• Le Perche d'automne

    Quelques photos prises ce 31 octobre près de chez nous, dans le coeur du Perche.

    Gaulois.

     

     

     

     


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  • " stop à l'énérgie nucléaire " 100 femmes de Fukushima : un sit-in à
    Tokyo 27.10.11

    Les témoignages de ces femmes devant la caméra sont sans concession. 

    Pour voir la vidéo Sous titrage en anglais et en français
    http://www.youtube.com/watch?v=eop6t99h7lM&feature=player_embedded




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  • A Fukushima, tout va bien !!

    Les mesures prises par les dirigeants Japonais sont criminelles.  N'hésitez pas à signer cet appel. 

    Gaulois.

    Cette pétition est en anglais, italien, allemand, japonais et français

    Lien pour aller signer :
    https://docs.google.com/spreadsheet/viewform?hl=en_US&formkey=dFV1NWEwOVd5STNMb2ZNVzlYTWxuR0E6MQ#gid=0

     À la personne concernée
     

    Nous vous écrivons cette lettre à l'appui d'un réseau de milliers de
    mères à travers le Japon qui craignent la dévastation résultant des
    tsunamis du 11 Mars 2011 et depuis sa survenance de négligence grave des
    politiques du gouvernement . Nous croyons que la négligence du
    gouvernement aura des conséquences plus néfastes que l'impact déjà
    catastrophique du tsunami et de l'exposition aux radiations résultant.
    Une hausse presque certaine dans les taux de cancer pour des millions de
    personnes est le meilleur scénario de la fuite continue des réacteurs n
    ° Fukushima Daiichi 1, 2, 3 et 4. Il est de notre intention de limiter
    l'exposition des êtres humains à ce risque autant qu'il sera possible.
     

    Déclaration d'intention. C'est la conviction du soussigné que les
    décombres radioactifs dangereux dans des centrales de Fukushima et les
    autres zones autour doivent être laissés sur le site de la catastrophe.
    Les efforts doivent être concentrés pour mettre un terme incendies à la
    centrale nucléaire, et les gens devraient être évacués de la zone
    immédiate conformément aux niveaux de radiations qui étaient bien
    définis avant le 11 Mars. Tous les changements de politique japonaise
    récente du gouvernement d'augmenter les niveaux de radiation admissible
    doivent être annulés pour revenir aux niveaux admissibles définis
    d'avant la catastrophe.

    Aujourd'hui le gouvernement japonais systématiquement propage les
    matières radioactives, encourage publiquement l'organisation
    d'événements où manger des aliments provenant de Fukushima est montré en
    exemple d' acte patriotique, élève les normes de radiation pour les
    aliments comme pour les gravats. Par exemple au Japon aujourd'hui de la
    nourriture ayant 499 Bq / kg peut être légalement distribuée sur le
    marché sans aucune étiquette pour les consommateurs. De même le
    gouvernement japonais a augmenté par deux fois les niveaux admissibles
    de radiation pour les gravats qu'ils livrent maintenant à travers tout
    le pays pour être brûlés et jetés dans l'océan à différents endroits, y
    compris la baie de Tokyo. Ce comportement négligent doit être stoppé ou
    un événement déjà dévastateur va se transformer en une catastrophe
    environnementale historique avec une portée internationale. Le ministère
    japonais de l'environnement estime à 23.820.000 tonnes de gravats
    résultant de la catastrophe de Mars dans les régions côtières d'Iwate,
    Miyagi et Fukushima préfectures. Cette décombres est l'un des nombreux
    obstacles auxquels les Japonais sont confrontés, car ils doivent retirer
    les gravats afin de pouvoir reconstruire leurs vies. Comme si le fait de
    ces gravats n'étaient déjà pas un problème assez grand pour le
    gouvernement, il y a en plus le fait que beaucoup de ces décombres
    contiennent des matières radioactives provenant de la catastrophe
    nucléaire de Fukushima.

      Le gouvernement local de Tokyo a officiellement accepté 1.000 tonnes
    de gravats en provenance d' Iwate, ils devront acheminer jusqu'à Tokyo
    ces débris sur des trains, les brûler afin d'utiliser leurs cendres
    comme matière de remplissage dans la baie de Tokyo à partir de la fin de
    Octobre, 2011. Les estimations du gouvernement préfectoral d'Iwate
    indiquent que les décombres contiennent 133 Bq / kg de matière
    radioactive. Cela aurait été illégal avant Mars, mais le gouvernement
    japonais a changé le niveau de sécurité pour les gravats de 100 Bq / kg
    à 8000 Bq / kg en Juillet 2011, puis de nouveau à 10 000 Bq / kg en
    Octobre. Les représentants du gouvernement local de Tokyo ont annoncé
    qu'ils acceptent 500.000 tonnes de gravats au total.
     

    Dans la même préfecture d'Iwate, Le 12 août 2011, des mesures de 1 130
    Bq / kg ont été détectées sur le bois de chauffage (sur écorce de
    surface), et les autorités locales de Kyoto qui allait le brûler pour un
    événement religieux populaire ont décidé de ne pas faire en raison de la
    contamination.

    Il est difficile de spéculer sur la précision des conséquences de ces
    actions du gouvernement, mais personne ne peut contester qu'un énorme
    pari sur l'environnement est en train d'être joué.

    Le problème n'est pas limité à la région de Tokyo, qui est
    géographiquement à proximité des zones touchées. Le gouverneur de Tokyo,
    a déclaré qu'il espérait que cela encouragerait d'autres autorités
    locales à accepter les décombres elles aussi. Le ministre de
    l'Environnement, M. Hosono, a déclaré le 4 Septembre 2011 lors d'une
    conférence de presse que "c'est la considération du gouvernement
    national [ou le Japon comme la nation] pour partager la douleur de
    Fukushima avec tout le monde [ou partout] dans Japon ", réitérant son
    intention de créer une usine de transformation finale en dehors de la
    préfecture de Fukushima où les débris et les ordures divers à proximité
    de l'accident nucléaire seront brûlés. Si de nombreuses autres
    collectivités locales au Japon décident de suivre l'exemple de Tokyo il
    en résultera la contamination totale des terres et de l'eau des zones
    pas encore directement atteinte par les émissions radioactives.

    Nous vous demandons s'il vous plaît de dissuader le gouvernement
    japonais de propager, de bruler et de déverser les gravats provenant des
    zones contaminées. Ces gravats devraient être laissés sur place et les
    gens eux devraient être évacués de ces zones selon les normes en place
    avant le 11 Mars. C'est l'opinion du soussigné qui, s'il leur est permis
    de continuer, nous assisterons à une erreur historique menée par le
    gouvernement japonais qui aura un impact négatif sur des vies humaines
    pendant des centaines d'années à venir. L'alternative est que nous
    agissions immédiatement pour empêcher de telles conséquences, et
    l'histoire se souviendra que Fukushima Daiichi région a été rendue
    inhabitable plutôt que d'une pire alternative.
     

    Humblement Signé,
     


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  • Pour info


    - article  d'un certain Alieen Kawanogoe  qui réagit notamment à l'article de presse du journal Mainichi suite à la venue de W. Babenko, Directeur adjoint de Belrad au Japon   :
    http://educationinjapan.wordpress.com/2011/10/17/education-radiation-updates-on-the-fukushima-nuclear-crisis-and-food-radiation-contamination-situation/

    - article de presse paru dans le journal Mainichi le 13 octobre 2011 : Japan 's food radiation limits set too high : Belarussian scientist
    http://mdn.mainichi.jp/mdnnews/news/20111013p2g00m0dm010000c.html

    - vidéo de la conférence de W. Babenko au Japon le 12.10.2011: ( japonais-russe)
     http://translate.googleusercontent.com/translate_c?hl=en&prev=/search%3Fq%3DULADZIMIR%2BBABENKA%26hl%3Den%26biw%3D1280%26bih%3D599%26prmd%3Dimvns&rurl=translate.google.com&sl=ja&u=http://www.youtube.com/watch%3Fv%3DqWSGYyMhOME&usg=ALkJrhj5zrwNYBEDCCjVtF9eZW1zL6wV9Q


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  •  

    Vacherie

    Certains appellent ça la sciences ! Moi je n'hésite pas un instant à requalifier ces expériences en "folie furieuse".

    Gaulois.

    Un laboratoire argentin a annoncé la naissance de la première vache clonée au monde comportant deux gènes humains, afin de produire un équivalent du lait maternel qui pourrait protéger les nourrissons contre des maladies et favoriser leur développement.

     

    «La vache clonée, baptisée Rosita ISA, est le premier bovin né au monde avec deux gènes humains contenant les protéines présentes dans le lait maternel», selon l'Institut national de technologie agricole (INTA).

    Pourquoi pas, tant qu'on y est, des vaches porteuses d'ambryons humains ! Mesdames, qu'attendez-vous ?

    «Cela ne va rien changer pour les femmes mais pour les bébés si, en les protégeant contre des maladies et en améliorant l'absorption de fer», a expliqué à l'AFP Nicolas Mucci, l'un des trois responsables des recherches menées par l'INTA et l'Université nationale de San Martin.

    111_1.jpg

    Selon lui, des chercheurs chinois ont annoncé récemment avoir mis au point un procédé similaire, mais en clonant deux vaches portant chacune l'un des deux gènes, alors que l'équipe argentine a réussi à implanter les deux dans une même vache.

    Le veau est né le 6 avril «par césarienne, en raison de son poids excessif, 45 kilos, alors que les (vaches) Jersey ne dépassent pas habituellement les 22 kilos» à la naissance, selon l'INTA. Il est surveillé «24 heures sur 24», a expliqué Nicolas Mucci.

    «L'objectif était d'améliorer la valeur nutritionnelle du lait de vache en ajoutant deux gènes humains, la protéine lactoferrine et le lysozyme», a déclaré un autre chercheur, Adrian Mutto, de l'Université nationale de San Martin, lors d'une téléconférence diffusée sur internet.

    Le lysozyme est une enzyme très peu présente dans le lait de vache, mais en revanche on la retrouve dans le lait maternel de façon très concentrée au cours de la première semaine de lactation.

    La lactoferrine existe chez tous les mammifères et permet d'assimiler le fer pour fabriquer des globules rouges. Mais elle est spécifique à chaque espèce, et donc la lactoferrine bovine n'agit pas sur les humains.

    Cette protéine favorise également la pousse des dents et le développement de cellules intestinales, antibactériennes, antivirales et antifongiques.

    Dans dix mois, les chercheurs vont pouvoir confirmer si les protéines sont bien présentes dans le lait de Rosita, en effectuant une simulation de grossesse. L'objectif de l'expérience est qu'à l'âge adulte, la vache puisse produire «du lait similaire à celui des êtres humains», indique l'Institut. Selon lui, il n'existe pas à ce jour de mammifères portant deux gènes modifiés. Les chercheursargentins ont introduit les deux gènes dans une même cellule en une seule injection et non en deux comme cela se faisait auparavant. «C'est très important, car cela améliore l'efficacité du procédé», a-t-il assuré. A l'âge adulte, la vache pourra «avoir des enfants qui auront des gènes modifiés dans 25 à 30% des cas», a-t-il ajouté, «ce qui ouvre des perspectives pour les générations futures», selon l'INTA.

    Un laboratoire privé argentin avait créé le premier veau génétiquement modifié au monde en 2004 avec dans son ADN une hormone de croissance humaine permettant de produire des hormones decroissance à partir de lait de vaches génétiquement modifiées.

    Quatre vaches génétiquement modifiées capables de produire du lait contenant de l'insuline, utilisée dans le traitement du diabète, étaient également nées en 2007 en Argentine dans le même laboratoire privé, une autre première mondiale.

    Il faut de toute urgence arrêter ces fous dangereux.

    Gaulois

     


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  •  

    Nanotechnologies

    C'est quoi une nanoparticule ?

    Une nanoparticule est un objet minuscule composé seulement de plusieurs centaines d’atomes. Si petite que certaines de ses dimensions sont de taille nanométrique (de 1 à 100 nanomètres). Un nanomètre est 1 million de fois plus petit qu’1 millimètre.

    Les nanoparticules servent à fabriquer des nanomatériaux et sont utilisées dans des centaines de produits commercialisés de nos jours.

    Elles sont exploitées dans tous types de domaines : médecine, cosmétique, électronique, biologie, biochimie, batiment, imagerie…

    Les nanoparticules sont utilisables depuis peu et intéressent donc particulièrement les scientifiques. Elles font l’objet de recherche fondamentale et de recherche appliquée.

    Mais ne croyez pas qu’il n’y a que les chercheurs qui soient en contact avec les nanoparticules. De plus en plus de crèmes solaires et de produits cosmétiques en contiennent. Elles sont aussi présentent dans les peintures murales, vernis, enduits extérieurs, isolants et dans bien d’autres matérieux qu’il vous arrive de manipuler ou avec lesquels vous vivez…

    Les Nanoparticules  seraient cancérigènes... ( dans les sauces et le ketchup par exemple )

    Les nanoparticules sont dans l'air du temps… au sens littéral du terme. On les respire, on les porte et maintenant, on les mange ! Eh oui, elles sont partout. L'industrie agroalimentaire se régale de ces produits pour nous offrir des aliments à la texture "idéale". Y a-t-il des raisons pour nous, consommateurs, de s'inquiéter ? Que savons-nous de ces particules ?

    Qui aurait pensé que derrière l'onctuosité d'un chocolat chaud ou d'une crème glacée se cachent de petites particules, actuellement au coeur d'une polémique internationale ? Et pourtant, les nanoparticules, nouveaux "chouchous" des scientifiques, suscitent l'inquiétude des gouvernements.

    Les nanoparticules dans nos aliments

    Les nanoparticules, de la taille d'un milliardième de mètre, soit mille fois plus petites que l'épaisseur d'un cheveu, sont utilisées dans une variété d'aliments. Les textures de la poudre de chocolat ou du ketchup sont ainsi améliorées par ajout de dioxyde de silicium (SiO2). La couleur des confiseries est stabilisée et les vinaigrettes sont blanchies par du dioxyde de titane (TiO2). Tantôt épaississants, tantôt conservateurs ou colorants, le SiO2 et le TiO2 sont davantage connues sous le nom d'additifs alimentaires E551 et E171.

    Outre leur emploi dans les aliments, ces minuscules particules se retrouvent aussi dans les emballages alimentaires, notamment les nanoparticules d'argent qui présentent un haut pouvoir antibactérien. Que cela soit pour modifier la couleur, la fluidité ou encore le goût, les applications des nanoparticules dans le domaine alimentaire sont immenses. Mais comment leur utilisation est-elle réglementée ?

    Une réglementation à mettre en place

    Aucune chance de lire sur les étiquettes de nos produits de consommation la mention : nanoparticule. Pour la simple et bonne raison, qu'à l'heure actuelle, les industriels clament qu'ils n'utilisent pas de nanoparticules ! Et si c'état le cas, rien ne les oblige à en signaler la présence au consommateur. Mais alors, comment est-il possible de trouver des additifs alimentaires de la taille du nanomètre ?

    Jusqu'à présent, les critères pour autoriser la mise sur le marché d'un additif ne comprenaient pas la taille des particules. C'est pourquoi un additif déjà autorisé ne faisait pas l'objet d'une nouvelle autorisation même si on modifiait sa taille par un procédé de nanotechnologie. Le règlement Nº 1333/2008 de la Communauté européenne sur les additifs alimentaires, qui sera applicable le 20 janvier 2010, va changer ces pratiques.

    En attendant, les résultats des études toxicologiques tendent à mettre en garde les instances gouvernementales des risques sanitaires dus à l'ingestion de ces substances. En effet, les nanoparticules seraient capables de traverser les barrières biologiques, comme la paroi cellulaire. Autrement dit, grâce à leurs nanotailles, elles pourraient se nicher à l'intérieur d'une cellule et provoquer d'éventuelles inflammations et dommages génétiques.

    Notons que depuis le 10 mars 2006, le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a classé le dioxyde de titane cancérigène pour l'homme par voie respiratoire...

    Une polémique internationale

    Néanmoins, il faut rester vigilant quant aux données toxicologiques relatives à l'ingestion de nanoparticules. "Chaque nanoparticule est différente" précise Dr Andrew Maynard, responsable du Project on Emerging Nanotechnologies au Centre international Woodrow Wilson à Washington. Mais il est vrai qu'en fonction de leurs propriétés, "elles peuvent éventuellement endommager une cellule" confie-t-il. "Au stade actuel des connaissances, il est essentiel de se demander quelles sont les vraies questions" pour permettre de faire la lumière sur la polémique que l'utilisation des nanoparticules engendre dans la communauté internationale. Mais surtout pour assurer une sécurité sanitaire à chacun d'entre nous.

    Selon un récent rapport de l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa), les connaissances sur les risques sanitaires liés à l'ingestion de nanoparticules sont insuffisantes. L'Afssa appelle alors à la prudence et un débat public sur les nanotechnologies s'est ouvert mi-octobre 2009.

    Il ne fait aucun doute que toutes ces technologies - Nanotechnologie - OGM - Nucléaire - etc... Auront à terme raison de l'espèce humaine, de la faune et de la flore. Arrêtons ces fous furieux et criminels avant qu'il ne soit trop tard.

    Gaulois



     



     


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  • Pour être régulièrement informé sur Fukushima, allez sur ce lien.

    Gaulois.

     http://fukushima.over-blog.fr/article-les-veilleurs-de-fukushima-77494576-comments.html#anchorComment


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  •  

    Arnaque à la FNAC

    Il y a 3 ans, je fais l'acquisition d'un appareil photo haut de gamme à la fnac. Pour cela, je règle en 3 fois. C'est un crédit qui passe par finaref. Tout va bien, l'appareil est réglé 2 mois plus tard, soit en novembre 2008. Au moment de l'achat, la fnac me délivre une carte d' adhérant finaref. J'en reçois une seconde peu de temps après. Quel con je fus !! De gober cette arnaque.

    Pendant trois ans, aucun signe de la fnac et de finaref. Pour moi, c'est du passé, car je n'ai pas effectué d'autres achats. Mais oh surprise ! Le relevé de compte de ma banque révèle, en septembre dernier, donc 3 ans plus tard, un prélèvement de finaref d'un montant de 24,20 euros. Après vérification, c'est bien finaref suite au dossier fnac de 2008. le crédit, non réactivé est renouvelé d'office et occasionne des frais.

    Selon les termes de finaref, suite à ma réclamation : « Sachez qu'il s'agit de la facturation sur votre crédit renouvelable Fnac correspondant au renouvellement de l'adhésion de votre carte Fnac ».
    Heureusement ma banque, plutôt éthique, fait opposition sans me compter des frais. Entre temps, finaref insiste et s'étonne du rejet bancaire. Ils n'ont peur de rien ! Silence pendant 3 ans, puis surprise...Surprise, pas le moindre avertissement de ce renouvellement « D'office ! ».

    Avis donc aux clients de la fnac, attention aux facilités de payement. Ils vous refilent un tas de paperasse, les explications sont évasives, bien enveloppées et hop ! Vous tombez dans le panneau.

    Promis juré, en ce qui me concerne, la fnac ne me verra plus.

    Gaulois.

     

     

     

     


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  • Préalables au débat

    Voici un document à ne pas négliger et qui donne une autre dimension à tous débats sur la sortie du nucléaire.

    Gaulois.


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  • Terre de résistance

     

    Le Limousin est une terre de résistance.

    Les appétits de la secte nucléaire étant sans limite, ce fut cette belle région de France que COGEMA / AREVA saccageait, comme c'est le cas avec le Niger. Dans le paradis de la pêche et des champignons, il ne fait pas bon s'attarder et planter sa tente dans certains lieux où furent abandonnés des résidus de minerai d'uranium....


    Gaulois.


     



        


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  •  Réflexions

    Fondamentalement, le racisme n'existe pas et n'existera jamais.

    C'est seulement une invention de l'homme pour se prétendre supérieur à d'autre sans réel fondement.

    Les racistes eux existent bien. Ce n'est finalement qu'une des nombreuses tares du genre humain. Ils ne naissent pas en tant que tel, ils le deviennent, souvent par héritage de parents déjà racistes ou ayant eux-même subi l’influence d'autres racistes. Ils se fondent sur des théories plus que douteuses en refusant de voir l'autre qu'ils trouvent différent, dans la peur du monde qui les entoure. leur jugement qui en découle n'est pas une acuité intellectuelle que l'Homme devrait se permettre d'exercer. Tout jugement entraîne une généralisation et une catégorisation de l'Homme en diverses couches qu'il se permettra de classer.

    En revanche, le seul fait de ne porter aucun jugement et d'accorder à la vie la même valeur pour tous et de se résoudre à n'être supérieur ou inférieur à aucune autre personne entraînera une harmonisation et une sérénité de l'humanité que l'Homme pourra enfin savourer, mais quand ? Pour les personnes qui se basent sur des arguments culturels ou géographiques pour exercer leur soit disant idéologie, ces personnes n'ont qu'à se dire que le monde depuis l'aube de l'humanité n'a cessé d'être en mouvement, de changer et de se mélanger et qu'il ne changera pas pour eux.

    Nous pouvons avoir des amis de toutes les couleurs ; noir, jaune, blanc, marron ou rouge. La nature, intimement liée à notre destiné, n'est-elle pas une harmonie de couleurs et d'espèces ! Pourquoi n'en serait-il pas de même pour les humains ?

    Gaulois.






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  •  

    Membre co-fondateur de 'Bure-Stop'

    Membre co- fondateur de la 'Fédération Grand-Est STOP Déchets Nucléaires' 

    Membre du ‘Réseau sortir du nucléaire’

    Membre de la CRIIRAD

    BP 17 - 52101 SAINT DIZIER Cedex - FRANCE

    Téléphone-répondeur-fax : (33) 03 25 04 91 41 /  06 66 959 777

    cedra.org@orange.fr / www.burestop.eu - www.villesurterre.com - www.stopbure.com - facebook  

     

    "Comme dans un linceul de bure"

    Armand GAUTRON

      

    Il en a pourtant mené des enquêtes, Antoine, dans sa carrière !

    Là, il n’est guère emballé : un ramassage de lait qui ne se fait plus dans un village du fin fond campagnard. Quel intérêt ?

    Même si ça se passe à BURE, dans la Meuse, il ne se sent pas d’atomes crochus avec ce qui fait la notoriété -ô combien négative- du secteur.

    Mais le moins qu’on puisse dire c’est que l’histoire va s’emballer et entraîner le lecteur dans un maelstrom éperdu.

    Lanceurs d’alerte en sentinelles, paysans à amadouer, pollution à découvrir, taupes à débusquer, mort à esquiver…

    Après bien des missions en Champagne-Ardenne, Antoine ne va être déçu de ses premiers pas en terre lorraine.

     

    Ø  http://www.dailymotion.com/ag-creations#videoId=xlsqof

     

    AG Editions / Roman / 166 pages / 15 euros

    Tout frais sorti des presses et disponible dans toutes les bonnes librairies

    ou par correspondance auprès du CEDRA > 17 euros (frais inclus)

     

    Pour en savoir plus sur l’auteur : www.ag-creations.com

    Après une dizaine d’années à publier une vingtaine de titres,

    Armand Gautron se lance dans la réalisation de films retraçant les enquêtes d’Antoine Landrini > les teasers sont à voir sur www.dailymotion.com/ag-creations  

     

     

     

     


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  • Si le sujet n'était pas si grave, nous pourrions en rire ! La secte nucléaire ne recule devant aucun mensonge.

    Celui-là est de taille ! C'est peut-être un signe. Un signe du déclin du nucléaire. Les pro-nucléaires s'accrochent à leurs balivernes comme à des bouées de sauvetage !

    Gaulois.

     

    France et Japon mêmes méthodes : mensonge et obscurantisme sur la radioactivité

    Samedi 2 juillet 2011

    Shunichi YamashitaUn discours invraisemblable a récemment été tenu au Japon par un médecin qui affirme, dans le contexte de la catastrophe nucléaire de Fukushima, que la radioactivité n’a pas d’effet pour les gens qui sont de bonne humeur :

    « Pour dire la vérité, les radiations n'affectent pas les gens qui sourient, mais ceux qui sont soucieux. Cela a été clairement démontré par des études sur des animaux. Boire peut donc être mauvais pour votre santé, mais des buveurs joyeux sont par chance moins affectés par les radiations. Je ne vous conseille pas de boire, mais rigoler supprimera votre phobie des radiations. » (Extrait du discours du 21 mars 2011 du Dr Shunichi Yamashita, professeur à l'université de Nagasaki (médecine moléculaire et recherche sur la radioactivité) (1)

    Je croyais naïvement que ce genre de propos ne pouvait être tenus que par des personnes irresponsables, loin de chez nous en France, où l’on se targue sans cesse d’être les meilleurs. Eh bien non… Les tenants de l’atome civil et militaire, à cours d’arguments en faveur de l’énergie nucléaire depuis le 11 mars, se gargarisent de mensonges et d’idées obscurantistes.

    J’en ai été convaincu en écoutant l’émission « Là-bas si j’y suis » du 30 juin 2011 sur France-Inter : « Nucléaire français, soyez sans inquiétude » (2). Ce n’est pas au Japon, ce n’est pas à Tchernobyl, c’est en France, à Saint-Maur-des-Fossés (Ile-de-France, à 8 km de Paris) : tout un quartier, où un collège de 700 élèves est implanté, a été fortement contaminé au tritium durant des mois en 2010 (début de la contamination en avril 2010, alerte donnée le 3 novembre 2010), à cause de la présence d’un filtre provenant de Valduc. 

    Alors que François Bugaut, directeur du CEA (Commissariat à l’Energie Atomique) de Valduc (là où l’on fabrique les têtes nucléaires des bombes atomiques) dit que sa priorité numéro un, c’est la transparence immédiate, en particulier vis-à-vis du public, on entend henri-plagnol.jpgHenri Plagnol, le maire UMP de la commune de Saint-Maur se plaindre de ne pas avoir été prévenu de l’incident nucléaire (classé au niveau 2) et condamner l’opacité du CEA !

    Henri Plagnol

    Dans une réunion d’information destinée aux habitants, le représentant de l’IRSN a simplement dit aux parents d’élèves : ce sont des doses très faibles, il n’y a pas de danger. Et Anne Tardif, parent d’élève, de rapporter : « Pour lui [la personne de l’IRSN participant à cette réunion d’information publique] le risque faible, c’était équivalent à un risque nul. Si nos enfants avaient développé un peu plus tard un cancer, ce serait plus lié au stress que nous, parents, leur aurions causé autour de cette histoire du tritium qu’à cause du tritium lui-même. » N’est-ce pas le même type de discours que celui de Shunichi Yamashita ? Nous avons bien ici un discours obscurantiste qui nie les effets des faibles doses, alors que ceux-ci sont tout à fait identifiés de manière scientifique. 

    Le reportage ne dit pas si cette personne de l’IRSN est la même que celle interviewée ensuite.  La journaliste, Inès Léraut, interroge Alain Rannou, conseiller scientifique à l’IRSN, qui affirme : « Le fait de laisser penser à des personnes qu’elles sont exposées à un risque, ça peut avoir des conséquences autrement plus importantes que le risque réel. (…) Le stress peut être un facteur de risque. » Face au tritium, il faut donc rester zen pour échapper au risque de cancer ! Je pense à tous ceux qui n’auront pas le temps d’écouter l’émission, alors je vous livre un extrait de l’interview retranscrit, car il ne faut pas rater ce grand moment de journalisme :

     alain rannou Alain Rannou

    - IL : La science préfère ne pas faire part de son incertitude face au public de peur de le stresser ?

    - AR : (soupir) Je répondrai pas. Je suis désolé de vous dire que vous avez une vision qui n’est pas…

    - IL : Qui est pas bonne ?

    - AR : Non, mais j’ai l’impression de ne pas vous convaincre, alors…

    - IL : Où vous ne me convainquez pas, c’est que l’IRSN ayant été autrefois attaché au CEA, les gens qui font partie de l’IRSN comme vous aujourd’hui - vous êtes entrés au CEA en 1983, vous avez travaillé 20 ans pour le CEA - est-ce que ça vous paraît pas être un conflit d’intérêts que de juger, d’interpréter des résultats qui concernent des dégâts provoqués par le CEA, de les interpréter, vous et vos collègues qui aussi appartenez au CEA, alors que vous en étiez salariés ?

    - AR : (silence)

    - IL : Vous savez pas ?

    - AR : Bon écoutez, je ne suis pas venu pour parler de ça. Franchement, je vous le dis, je ne suis pas venu pour parler de ça.

    - IL : Mais…

    - AR : Vous coupez, s’il vous plait, qu’on se mette d’accord, hein. Vous coupez votre appareil, s’il vous plait. »

    Cet homme perd ses moyens parce qu’il n’arrive pas à convaincre la journaliste. Quand on travaille dans le nucléaire, il faut y croire, il faut avoir la foi (« Dieu merci » dit souvent le directeur du CEA de Valduc). C’est très grave, car la radioactivité est un phénomène physique et non pas mental. La sûreté nucléaire, en France et au Japon, dérive ainsi vers des pratiques de désinformation du public qui font frémir. Cela relève en effet du pénal : non assistance à personne en danger (3).

    Quant aux mensonges, deux exemples de plus avec ce reportage. François Bugaut, directeur du CEA (Commissariat à l’Energie Atomique) de Valduc dit, en s’appuyant sur l’IRSN et l’ASN, que l’impact sanitaire de cet incident est absolument nul. (« Dieu merci, on n’a pas de doute là-dessus »). Pourtant, les analyses d’urine montrent que les personnes concernées sont contaminées au tritium. F. Bugaut dit aussi qu’il ne sort pas un seul becquerel du CEA de Valduc, alors que, selon Bruno Chareyron, ingénieur en physique nucléaire à la Criirad, « Les autorisations de rejet du CEA Valduc sont très importantes puisque c’est 1850 térabecquerels d’autorisation de rejet de tritium dans l’atmosphère, c’est-à-dire 1 850 000 milliards de becquerels par an. (…) Le site de Valduc a rejeté en 2010 350 000 milliards de becquerels. »

    Ces gens mentent donc avec un aplomb impressionnant !

    Contamination au tritium

    L’industrie nucléaire rejette des millions de milliards de becquerels de tritium dans l’eau et dans l’air : « Plus on produit d’électricité, plus on produit du tritium. C’est pourquoi depuis plusieurs années, la production de tritium est proche de la limite annuelle réglementaire » a déclaré EDF en 2006, à propos de ses réacteurs nucléaires. Le tritium étant difficile à contenir, des pollutions accidentelles se produisent également. 

    La fabrication de têtes nucléaires exige aussi de produire et donc de rejeter des quantités colossales de tritium. Le retraitement des déchets nucléaires conduit également à des rejets très importants. Le rayonnement du tritium est complexe à mesurer : la contamination au tritium est donc difficile à évaluer. Une fois rejeté dans l’environnement, le tritium contamine l’eau, la faune, la flore et les personnes. 

    Hydrogène radioactif, le tritium est absorbé aisément par les organismes vivants, une faible partie de ce tritium est alors incorporé dans l’ADN des cellules, où ses rayonnements radioactifs peuvent être dévastateurs. Le tritium est un élément cancérigène et mutagène avéré, et des voix s’élèvent dans la communauté scientifique pour dénoncer la sous-évaluation du risque sanitaire lié à cet élément.

    source : http://groupes.sortirdunucleaire.org/Contamination-au-tritium

    (1) source : http://bistrobarblog.blogspot.com/2011/06/fukushima-22-juin.html

    Des Japonais réclament d'ailleurs la démission du Dr Shunichi Yamashita depuis qu'il a été nommé au poste de Conseiller à la Gestion des risques de santé dus aux radiations dans la préfecture de Fukushima : http://www.youtube.com/watch?v=YBYtkNc7dMY&feature=player_embedded

    (2) Emission écoutable ici :

     http://www.la-bas.org/article.php3?id_article=2217 

     (3) Deux plaintes ont été déposées, l’une contre X par le réseau sortir du nucléaire, l’autre contre le CEA par la Criirad.

     sources : http://www.votresante.org/news.php?dateedit=1300262218&page=0

     

     

     

     

     


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    Printemps arabe vanté par nos gouvernants : Qui est dupe ?

     samedi 22 octobre 2011

    L’Occident arme les dictatures du Printemps arabe. Ci-dessous l’article publié par le site al-loufoq à partir du rapport d’Amnesty International intitulé "Transfert d’armes vers le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord".

    "On peut saluer le Printemps arabe tout en armant les dictatures qu’il combat. Voici le triste constat effectué par Amnesty International. L’organisation révèle que les États-Unis, la Russie et plusieurs pays européens, dont la France, ont fourni de très nombreuses armes à des gouvernements répressifs au Moyen-Orient et en Afrique du Nord avant les soulèvements de cette année, tout en sachant qu’il existait un risque considérable que ces armes soient utilisées pour commettre de graves violations des droits humains.

    Dans le rapport intitulé Transfert d’armes vers le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord, les leçons pour un traité efficace sur le commerce des armes, l’ONG se penche sur les transferts d’armes effectués vers cinq pays arabes depuis 2005 : Bahreïn, l’Égypte, la Libye, la Syrie et le Yémen. Ses sources, des rapports nationaux sur les exportations de 35 pays, dont les 18 États de l’UE, ainsi que la base de données de l’ONU sur le commerce extérieur de ses membres jusqu’en 2009. D’après Aymeric Elluin, chargé de campagne "armes et impunité" chez Amnesty, le rapport s’arrête à cette date, car les informations publiques et disponibles en la matière ne dépassent pas 2009. "Mais cela ne signifie pas que les exportations d’armes se sont interrompues depuis lors." Amnesty International reconnaît toutefois que la communauté internationale a pris "quelques mesures cette année afin de limiter les transferts internationaux d’armes" vers les cinq pays étudiés.

    La France : quatrième vendeur d’armes mondial

    Quatrième exportateur d’armes mondial avec 8,16 milliards d’euros de prises de commandes en 2009 (et 16,39 milliards de dollars entre 2000 et 2009), la France figure en bonne position de ce rapport. D’après celui-ci, Paris aurait livré une "certaine quantité d’armes à Bahrein", où la minorité sunnite au pouvoir a maté en mars la rébellion chiite populaire grâce notamment à l’intervention de l’armée saoudienne. En Libye, Paris a autorisé de 2005 à 2009 la vente d’armements, de munitions et d’équipement militaire au régime de Kadhafi, qui les a utilisées pour commettre des "crimes contre l’humanité" contre les populations civiles et rebelles. Mais les forces anti-kadhafi ont également été armées cette année par la France, en violation de la résolution 73 de l’ONU, qui ne prévoit pourtant que la "protection des populations civiles en Libye".

    Après avoir accueilli, fin 2007, la tente du Guide libyen dans la cour de l’Élysée, la France a invité l’année suivante sur les Champs-Élysées le président syrien Bachar el-Assad pour assister au défilé du 14 Juillet. Selon le rapport, Paris a vendu de 2005 à 2009 près d’un million de dollars de munitions au régime syrien. "Ce n’est pas la quantité d’armes vendues qui importe, insiste Aymeric Elluin. Une telle vente pose problème dès lors qu’elle alimente des dictatures dont on sait qu’elles violent depuis des décennies les droits humains."

    USA : champion toutes catégories

    Or cette somme n’est rien en comparaison de la Russie, deuxième exportateur d’armes au monde et principale alliée de Damas. Moscou rejette pour l’instant toute résolution onusienne condamnant la violence en Syrie. Il se trouve que la Syrie représente 10 % des exportations d’armes russes.

    Mais le champion toutes catégories reste les États-Unis, premier exportateur d’armes au monde avec 64,89 milliards de dollars de ventes de 2000 à 2009 (et 52,4 % du total mondial entre 2004 et 2008).

    Principaux fournisseurs de l’Égypte de Hosni Moubarak, avec 1,3 milliard de dollars de contrat d’armes par an, les Américains auraient repris les livraisons après la chute du dictateur, et cela, alors que l’armée est toujours au pouvoir et que les violences ont repris.

    "Sur les cinq pays arabes étudiés par le rapport, aucun ne présente aujourd’hui les garanties nécessaires pour s’assurer que les armes exportées ne seront pas utilisées à des fins illicites et illégales", relève le chargé de campagne d’Amnesty International. Aymeric Elluin ne remet pas pour autant en cause le droit des États à s’armer, au nom du "principe de légitime défense individuelle et collective" garantie par la charte des Nations unies. Mais, selon l’organisation, le principal problème réside dans le manque de transparence de ces ventes. En France, il n’existe aucune base de données publique ni aucun chiffre précis, hormis un maigre rapport remis chaque année à l’Assemblée par le ministère de la Défense. "Ce document n’est pas publiquement débattu à l’Assemblée, déplore Aymeric Elluin. Or c’est le seul moyen de se conformer au droit international."

    D’après Amnesty International, la solution serait de réglementer au niveau mondial le commerce des armes dites "classiques", dans le cadre d’un traité international que l’ONG souhaiterait négocier en juillet 2012 à l’ONU. "Il s’agirait d’adopter une règle d’or : une évaluation au cas par cas de chaque transfert d’armes envisagé, de sorte que, s’il existe un risque important que les armes en question soient utilisées pour commettre ou faciliter des violations graves des droits humains, le gouvernement concerné soit tenu de mettre le holà", indique Helen Hughes, experte du commerce des armes ayant contribué au rapport d’Amnesty International. Et la spécialiste de prévenir : "Les embargos sur les armes arrivent généralement trop tard, une fois que les crises des droits humains sont là."

    (Rédaction Al-Loufoq. Vendredi, 21 octobre 2011 - Avec les agences de presse)

    CAPJPO-EuroPalestine


    Selon Amnesty International, il y aurait des armes pour les bien pensants ? Mais qui sont-ils, ces bien pensants ? De quels droits auraient-ils la possibilité d'utiliser des armes contre des pays qui seraient alors " Désarmés " ! Y aurait-il des dictatures autorisées ??? Je crois bien que oui !

    Résoudre les problèmes du monde ne se fera jamais avec les armes, dont le budget mondial dépasse l'entendement et à la hauteur de la folie furieuse des grandes puissances.

    Gaulois

     

     

     


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    Reportage Fukushima

    Publié le 26/09/2011 à 20:10 par libre-infos Tags : art france enfants

    Voici un très bon reportage sur la situation au Japon, sur ARTE.

    Comme il sera retiré prochainement, il est accessible sur le site " Les enfants de Tchernobyl Belarus ":

    http://enfants-tchernobyl-belarus.org/doku.php?id=dossiers:fukushima

    Fukushima : les révoltés du nucléaire

    Alors que la France prononce vingt cinq ans plus tard un non lieu général sur Tchernobyl – et les supposés mensonges sur le nuage radioactif - les Japonais décident de prendre leur destin en main. Malgré une discrétion et un fatalisme farouches, ils n'acceptent plus les mensonges d'Etat.
    Tandis que les autorités nippones bloquent l'importation de tous les outils de détection de la radioactivité pour empêcher que la population s'en équipe, une poignée de Japonais se rebelle et passe à l'action.
    Parmi eux, Wataru Iwata, musicien. Il n'a aucune compétence scientifique. Cet été, il est pourtant venu en France et en Allemagne se former en urgence pour apprendre à mesurer la radioactivité. Il est reparti avec plusieurs détecteurs.Notre équipe l'a suivi dans son pays alors qu’il mène avec de nombreux autres Japonais, une campagne inédite de mesure réelle de la radioactivité tout autour de la zone d'exclusion de la centrale de Fukushima. Les résultats sont édifiants : la radioactivité est bien plus élevée que ce qu'affirment les autorités.
    Les Japonais se mobilisent, interpellent le gouvernement, se rassemblent, multiplient les campagnes de mesure, et décident de dénoncer les mensonges de leurs gouvernants.
    Ce reportage, aux allures de road movie dans des zones dévastées, montre que des milliers de Japonais sont exposés chaque jour à des doses radioactives très nocives.
    Par ailleurs, la France, avec ses organismes indépendants comme la CRIIRAD et l'ACRO, est l'un des premiers pays à venir en aide à ces "Erin Brokovitch" du nucléaire, et réalise pour eux des analyses à distance.

    Jamais les forfaitures de la secte nucléaire ne seront suffisament dénoncées. Les mensonges, la désinformation, les silences assourdissants des grands médias, à la botte des pouvoirs en place, s'exercent sur la catastrophe nucléaire de Fukushima comme depuis vingt cinq ans sur celle de Tchernobyl.  Aujourd'hui, Fukushima est oublié. Les médias préfèrent nous gaver avec les tribulations et déboirs des politiques qu'ils mettent en avant, comme un épais rideau sur la tragédie que vit le peuple japonnais.

    Combien y aura-t-il encore de catastrophes avant une insurection planétaire ?

    Combien de victimes y aura-t-il avant que les peuples se lèvent pour dire non !

    Gaulois.

    Corinne Lepage nous livre son témoignage après son récent séjour au Japon.

    De retour de Fukushima, où le silence et les mensonges tuent

    Par Corinne Lepage | Présidente de Cap21 | 02/09/2011 | 19H10

    japon_tokyo_inside.jpg

    Depuis plusieurs semaines déjà, la catastrophe de Fukushima ne fait plus la une de l'actualité. Pour l'immense majorité de nos concitoyens, la question est réglée et il va quasi de soi que Tepco, et Areva pour ce qui est du traitement des eaux polluées, maîtrisent parfaitement la situation.

    Les personnes qui devaient être évacuées l'ont été, le taux de radioactivité baisse et le Japon, vu de France, est prêt à faire redémarrer des centrales. Du reste, régulièrement, la presse, informée par les soins du lobby nucléaire français, indique que telle ou telle centrale va redémarrer.

    Cela est dramatiquement et tragiquement faux.

    Des millions de mètres cube d'eau contaminée

    Tout d'abord, les autorités japonaises - j'ai rencontré le secrétaire d'Etat à l'Environnement, le vice-ministre de l'Environnement et le vice-gouverneur de Fukushima - reconnaissent que la catastrophe est en cours et que rien n'est réglé. Les informations sont très rares.

    Les autorités admettent que trois cœurs nucléaires ont fondu et que les cuves ont été transpercées. Cependant, ils ignorent ce qu'il se passe aujourd'hui, en particulier ce point vital de savoir si le radié a été percé par le corium ou non, ce qui signifierait, bien entendu, la pollution irréversible de la nappe phréatique.

    Concernant le traitement de l'eau, Greenpeace considère qu'il vient à peine de débuter. Les autorités reconnaissent l'entassement de boues radioactives dont évidemment personne ne veut parler mais aussi les millions de mètres cube d'eau contaminée.

    Les dosimètres encore bloqués à l'aéroport

    En second lieu, et c'est tout aussi préoccupant, la situation des familles qui vivent dans la région de Fukushima est, au sens propre du terme, véritablement tragique. J'ai passé près de deux heures avec l'association, qui regroupe plusieurs centaines de familles et qui est animée par des femmes déterminées et révoltées.

    On peut les comprendre. Ce qui leur est arrivé rappelle de très près ce que nous avons vécu avec Tchernobyl et la manière dont les choses se mettent en place nous renvoie au spectre du passé.

    Tout d'abord, et même si on peut comprendre que, vivant en même temps un tremblement de terre et un tsunami, la situation était passablement désorganisée, l'organisation météorologique japonaise était tout de même dans l'incapacité suspecte de fournir les cartes des vents au moment de la catastrophe de Fukushima. Les populations n'avaient aucune idée d'où venaient les vents.

    Aucune instruction ne leur a été donnée, aucune pastille d'iode ne leur a été distribuée. Il a fallu attendre plus d'un mois pour qu'elles puissent disposer d'une information publique sur le niveau de contamination et aujourd'hui, ce sont 40 000 dosimètres qui restent bloqués par décision politique à l'aéroport de Tokyo. Les familles ne savent donc pas quel est le niveau de la radioactivité dans laquelle elles vivent.

    Les mères inquiètes pour leurs enfants

    Sur le plan de l'alimentation, des prélèvements sont faits mais leurs résultats sont donnés bien après que les aliments ont été mis sur le marché et consommés. L'essentiel pour ces mères est, bien entendu, la situation de leurs enfants.

    DSC03646.jpg

    Au Japon, comme partout dans les pays membres de l'AIEA, le niveau admissible pour les populations est de 1 millisievert par an. Il est de 20 millisieverts pour les travailleurs du nucléaire. Aujourd'hui, dans les zones où vivent ces gens, dans la préfecture de Fukushima, le niveau est largement supérieur avec 5 millisieverts, jusque parfois 20 millisieverts.

    Ces femmes exigent pour leurs enfants comme pour elles-mêmes le droit de vivre dans un environnement à 1 millisievert. Le problème est que personne n'a les moyens de répondre positivement à leurs questions.

    Il faut envisager une évacuation plus large

    Deux solutions sont envisageables : soit la décontamination - et on en parle beaucoup au Japon - soit l'évacuation. Il semblerait que quelques cours de récréation aient fait l'objet d'une décontamination, qui consiste à retirer 50 à 60 cm de terre, dont on ne sait du reste pas où on va la stocker.

    Cela permet de réduire le niveau de la pollution. C'est peut-être possible au niveau local avec des résultats qu'il conviendrait de vérifier. C'est évidemment impossible à l'échelle d'une préfecture entière.

    De ce fait, c'est bien la deuxième solution qu'il faut envisager. Elle consiste bien évidemment à permettre aux gens qui le veulent de partir. Mais pour qu'ils puissent s'en aller, encore faut-il leur permettre d'aller vivre ailleurs.

    La vérité de la situation, et c'est là tout son aspect tragique, c'est que les autorités japonaises font ce qu'elles peuvent dans une certaine mesure. Toutefois, puisque l'information est confisquée, les moyens donnés aux gens pour connaître la réalité de la situation leur sont refusés.

    Les agriculteurs pas indemnisés

    Du point de vue du changement et des décisions techniques à prendre, le monde agricole n'est pas en reste et devient lui aussi victime de la défaillance des autorités.

    La préfecture de Fukushima promeut les produits agricoles de la région de Fukushima et se plaint des mauvaises rumeurs qui les concernent. Il m'a été fait cadeau d'un magnifique cageot de pêches. La vérité est, bien entendu, que l'immense majorité des produits de cette zone ne devrait pas être consommée mais pour qu'ils ne le soient pas, encore faut-il que les agriculteurs qui les produisent puissent être indemnisés et gagner leur vie. Or, tel n'est pas le cas.

    Cette situation absolument tragique à laquelle est exposée le Japon s'exprimerait ainsi pour tout pays industrialisé, les mêmes risques produisant probablement les mêmes effets. C'est précisément la raison pour laquelle la chape du silence s'est mise sur le Japon.

     Ce lien vers une vidéo qui en dit long : http://www.youtube.com/watch?v=Ip4aMIXHd5s

     


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