la règle dans les conflits sociaux (OGM...). Les tribunaux sont-ils donc le bras armé de cette répression décidée pour des raisons politiques ?
    Il souligne ensuite les lacunes des audiences en flagrant délit : dans celle-ci n’ont été entendus que les gendarmes : il tient d’autres témoignages à la disposition du tribunal.
    Car il revient maintenant sur les faits, et raconte une toute autre histoire : il y avait une centaine de personnes autour des barricades (branchages) ; ces dernières n’empêchent pas la circulation, ce sont les policiers qui ont décrété l’impossibilité de circuler. Les moyens de ces derniers sont énormes en nombre. En plus des gendarmes en tenue, identifiables, il y a les infiltrés, une dizaine, déguisés en manifestants (masques, armes - cailloux - en main...) qui se sont chargés, selon des témoignages concordants, d’aller chercher et de rameuter des opposants (à la Vache Rit et d’autres lieux) : « la troupe va charger, il faut aller aider les copains... ». Cyril y va pour protéger ses camarades. Avant l’intervention des infiltrés, il y avait certes des barricades, mais çà se passait bien. Les propos de M. L’Avocat Général semblent indiquer bien peu de connaissance de sa part des conditions d’une manifestation : bruit, lacrymos, sommations inaudibles...
    Maître Petit pose le problème de la légitimité d’’infiltrer’ des manifestations, il souligne combien, au moins, cette pratique devrait être encadrée.
    Autre problème : un film et des photos ont été confisqués par les gendarmes, ils auraient pu servir de preuve sur les faits. Une photo a été sauvée, que Maître Petit produit, sur laquelle les policiers infiltrés sont parfaitement identifiables dans l’accoutrement qu’ils ont eux-mêmes décrit, sans brassard ou autre identifiant de leur appartenance aux forces de l’ordre.
    Les propos qu’on prête à Cyril sur l’ARB (dissoute depuis des dizaines d’années) et sur le cassage des flics sont pure imagination, l’importance pour lui de la levée d’interdiction de circuler en Loire Atlantique est primordiale, cette interdiction a pour but d’alimenter la fable que les opposants au projet d’aéroport de Notre Dame des Landes ne sont pas de Loire Atlantique, qu’ils sont des étrangers venus de l’extérieur.
    Concernant le casier de Cyril, Maître Petit évoque avec sobriété des faits qui n’auraient, affirme-t-il, jamais dû faire l’objet de condamnation.
    Malgré tout ce qui a été mis en évidence sur ce qu’il faut bien appeler une manipulation, la conclusion tombe comme un couperet : délibéré à 4 semaines (début avril) avec maintien en détention, ce qui condamne de fait Cyril a faire ses cinq mois de prison.


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  • Stationnement

       Avec ce gouvernement, tout est possible – Avec les autres aussi d'ailleurs. Question de nuances.
    Voilà que celui-ci veut doubler les amendes liées au stationnement. Le prétexte, doubler le salaire des ministres, pardon, au bénéfice des autorités organisatrices de transport...

    http://www.liberation.fr/societe/2013/03/08/doublement-des-pv-de-stationnement-pour-matignon-rien-n-est-tranche_887237

    Déjà nous pouvons entendre dire, écolo-politiques en tête, que cela va réduire le nombre de véhicules en ville et par conséquent la pollution. Le raisonnement est réducteur et simpliste à souhait. Croire que doubler l'amende de stationnement va résoudre les problèmes écolos relève de la folie douce.
    Le but n'étant pas de réduire le nombre de véhicule, mais de « rincer » le portefeuille de ces derniers.

    Les écolo-bobo-socialos feraient bien de s'inspirer des quelques suggestions qu'un ami Marsien me confiait lors de l'une de ses visites amicales. Les mesures qui suivent pourraient être appliquées en vue d'une nouvelle refonte de la répression, liée à la présence de tout individu, accompagné d'un engin à moteur ou non, sur la voir publique :
    Toute personne marchant sur le trottoir se verrait appliquer un forfait de 1€ par 100 mètres parcourus. Sa vitesse ne devra ni dépasser, ni être inférieure à 5 km/heure, au delà, c'est l’excès de vitesse, pénalisé de 1 € par 100 m dépassé. Même chose pour les marcheurs trop lents.
    Tout arrêt du piéton, par exemple devant une vitrine sera considéré comme un stationnement « Payant » à raison de 1 € la seconde. Tout arrêt supérieur à 30 secondes sera puni de mort immédiate.
    Toute personne adulte, avec une poussette verra le tarif triplé. 1 € pour l'adulte, 1 € pour le bébé et 1 € pour la poussette. Cependant, dans sa très grande générosité, le pouvoir ramènera la vitesse imposée à 4,8 km/h. Tout arrêt avec poussette sera également considéré comme un stationnement payant à raison de 3 € la seconde. Tout arrêt supérieur à 1 mn entraînera automatiquement la destruction immédiate de la poussette, du bébé et de l'adulte.
    Tout piéton aura le pied tranché s'il l'a posé sur la chaussé.
    Traverser une rue hors des passages aménagés sera puni de mort immédiate.
    Le stationnement d'une poussette sera autorisée avec deux possibilités. 1 € la seconde pour la poussette vide, 2 € la seconde avec le bébé. Tout dépassement de la durée de stationnement non acquitté entraînera la destruction immédiate de la poussette et du bébé.
    Tout piéton devra se déplacer avec un masque à gaz, dans le cas contraire, il mourra instantanément.
    Tout déplacement avec un engin non motorisé  ( vélo, patin, rollers, etc ) devra être précédé d'une autorisation demandée au moins 1 mois à l'avance. Tout contrevenant sera puni de mort. Chaque déplacement sera facturé à la seconde. La vitesse devra être obligatoirement de 6 km/h. En de ça ou au delà, ce sera la pénalité. Tout arrêt ne devra jamais dépasser 5 secondes et sera considéré comme un stationnement non autorisé et taxé. Au delà des 5 secondes, ce sera la destruction immédiate de la personne et de l'engin. Les aires de stationnement prévus seront sévèrement contrôlés, comme pour les piétons.
    Les déplacements avec véhicules motorisés ne pourront se faire qu'à certaines heures de la journée. Chaque déplacement sera soumis à autorisation et taxé également à la seconde. La vitesse de tout engin motorisé devra être exactement de 10 km/h. Tout déplacement non autorisé, vitesse non respectée, arrêt de plus d'une seconde, stationnement dépassé ou gênant seront immédiatement suivis de la destruction du véhicule et de ses passagers.        
    Une loi cadre permettra d'harmoniser au mieux les aménagements afin de garder une maîtrise parfaite de tout citoyen se trouvant sur la voie publique. Une puce leur sera implantée dans le cerveau dès leur naissance. Ainsi, sur réquisition des autorités, les citoyens pourront se voir obligés d'enfreindre les règles du code de circulation, avec la répression qui s'en suivra et pouvant aller jusqu'à l'exécution.
    Toute personne, ainsi que leur véhicule ayant été détruits, seront recyclés en nourriture et matière première. Les biens des personnes exécutées seront saisis d'office au profit des dirigeants.
    Il est possible bien sûr d'envisager d'autres possibilités. Le répression féroce étant la priorité.
    Gaulois. 


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  • Fukushima – OMS -Santé

    Que l'on parle de Fukushima, de Tchernobyl et...Du nucléaire en général ou si vous préférez, de la secte nucléaire, l'éternité de l'espèce humaine ne suffirait pas pour dénoncer ses méfaits.

    D'ailleurs, le passage de l'humanité sur cette bonne vieille terre risque fort d'être sérieusement écourtée de quelques milliers d'années grâce, ou plutôt à cause de l'utilisation du nucléaire. Mais, comme on peut souvent entendre cette lâche définition : " Nos enfants, nos descendants se démerderont ! " 

    N'oubliez pas de consulter le site de l'bservatoire du nucléaire, riche en informations :

     http://observ.nucleaire.free.fr/

      Gaulois. 

     Fukushima : l'OMS confirme une hausse du risque de cancers autour de la centrale

    L'accident nucléaire de Fukushima, au Japon, a entraîné une relative augmentation du risque de cancer dans les zones les plus touchées prés de la centrale, estime un rapport de l'Organisation Mondiale de la Santé, rendu public jeudi à Genève

    Près de deux ans après l'accident nucléaire de Fukushima provoqué par un violent séisme au Japon, les experts de l'Organisation mondiale de la santé estiment que le risque de cancers a bien augmenté dans les zones les plus touchées.
     
     Selon un rapport rendu public ce jeudi à Genève, le risque de cancer de la thyroïde chez les femmes et les enfants est passé de 0,75% à 1,25% dans un rayon de 20 km autour de la centrale japonaise.

    Des chiffres que Greenpeace conteste, l'organisation accusant les auteurs de ce rapport de «sous-estimer honteusement» l'impact des radiations. «Ce rapport est à considérer comme une déclaration politique pour protéger l'industrie nucléaire et non pas comme un travail scientifique axé sur la santé des personnes», accuse l'organisation. «Le rapport de l'OMS sous-estime honteusement l'impact des premières radiations de la catastrophe de Fukushima sur les personnes présentes à l'intérieur de la zone d'évacuation d'un rayon de 20 km, et qui n'ont pas été capables de partir rapidement», estme le Dr Rianne Teule, expert de Greenpeace en matière de radiation nucléaire.

    Les employés de la centrale les premiers touchés

    Après la catastrophe, des traces d'éléments radioactifs avaient été détectées dans la glande thyroïde de quelque 45% des enfants de municipalités voisines de la centrale nucléaire ayant subi des contrôles. Par ailleurs, en décembre, le ministère de l'Education notait que les enfants de la zone outrepassaient d'au moins 20 % le poids moyen correspondant à leur âge et leur taille.

    Lors de l'accident en mars 2011, environ 19 000 personnes ont été tuées, mais il n'y aucune statistique officielle sur les décès directement liés aux radiations nucléaires. Dans leur rapport publié ce jeudi, les scientifiques de l'OMS notent chez les employés de la centrale une « augmentation des risques concernant leur vie entière pour la leucémie, le cancer de la thyroïde et l'ensemble des cancers solides par rapport aux taux de référence ». Par ailleurs, « quelques travailleurs qui ont inhalé des quantités significatives d'iode radioactif pourraient développer des troubles non cancéreux de la thyroïde ».

    Mais l'organisme n'est pas en mesure de chiffrer le nombre d'irradiés de la centrale. Et pour cause : selon des médias japonais, la compagnie Tokyo Electric Power (Tepco), gérante de la centrale de Fukushima, n'a pas encore remis à une entité publique compétente les données sur les doses de rayonnements auxquelles ont été exposés quelque 20 000 emplolyés du complexe atomique. Tepco a justifié l'absence de rapport depuis près de deux ans par la difficulté de récupérer les données à partir d'ordinateurs endommagés par le tsunami.

    L'OMS veut surveiller cette zone à risque

    Dans son rapport, l'OMS insiste sur la nécessité d'un suivi au cours des prochaines années de ces populations à risque, ainsi qu'une surveillance des aliments et de l'environnement. L'organisation indique sur son site qu' « il y a un risque d’exposition résultant de la contamination des aliments », mais qu'« il faut que les aliments contaminés soient consommés sur une longue durée avant qu’il y ait un risque pour la santé humaine ». Les autorités japonaises ont ainsi « conseillé aux habitants d’éviter ces aliments et ont pris des mesures pour empêcher leur vente et leur distribution. »

    En octobre dernier, Ken Buesseler, chimiste à l'Institut océanographique de Woods Hole (Massachusetts, nord-est des Etats-Unis), avait assuré qu'environ 40% des poissons pêchés dans les environs de Fukushima ne sont pas consommables, selon les normes établies par les autorités nippones.

    > A lire : «Fukushima : pire que prévu»

    VIDEO. « Fukushima, après son retour du Japon » Entretien avec Dr Michel Fernex :

    http://www.leparisien.fr/tsunami-pacifique/fukushima-l-oms-note-une-hausse-du-risque-de-cancers-autour-de-la-centrale-28-02-2013-2605933.php

    Pas de danger au delà du périmètre de la catastrophe, assure l'OMS

    Le rapport de 166 pages assure aussi que la catastrophe « ne devrait entraîner aucune augmentation perceptible des risques pour la santé à l'extérieur du Japon ». « En dehors de ces zones, y compris au sein de la préfecture de Fukushima, aucune augmentation du risque de cancer est attendue », a souligné Mme Neira.

    Sur son site, l'OMS indique ainsi qu'« il n’y a pas de risques pour la santé dus aux matières radioactives libérées dans l’atmosphère par les centrales nucléaires japonaises endommagées pour les personnes vivant dans d’autres pays puisque les niveaux de radioactivité mesurés à ce jour dans d’autres pays sont bien en dessous du niveau de la radioactivité de fond auquel sont exposées la plupart des personnes dans leur vie de tous les jours. »

    > «EN IMAGES. Fukushima : les photos inédites de la centrale nucléaire dévastée»

    VIDEO. Fukushima un an après :

    http://www.leparisien.fr/tsunami-pacifique/fukushima-l-oms-note-une-hausse-du-risque-de-cancers-autour-de-la-centrale-28-02-2013-2605933.php

    l'OMS manque d'indépendance et minimise, dénonce Greenpeace

    http://www.psychomedia.qc.ca/nucleaire/2013-03-03/fukushima-sante-oms

    Soumis par Gestion le 3 mars 2013

    Dans sa première étude publiée sur le sujet, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) "sous-estime honteusement" les conséquences pour la santé de la catastrophe nucléaire de Fukushima survenue en mars 2011, estime l'organisation Greenpeace. Ce qui ramène à l'esprit l'existence d'un accord qui inféode l’OMS à l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).
    En dehors de la zone de 20 kilomètres autour de la centrale la plus affectée par les radiations, aucune hausse des risques de cancer n'a été relevée et le risque prédit pour l'avenir demeure faible, indique l'OMS. Dans la zone la plus proche, les risques de cancer du sein ont augmenté de 6% chez les femmes et les filles et ceux de leucémie de 7% chez les hommes et les nourrissons exposés.
    Le risque de cancer de la thyroïde a augmenté de 70% chez les femmes et les enfants de moins d'un an. Le risque de cancer de la thyroïde passe ainsi de 0,75% à 1,25%. Les travailleurs de la centrale sont les plus à risque: un tiers d'entre eux pourraient développer un cancer. Les niveaux de radiations dans la préfecture de Fukushima étaient trop bas pour affecter le développement des fœtus, estime le rapport.
    "L'OMS et d'autres organisations doivent cesser de minimiser et cacher l'impact de cette catastrophe et appeler à mettre davantage l'accent sur la protection des millions de personnes qui vivent toujours dans des zones contaminées", dénonce Greenpeace. Le rapport sous-estime notamment l'exposition des personnes qui vivaient à moins de 20 km de la centrale, selon l'organisation. Par ailleurs, les faibles pourcentages mis de l'avant par l'OMS représentent déjà des conséquences importantes touchant des milliers de personnes, souligne-t-elle.
    "Ce rapport est à considérer comme une déclaration politique pour protéger l'industrie nucléaire et non pas comme un travail scientifique axé sur la santé des personnes". Et de rappeler que l'OMS ne publie des rapports sur l'impact des rejets radioactifs sur la population qu'avec l'approbation de l'AIEA.
    En effet, l'Accord WHA 12-40 signé en 1959 inféode l’OMS à l’AIEA en cas d’accident nucléaire. Il exige notamment la confidentialité dans certains domaines et que les deux agences soient d'accord pour tout projet qui concerne un intérêt commun.
    Le collectif d'associations OMS Indépendante dénonçait en 2011 le fait que l'OMS se retrouve "pieds et poings liés, dans l’impossibilité d’accomplir sa mission et de venir en aide aux victimes".
    "En cas d’accident nucléaire, l’AIEA est seule compétente, l’OMS ne s’en mêle pas. En 1986, lors de l’accident de Tchernobyl, les victimes des radiations ont été abandonnées à leur sort, alors même que les systèmes de santé russe, biélorusse et ukrainien étaient en pleine déliquescence. L’OMS a des milliers de morts sur la conscience, autant de personnes qui auraient pu être sauvées. Aujourd’hui avec Fukushima, c’est pareil, ils ne font rien! Alors que pour un poulet mort, on débloque des dizaines de millions de francs", s'indignait Jean Ziegler, membre du comité consultatif du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies.
    Dans une entrevue accordée à Rue 89 en avril 2011, le spécialiste français Michel Fernex exposait des manquements graves de l'OMS en lien avec son entente avec l'AIEA.
    Voyez également:
    Nucléaire et santé: un accord surprenant entre l’OMS et l’AIEA dénoncé
    Nucléaire et santé: des associations réclament l'indépendance de l'OMS
    À 220 Km de Fukushima, du césium radioactif contamine des enfants (mars 2012)
    Les papillons mutent de génération en génération autour de Fukushima (aout 2012)
    Photo : Source, Greenpeace

    Le Monde diplomatique de ce mois :

     


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  • Squat et Hôpital

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     A n'en pas douter, ces squatteurs avaient oublié qu'ils étaient au Mans. Autrement dit, la terrible jungle urbaine Sarthoise. Ville sans concession, ou le fric et l'automobile sont roi. Le centre hospitalier, ainsi d'ailleurs que les autorités complices préfèrent laisser pourrir une maison plutôt que de respecter la trêve hivernale. Ce groupe paraît-il provoquait du désordre, selon les dires de cette dame bon chic bon genre. Sa méthode est paradoxale puisqu'elle prend les devants auprès des riverains, afin de jeter le discrédit sur ces gens sans logement. Difficile de s'attendre à pire, venant de la directrice d'une institution censée venir en aide aux déshérités.

    Gaulois.


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  • Actualité Fukushima

    La projection de ces documentaires pourrait très avantageusement remplacer les films zozo de début de soirée. Mais il ne faut surtout pas retirer la tasse de thé " Imbuvable "de ces inconditionnels de la Bêtise.  

    Arte l'a fort bien compris, puisque les projections auront lieu entre 22 h 30 et 23 h, pour ceux qui ne tomberont pas de sommeil.

    Gaulois.

    Le monde après Fukushima
    Documentaire de Kenichi Watanabe
    Coproduction : Arte France, Kami productions (Japon, 2012, 77 mn)
    Diffusion : mardi 5 Mars 2013 à 22h25

    Fukushima, chronique d’un désastre
    Documentaire de Akio Suzuki, Akihiko Nakai
    Production : NHK International inc. (Japon, 2012, 47 mn)
    Diffusion : jeudi 7 Mars à 22h50


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  • Cantine refusée

     

     

    Il ne fait aucun doute que le maire a une dent contre la Mère de cette fillette, madame Christiane Dentier ! Le prétexte de non inscription ne vaut pas un clou! C'est de la discrimination déguisée.
    Plus sérieusement, les élus ont-ils conscience de leurs pratiques discutables. Il y a fort à parier que s'il avait été question de la fillette d'un policier municipal, par exemple, elle aurait été reçue à la cantine avec tout ce qui va de bienveillante hypocrisie. La gamine avait à coup sûr droit à double dessert. 
    Il faut croire que dans certaines communes de France, les élus sont encore en retard de 70 ans.
    Gaulois.

     


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